Le soir commençait à tombé, il ne devait pas être loin des dix-huit heures, mais il faisait déja sombre. Mikael sortit de sa poche un petit papier, une adresse y était griffonée, ou plutot un plan sommairement fait qui n'aurait rien dévoilé à qui n'avait pas eu les explication de vive voix.

L'hybride soupira en regardant une fois de plus le batiment qui se dressait devant lui. Vaen avait-il chercher l'immeuble le plus miteux ou était-ce une impression. Depuis que son Amant avait remis les pieds à Modernis et avait revêtu sa tenue d'humain banale, il ne l'avait plus revu. Mais il anticipait déja le moment ou son regard se poserait sur celui qui se faisait passé pour un humain banale. Arriverait-il à ne pas rire...Il en doutait.

Un chat sortant d'une poubelle l'accueilli d'un feulement mécontant alors qu'il franchissait le seuil de la porte. L'hybride ne lui jeta qu'un coup d'oeil distrait, mais ne pouvait s'imaginer Vaen dans cette environnement.
Le hall était richement décoré de tag en tout genre qui donnait plus de vie à l'endroit qu'il n'en avait, qaund à la cage d'escalier elle avait un air austère et sale. C'était surtout ça qui faisiat froncer les sourcil de l'hybride, certe il avait vécu dans les décombre, mais...Les décombre c'est naturelement sale et poussièreux. Ici, c'était un manque d'entretien flagrant et il semblait même qu'il pouvait y déceler une légère et désagréable odeur d'urine.

Evidemment il n'y avait pas d'ascenceur mais étant donné le style vétuste de l'endroit, il ne s'en étonna pas. Les trois étages furent grimper en quelques fractions de minutes.
Puis il s'apprèta à toquer avant de se souvenir que Vaen ne serait pas encore là. Ces mots lui revinerent en mémoire.
" Attend moi, je n'en ai pas pour longtemps " C'était bref comme message, mais l'un comme l'autre n'était pas des grands fan du téléphone portable. D'ailleurs, Mikael avait inconsciement jeté le sien juste apres cet appael...Un peut comme on jetterais un message qui n'a plus de raison d'être. Tampis !

La porte était évidemment fermée à clé, mais cela ne posa pas beaucoups de problêmes, après tout, Mika n'avait pas un passé de petit garçon sage et un bête verrou ne lui posait pas plus de problème que d'enfiler ses chaussette le matin.

- Merde....Vaen...Qu'est ce que c'est que ce "truc" ?

Il fallut quelques instant à l'hybride avant qu'il ne se décide a faire un pas dans cette environnement austère. Un sofa qui devait daté de la dernière guerre, une table qui avait vu des jours meilleurs et...des..."poster" au mur qui représentait un groupe de cinglé sur une scène. Apparement ces jeune gens se donnait beaucoups de mal pour être entendu du publique parce qu'il s'agitait et sautait en tout sens.
Mais le plus frappant dans cette appartement était certainement cet espece de...bon humeur et de "joie" qui en émanait et ce malgré l'état pourave de l'endroit. Sa respirait l'optimisme...

D'un coup, Mikael eu un doute, était-ce bien ici que Vaen logeait ? Mais son odorat lui disait que oui, bien qu'un autre humain vivait également en ses lieu.

Après un léger soupire il décida qu'il y avait certainement mieux à faire que de rester planter sur le seuil de la porter.

Il lui falut un bon moment pour dénicher quelques chose à se mettre sous la dent. Enfin, non ! Sauf si on est amateur de chik, de bonbon aux citron ou de sucette. Et Mika n'aimait pas les sucette sucrée.
La seul chose qu'il trouva fut donc une bouteille qu'il ne tarda pas à ouvrir, ce devait être à Vaen et si c'était à l'autre et bien tampis. Il n'y avait personne pour l'accueillir alors il ferait comme chez lui.

***

Mikael, les cheveux comme la plus part du temps plus décoiffé qu'autre chose, c'était affalé dans l'unique fauteuille, à vrai dire à la base il s'était simplement assis. Mais après quelques instant il avait enlevé ses bottes qui s'étaient retrouvé au milieu de la piece, puis il avait à demi déboutonné sa chemise d'un rouge carmin, trouvant qu'il faisiat franchement trop chaud dans cette appart et ce malgré la fenêtre ouverte.

- Pas mauvais ce truc...

Une nouvelle fois il porta le liquide a ses lèvre, il avait une couleur légerment vert-fluo et un parfum entêtant. Et si a son arrivée la bouteille était à trois-quart entamée il ne restait plus maintennat que quatre centimètres.
L'hybride se passa la main dans les cheveux avant de laisser ses doigts courire sur sa nuque. Pourquoi donc Vaen n'était-il pas là. Il avait terriblement envie de lui.

Un petit sourire amusé passa sur ses lèvres alors qu'il attrapait un de ces affreux bonbon -soit disant- aux citron. Du moins c'est ce que laissait présager la couleur. Après tout ce ne devait aps etre si mauvais que ça et Mika avait besoin de s'occuper pour penser à autre chose qu'a ses envies.

Quand la porte de l'appartement s'ouvris, le beau brun était très occupé à jouer avec un bonbon au citron qui se baladait insidieusement sur sa langue. Il fixait un point juste devant lui ou se promenait tranquilement un lapin imaginaire qu'il devait être le seul à appercevoire.

"C'est moi !"

Cette vois enjouée, ce ton joyeux...Non, ce ne pouvait pas être son amant. Vaen même bouré - bien qu'il ne l'ai jamais vu bouré - ne pouvait être aussi guillerait. Pourtant - même en étant un rien à coté de ses bottes - Mikale ne pouvait se résoudre à croire que c'était son lapin blanc qui avait parlé de la sorte.

"Heu... Ca va ?"

Mika posa enfin le regard sur...sur qui d'ailleurs ? Vaen lui avait dis qu'il habitait avec quelqu'un mais le sujet avait rapidement été clos. Et l'hybride avait deviner en souriant que ce n'était pas ce que son Vampire d'Amant préferait. D'ailleurs, il ne manquerait pas de le taquiner sur le sujet.
Le..."colocataire" donc avait une mine adorable, l'hybride ne pus que le remarquer. Des lèvre d'un rose vif qui semblait d'une sensualité a faire protester le pire séducteur. Des cheveux avec un délicat reflet roux, de grand yeux d'un bleu si sombre qu'ils en devenaient insolant et une peau délicatement pâle.

Il était certain de déja l'avoir apperçus quelques part très récemment, mais il ne parvenait à savoir ou - malgré les posters qui décorait affreusement les murs, ou plutot qui dissimulait les taches d'humidités . seul chose frustrante à l'horizon c'est que à vue d'oeil le blondinet devait être légerment plus juene que lui...Et devait avoir quelques centimètre de plus, c'était extrêmement vexant.
Ce devait être les chaussures. Dés lors Mikale n'eu plus qu'une idée, retirer les chaussure de ce colocataire mignon..;Quand à la question qu'on lui avait posé, il y a bien longtemps qu'elle av&ait rejoint son lapin blanc...quelques part dans l'oubli éternel.

"Monsieur, est-ce que vous aimez les hommes ? Je veux dire, intimement ?"

L'hybride manqua de s'étouffer avec le bonbon - dont il n'avait toujours pas déterminer le gout - et finis par l'avaler tou rond suffocant un instant avant que tout cela ne passe.

Mikael se mis a rire légerment, non pas pour ce moquer mais uniquement parce que c'était très commique. Son regard s'arrêta évidemment sur les lèvre rosée du "colocataire" elles semblait délicieuse et l'idée saugrenue de poser les sienne dessus était très tentant. Juste pour vérifier si leurs apparence était de paire avec leurs douceur.

Mais bien éduquer, le batard des Von dast n'en fit rien. Il souris aimablement au jeune homme, enfin, il pensais sourire gentiments, mais son allure trahissait d'autre envie. D'ailleurs il frissonait légerment et son regard n'avait rien d'anodin. C'était le genre de regard qu'il réservait d'ordinaire à un Vaen dénudé dont le corps meurtit de quelques morsures s'offrait à ses yeus et à ses caresses.

Mikael se leva un peut trop brusquement alors qu'un courant d'air frais venait apporter un peut de fraicheur à son esprit enfièvré. Légerment, ou plutot totalement à l'ouest il se cogna potentielement à la chaine ifi qui commença à diffuser de la musique. L'hybride n'avait aucune idée du groupe qui jouait, mais ça lui donnait une terrible envie de bouger.

Il sauta donc sur la table avant de se mettre à danser. Il y avait la une certitude, il n'avait aucun, mais vraiment aucun style, ce qui ne voulais pas dire qu'il était dépourvu de grâce. Il devait certainement ce don naturel pour la danse à son père, tout autant que son coté séducteur auquel s'ajoutait un petit quelques chose de sauvage.

Il se rappela qu'on lui avait posé une question et qu'il était affreusmeent mal poli de ne pas répondre, il s'humecta donc les lèvre avant de répondre d'une voix un peut plus forte que nécessaire.

- Oui je les aime, mais uniquement intimement !

Réponse faite, la main de l'hybride se posa sur sa propre chemise, il faisiat une de ces chaleurs dans cette apparte, il devait certainement bruler des petites vielles dans le poile à bois. Défaire les boutons sembla un éffort de concetration surhumain pour notre Von dast qui de plus voulait rester sur le rythme - ce qui n'était déja pas trop le cas - donc pour parer au plus court. Il arracha le tissus - une chemise en moins...encore une - qu'il balança au cent mille diable.

[mdr, écroulé, je ne sais même pas comment je vais réussir a répondre a ce rp de manière sérieuse, c'est casi impossible. En, plus...lol...je te fais un topo, ma lampe de chevet a rendu âme il fait donc noire dans ma chambre et j'ai été obliger d'utiliser la souris de mon ordi (qui fait de la lumière en quise de lampes torche pour retrouver le câble de mon ordi portable) bon c'est pas très bien expliquer mais...utiliser la souris de son ordi en guise de lampes...c'est tout de mm innovent]

"Je... J'aurai un service à... vous demander."

Et voilà, voilà on lui avait fait loupé le dernier accord de guitare...si du moins cette chose qui raisonnait de manière sensuellement sadique a ses oreilles était bien une guitare. Ha ! Une chose était sure, le château de papa verrais débarqué quelques guitariste à son retour. Rale bolle des petits chant d'oiseau et des chansonnette à l'eau de rose. Puis au moins, ça couvririat le cris de ses ébats avec Vaen. Surtout quand il aurait réappris à ce dernier comment faire l'amour...ou le sex !

En tout cas ces paroles hésitante n'était certainement pas celle d'un chanteur, enfin, "du" chanteur. Mika chercha donc du regard le responsable de la défaillance de sa chorégraphie et le trouva. Il était toujours là lui....Ha oui, le petit blond aux lèvres rosées. Ha diable...Il avait quelques chose de foncièrement provocant. Mais l'hybride ne parvenait à savoir si c'était son visage juvénile et son expression presque gênée - bien qu'il n'en comprenait absolument pas la raison - ou si c'était ce jeans qui paraissaot mettre ses forme en valeur.

Mikael se passa une mains dans les cheveux tout en dévisageant le jeune homme. accessoirement il se mordait la lèvre, mais ce n'était absolument pas voulu. Son cerveau venait de lui faire savoir qu'il n'était pas dans ses habitude d'avoir de tel pensée....Mikale se demandais bien pourquoi...Pourquoi ne pas avoir de tel pensées.

"J'aimerai apprendre des choses... à faire au lit. Heu... En pratique. Vous pourriez m'apprendre ça ?"

L'hybride était en train de tourné sur lui même, il trouvait ça excellent, les murs défilaient de plus en plus vite et des poster il ne voyait plus que de petit point coloré alors que les tache d'humidités avaient été se faire sécher ailleurs.

*Ploc*

Ce fut environ le bruit que fit son neurone en analysant la question...Un suicide ?. Mikale manqua de terminer sa spirale en se cassant la gueule de la table, mais en bon Von dast et en demi-vampire qu'il était il eu la présence d'eesprit de maquiller cette chute. Enfin, aussi bien maquiller qu'un type aillant vidé la moitié d'une bouteille de liquide verdache pouvait le faire.
Etrangement, même si il avait cesser de tourné, la vision avait du mal a se stabiliser et il devait voire triple car le petit jeune -qui avait deux centimètres de plus que lui- se retrouvait a présent a plusieurs endroit différents. Sur les poster et dans le sofa.

Il devait halluciner un rien, mais cela ne l'empêcha pas de garder un air sure de lui et souriant. Pas un sourire débile, non un sourire à la Mikael, un rien mélancolique, un soupçon d'aventure, un filet de mystère le tout saupoudré d'une poudre blanche au citron.

Je suis nulle pour faire les lits ! Mais j'ai quelques technique pour les défaires.

Oui, bon, il avait plus ou moins compris qu'il ne s'agissait pas d'apprendre à installer oreiller et drap. Mais...on ne lui avait jamais, au grand jamais posé ce genre de question et celui qui aurait eu la bêtise de le demander en état normal se serait certainement retrouver avec un minimum un oeil au beurre noire.


Pourtant, avant de dire quoi que ce soit d'autre il se devait de vérifier quelques chose.

L'hybride s'approcha donc du sofa qu'il avait quitté quelques instant plus tôt, attrapa la bouteille dont il bus une gorgée de plus, s'humectant les lèvre du breuvage inconnu. Ce qui n'eu pas pour éffet de lui éclairer l'esprit comme il l'avait espéré durant un court laps de temps.
Puis il s'agenouilla devant le colocataire, le regardant droit dans les yeux avant de poser ses mains sur ses joue qui lui parurent presque fraîche.

C'était bien un vrai ! Pas une hallucination donc. La question restant en suspens était donc...Et ceux accroché aux mur...Ils étaient vrai aussi ?

Mais, les pensées furent balayées. Les yeux océan ne purent plus se séparer de ces deux lèvres aguicheuse qui semblaient lui hurler à l'unisson qu'il devait absolument les combler. Ce qu'il fit sans réfléchir et sans détoure.

Ce n'était pas le genre de baiser passionnel qu'il réservait à son amant. Non, c'était différent. D'abord ce n'était qu'une envie, un besoin à assouvir. Ses lippes se refermèrent sur celle du colocataire de Vaen, avec une envie non dissimulée et si c'était un peux sauvage, le contraste n'en fut que plus étrange lorsque Mikale se rendis pleinement compte - tout autant que cela fut possible dans son état - de l'étrange saveur des lèvre de cet humain. Elles étaient douce et assez délicate, mais surtout et avant tout elles étaient différente des lèvres qu'il avait embrassé ces 60 dernières années.

Pourtant ça ne dura qu'un court moment, du moins selon certain repère. Mikael regarda le jeune homme avec un rien d'étonnement. Étonnements qui disparut de son regard lorsqu'il se pencha a nouveau vers lui. Cette chaleur, cette peau douce et soyeuse, il en avait envie, la toucher, la gouter...puis...il y avait autre chose de plus..contantant encore dont l'envie ne faisait plus que lui traverser la tête. Il venait de passer sa main sous la chemise du jeune homme, la remontant le long de son dos, suivant le chemin que dessinait sa colonne vertébral jusqu'à atteindre la naissance de ses cheveux, doux, parfumé comme le lui apprenait son sens olfactif, qui lui révélait aussi une odeur de banane peut être un peut imaginaire, mais que sa langue avait grande envie de goûter.

Ses lèvre vinrent flirter avec son cou alors que l'envie saugrenue de goûter son sang lui passait par l'esprit, mais au lieu de se faire l vint mordiller avec délicatesse le lobe de cette orei lle qui semblait n'exister que pour lui.

- Ou est donc ce lit ? Il n'y a que la pratique qui vaille comme apprentissage

L'hybride avait chuchoter et se félicitait d'une certaine façon de pouvoir encore articuler de manière compréhensive alors que son corps était dans un tel état d'ébullition qu'il lorgnait le sofa, voire le tapis.

Puis se redressant quelques peu, enfin, tout est relatif : abandonnant de manière temporaire le lobe de cette oreille et croisant le regard di colocataire.

- Tu es majeur au moins ?

Oui, pour la première fois de la soirée l'hybride semblait être -presque- en possession de ses pensées. Presque....




[Il regardait ailleurs, enfin il essayait. Le corps de cet homme était tellement captivant, bougeant comme ça...[ On aurait dit une de ces spirales hypnotiques, en moins gerbant. .....MERci lol]

"BIEN SUR QUE OUI ENFIN ! J'AI VINGT TROIS ANS D'ABORD !"

L'hybride suivi du regard le jeune homme qui pour une raison inconnue semblait penser qu'il était devenu sourd. Pourquoi les jeunes gens devait-il se mettre à crier lorsqu'on leur posait ce genre de question. Quoi qu'il en soit, un sourire taquin naquis sur les lèvre du Von dast. Le regard sévère donnait à ce charmant humain une expression tout autre, pas moins plaisante à l'oeil que le léger rougissement qui avait déjà et à plus d'une reprise coloré les joues du jeune homme.

L'hybride laissa l'autre s'agiter d'un coté à l'autre seul ses yeux bleu le suivaient du regard, un regard encore limpide mais quelques peux fiévreux alors qu'il repensais à ce bref baiser.

"Voilà le lit."

Les mots salvateurs arrivèrent jusqu'à son esprit enfiévré et il ne faut guère de temps pour que Mikael rejoigne le jeune explorateur qui venait de découvrir le nid des pêchés interdit. Mais étaient-ils vraiment interdit et par qui. L'adorable inconnu était majeur, il le lui avait affirmé avec suffisamment de fougue pour que cela pénètre l'enchevêtrement de ses pensée et s'imprègne de manière potentiellement durable dans sa cervelle.
Et....et les autres raisons d'une tel interdiction furent quelques peut écartées par une question auquel il n'avait pas pensé...si toute fois il avait déjà pensé a quelques chose depuis le début de cette nuit.

"C'est quoi vot' nom ? Moi c'est Julian. Mais tout le monde m'appelle Ju."

L'hybride quitta son inspection minutieuse de la pièce qui sans aucun doute avait du servir de chambre à son "tendre" amant, la raison qui le poussait à une tel déduction était peut être la façon dont quelques vêtement étaient plié sur le dossier d'une chaise. il n'y avait que Vaen pour plier ses vêtement d'une tel sorte. C'était peut être aussi la forme de l'oreiller, qui épousait si parfaitement la forme du crâne de son amant - évidemment, le crâne en question ne reposait plus sur l'oreiller,
C'était peut être aussi ces draps, la façon dont ils étaient - presque- négligemment jeté sur le lit, comme si leur propriétaire leurs en avait voulu de se lever une fois de plus sans personne a ses coté. Puis...Vaen avait toujours eu un faible pour les lourde tenture de velours noire, surtout a Modernis - C'était d'un goût exquis....à vomir ! Surtout lorsque sa commençait a prendre la poussière. Et dans cette endroit, piteux, c'était encore pire. Le contraste du velours et du balatome pourris qui recouvrait le sol...C'était à donné des frissons.

Soit, son regard, après s'être éternisé sur les draps, revins sur la seul âme bien vivante des lieux. Si vivante, si douce, si fragile à la fois. Et quelques chose frappa l'hybride, quelques chose qu'il avait déjà pus remarquer mais qui cette fois lui sembla bien plus révélateur. Ce jeune "innocent" était justement jeune et innocent, presque timide lui avait-il semblé et si...si...comment appelé ça..."joviale" ? Et Mikale trouvait ça adorable. Cette réflection, heureusement, fut brève et donc passagère.

- Julian...

Mikale s'était demander pourquoi s'encombrer d'un prénom qu'il ne retiendrait certainement pas, mais il tenta tout de même de le mémoriser tout en s'approchant a nouveau des lèvres qui avait si joliment prononcé ce nom.
Julian, il associeraitt certainement ces quelques lettre à ces lèvres rosée et a ce visage avenant. Cette fois il pris plus son temps pour embrasser le jeune homme. Enlaçant le corps, caressant la peau qui lui semblait presque fraîche par rapport à la sienne. Sentant avec une force désarmante ce coeur qui battait un rien la chamade et qui ne faisait qu'attiser son désir.

Sa langue abandonna cette valse nouvelle, caresse envoûtante un rien excitante pour prononcer quelques mots d'une utilité incertaines, mais qui devait se prononcer pour sembler resté civilisé - ce qu'il n'était certainement pas.

Mikael, Mika suffira.

Il lui sourit avec amabilité, un simple sourire dépourvu de tout autre sentiment que celui de la gentillesse. Mais ce genre de banalité était vite écarté, surtout dans l'état actuelle de notre hybride dont le sang devait être quelques peut chargé en diverse substance qui ne faisait qu'attiser sa fièvre.

Sa main vins se poser sur le torse de "Ju", puisque tel était son petit nom, Mais il changea d'avis au moment même ou il allait l'expédier sur le lit. Non...Il voulait d'abord le déshabiller et comme ce qui l'intéressait se trouvait à mis chemin, il se laissa tomber sur les genoux. Ses mains s'appliquèrent a défaire ceinture et bouton, ce qui fut relativement rapide. - Compte tenu de son état- Cela fait il n'eus plus qu'a tirer le pantalon vers le bas.

Julian fixait toujours l'autre, se demandant ce qu'il pouvait penser et aussi ce qu'il se passerait. Est-ce qu'il aurait mal ? Oui. Est-ce qu'il aimerait ? Il l'ignorait. Mais ce n'était pas vraiment sa préoccupation première. Lui, il voulait apprendre. Mais qu'attendait-il ? Pourquoi il fixait comme ça le lit de Vaën ? Ah oui, il aurait l'emmener dans son lit. Mais... Le sien était pour une seule personne. Et puis il avait moins la classe. Et était dissimulé derrière le paravent qui coupait la pièce en deux. Vaën avait fait une décoration qui était certainement romantique. Julian suivit le regard de son vis à vis. Les draps avaient été repoussés, Vaën ne faisait pas son lit. A quoi bon, puisqu'on se recouche dedans le soir ?
Julian leva à nouveau la tête pour s'excuser du désordre (il avait cru comprendre que c'était ce que faisaient les gens civilisés de Modernis State), mais ses lèvres se firent capturer sans vergogne. Et c'était bon... Il était si doux, chaud, presque prévenant. Julian ferma les yeux et enroula ses bras autour du cou de l'autre homme, rapprochant son corps. Il se sentit enlacé, ce qui l'encouragea à laisser sa langue se faire attraper par sa jumelle. Il soupira même, doucement. Woaaah~~ Incroyable. C'était différent d'avec Ash, moins pressé, moins maladroit. Et c'était bon. Même si jamais il ne voudrait remplacer Ash. Du moins, pour l'instant. Ils n'étaient pas mariés.

Le baiser prit fin et Julian se sentit super déçu. Il devait quitter le monde des petits nuages. Mais les lèvres de son compagnon s'éloignaient, sans aucune pitié. Il eut beau avancer le visage, rien n'y fit ! SALETE DE TRUC ! Il rouvrit les yeux et recula, baissant ses bras. Son visage exprimait légèrement sa déception, une petite pointe de colère. "J'en veux d'autre !" Mais finalement, c'était nécessaire. Pour une chose très très très importante : le nom. Mikaël. Mika. Okay, enregistré. On peut passer à la suite ?

Sauf que Julian se trouva un peu con. Que faire ? Il n'en savait rien. Il n'aimait pas cet homme, le désirait mais... sans plus. Enfin, il était intimidé. Mais Mikaël savait quoi faire. D'abord, il lui caressa le torse. Oh oui, bien. Pour l'instant ça allait. Et puis... Mikaël s'agenouilla devant lui. Hein ? Mais quoiquoiquoi ? Julian le vit défaire sa ceinture, lui se bouffait les ongles, écaillant un peu plus son vernis. Sa ceinture à boucle en tête de mort fut défaite, rapidement. Et le pantalon baissé, dévoilant bien son truc tout droit. Julian plaqua les mains sur ses yeux. Déjà qu'avec Ash il était horriblement gêné... Et puis, il se rendit compte d'un truc et agita les mains devant lui pour attirer l'intention de Mika, comme si sa voix haute perchée ne suffisait pas.

"Nonon ! NAAAN ! Pas comme ça ! C'est... heu... j'ai besoin d'avoir l'autre... Enfin c'est moi qui doit... Voilà."

Il ne voyait pas comment il aurait pu être plus clair. Mais au cas où, il entraina Mika vers le lit, ce qui ne fut pas très compliqué si on considérait que c'était un peu une loque remplie d'alcool. Il ne lui demanda pas son avis et défit à son tour le pantalon au niveau de l'entrejambes. Il mit un peu plus de temps que Mika, pinçant les lèvres, parfaitement conscient que la chaleur au niveau de ses joues était synonyme de rougeur intense. Et quand il fut face au truc de son compagnon, il se trouva bête. Il tendit ses doigts, renonça. Avança son visage, renonça aussi. Et il n'osait même plus le regarder dans les yeux. Merde. Il fixait la chose comme si c'était un problème épineux. Et qu'il lui en voulait tout particulièrement.

[ Mdr, je sais même pas si je vais m'en remettre....]

Mikael tout à ses désirs un rien présent ne pensait qu'à une chose..".Baiser ", ce n'était même pas faire l'amour étant donné que ce sport n'était réservé qu'à un individu - dont on taira le nom cette fois si non ça fait un peut trop répétitif...(puis Mr V. n'a pas besoin d'encore s'enorgueillir une fois de plus). Non, ce dont l'hybride avait besoin s'était de sexe, rien que du sexe et surtout rien d'autre. L'aperçus de ce qui se trouvait sous son regard ne lui donnait donc qu'une envie...En profiter, surtout que vu l'état distendu du sous vêtement de Julian, il n'était pas le seul à avoir plus que quelques pensées impur. C'était rassurant pour son lambeau de conscience.

Pourtant, ce qu'il avait envisagé faire ( ne prononçons surtout pas le mot, la conscience de Mikale pourrait en être heurté) ce vis abruptement stopper. Il y en avait qui ne savait pas ce qu'il venait de manquer...

"Nonon ! NAAAN ! Pas comme ça ! C'est... heu... j'ai besoin d'avoir l'autre... Enfin c'est moi qui doit... Voilà."

Non, même en fronçant les sourcils de manière significative, l'hybride ne pus comprendre ce que l'autre essayait de lui dire.

* Besoin d'avoir l'autre *

On pouvait lire une certaine activité neuronale dans le regard océan de Mikael...Mais cela ne déboucha que sur un trou noire dépourvu de toute solution. Mais puisque entre temps ils s'était fait entraîner sur le lit de Vaen, la question disparut tout autant que la réponse a cette énigme.

Son pantalon fut défait, c'était une constatation puisqu'il se sentait nettement moins à l'étroit. Il jeta un coup d'oeil au petit malin qui l'avait ainsi mis à l'aise et ne pus réprimer un sourire. Julian semblait...Oui, bon il semblait franchement gêné et c'était a la fois adorable et amusant. Ce qui n'empêchait le fait que Mikael n'avait toujours qu'une chose en tête. L'autre avait en plus les joue d'un rouge écrevisse ce qui lui allait à merveille. Bon...Il faut l'avouer, même si il était passé par toute les couleurs de l'arc en ciel il l'aurait trouvé bandant...enfin..;euh...non...adorable, oui c'est ça adorablement bandant.


Il attrapa le menton du timide, l'obligeant quelques peut à le regarder, lui et son sourire amusé. Posant sur ces lèvres un baiser des plus chaste, presque sage, un effleurement des lèvres, bref mais non dépourvu d'un regard pénétrant et empli de promesse. Juste de quoi faire patienter le Ju tout en le rassurant. si du moins il n'y avait pas eu cette langue qui un instant s'était presque faufilée entre les jumelles. Langue, habile et tortueuse, languissante mais surtout aguicheuse, la demoiselle avait tendance à mettre les nerfs d'autrui à l'épreuve et elle aimait ça tout autant que Mika.

Les doigts passèrent une fois encore sous le t-shirt de Julian, bien décidé cette fois a repousser ce tissu et a s'en débarasser. Néanmoins, pour ce faire l'hybride décida de prendre son temps...Se demandant pour quel raison les humain ne mettait pas des chemises. C'était tellement plus classe et à la fois si énervant à retirer que ça en devenait un vrai plaisir. Un petit bouton après l'autre, donnant le temps de mille baisers voler et encore un bouton, caresse abandonnées...A moins qu'on adopte le style plus radicale qui consistait à déchirer le tissu d'une manière sauvage et passionné avant de jeter votre Amant sur le dos afin d'en venir au plus vite à la partie sauvage de souvent douloureuse...mais si ...pénétrante...

Enfin, tout ça pour dire qu'après quelques instant Mika se débarrassa du t-shirt, de manière plus ou moins conventionnelle. Et là il pus remarquer combien Julian sentait bon. Il sentait le mec qui avait passé ces dernière heure a faire Satan sais quoi, mais Dieu que ça lui plaisait.
D'une main il repoussa donc l'humain, qui se retrouva étendu de tout son long sur le lit.

Il faut rappeler que Mika n'avait pas prévu de plan d'étude. Bien qu'une certaine demande d'apprentissage lui ai été formulé, il n'en avait jusque maintenant pas vraiment tenu compte.

Quand à Mika, il lui jeta un coup d'oeil un rien supérieure, le genre de coup d'oeil qui lui valait le plus souvent un coup de dent dans le coups de la part de son tendre et délicat amant. Mais rien de cela ne se produisit en tout cas et il pus après une rapide contemplation en venir à lécher ce torse du bout de la langue. Suçotant les petits boutons de chaire rose avant de les mordiller avec, apparemment, un certain plaisir.
Sa langue couru après sur le corps,la zone plane du sternum, tel un léger renfoncement, avant d'arriver sur un ventre assez plat dirait-on. Se faisant plus lente en arrivant non loin du nombril de Ju avant de faire le grand saut...


Ou pas.

Son cerveau venait d'avoir un soubresaut de lucidité ou plutôt d'esprit pratique et il ouvrit le tiroir de la table de nuit de Vaen. Haussant les sourcil devant l'étendue de son contenu aussi diverse que jugé inutile.
Ainsi se retrouva sur le sol : Un paquet de cigarette, des bonbon au caramel (qui appartenait à Mika...sale voleur !), un briquet, des...menottes, une bouteille de tequila qu'il avait du voler (encore une fois) dans un hôtel et un tube de pommade genre gel... Qui devrait faire l'affaire.

Le tube se retrouva sur le lit et la Mika eu un blanc. Du genre absence...Nada...rien.

Quoi qu'il en fut lorsqu'il retrouva plus ou moins sa raison. La bouteille de Tequila était vide, par contre il y avait une forte odeur d'alcool qui imprégnait les lieux et il était presque a se demander si Julian n'avait pas été badigeonné du mélange alcoolisé. Ce qui impliquait donc qu'il l'ai lécher par la suite. Mais pour l'heure il tenait d'une main les poignets de Julian alors que du bout de la langue il lui léchait le gland.

Revenant du pays de nul part, ce genre d'activité lui parut presque normal, mais néanmoins désarmante.
Il jeta donc un regard à Ju, histoire de se rassurer sur ses actes entrepris.

Encore !

Le gémissement était quelques peut étouffé, comme ceux qui suivirent, font sonore, ajoutant à l'ambiance moite et feutré qu'avait pris la chambre depuis quelques temps. Le parfum de téquila, il fallait bine le reconnaître améliorait les choses, surtout une fois qu'il était couplé à quelques senteur plus bestiale.

Mikael avait abandonné quelques coup de langue langoureux sur le sexe en érection avant de le prendre entièrement en bouche. Les déhanchements rythmé de Julian mêlé à ses soupirs ne faisant qu'accentuer son état. Il en voulait plus, se besoin en était presque douloureux, sa peau même lui paraissait bruler et ses tympans n'était assiégés que par des « encore » ou des « mmh » qui ne lui laissait qu'une suggestion de ce qui allait suivre.

Il releva un instant la tête abandonnant sa tâche alors qu'un éclair de lucidité lui traversait l'esprit, éclair maussade d'ailleurs, qui disparut une fois son apparition faite. Ses yeux bleu océan s'était posé sur ses lèvres rosée avant de glissé sur ce torse dont la ligne médiane ne pouvait l'emmener que de l'endroit même que ses lèvres avaient quittées, a regret.

« Capote ! Je... Il y en a une sous mes oreillers. Là-bas ! »
L'hybride haussa un sourcil tout en se redressant avant de quitter le lit. Dans le voile de son esprit le mot capote sembla prendre forme. Un espèce de « truc », « machin » servant de protection, ou de ballon d'eau. Son existence à Modernis qui remontait à plus de cinquante ans sembla lui revenir en mémoire afin que la définition du mot capote se face avec un rien plus de réalité.
Soit, la chose devait se trouver sous l'oreiller.
La musique qui emplissait toujours l'appartement de décibels assez spectaculaire pour un Gotikien, presque pure souche, arriva droit dans son cerveau. Le genre de musique qui vous arrive directement dans les veines histoire de faire encore un peut monter l'adrénaline.
L'espèce de paravent dégagea le passage laissant la vois libre et presque sure jusqu'au lit improvisé ou siégeait l'oreiller, dernier défenseur du « préserve à tif », ce devait être un espèce de bonnet. Mikael fut un peut dérouter en trouvant un...emballage ou plus tôt une série d'emballage. Mais étant donné que c'était la seul chose qui se trouvait être dissimulé par un oreiller il ramena sa prise vers le lit ou se trouvait...Il cligna des yeux rapidement avant de se jeter littéralement sur le lit [ sans évidemment écraser Julian] et d'embrasser les lèvres délicieusement humectée de l'adolescent.
Color=#006699] - Voilà.[/color]
Sur ce bref mot il lui remis les capotes en main propre, non sans lui lècher le bout des doigts juste avant.

L'hybride eu un instant de cohésion cérébrale durant lequel il se demanda ce que l'autre faisait. Puis le temps que la connexion se face dans son cerveau il sentit quelques chose d'humide – plus humide que le reste du moins – caresser son pénis. Immédiatement il ferma les yeux, c'était agréable, c'était même bon, son corps fut parcouru de frisson et ça aussi c'était bon. Ça lui donnait envie d'onduler du bassin.
Pourquoi Vaen ne l'avait-il pas déjà sauvagement pénétrer ? Enfin, aussi sauvagement que langoureusement, avec ce mélange de douleur et d'orgie qui ne pouvait débauché que sur la jouissance.

Il rouvris une paupière quand...qu'est ce que c'était que ce « truc », c'était...étroit ? Confiné ? Un truc dans le genre, mais bon après tout il s'en fichait, apparement « Ju » y tenait beaucoup. Il était mignon, apparemment le blondinet était du genre timide et n'osait pas le regarder, ça en était presque trop adorable. Mais...On était pas la pour ça. On était la pour baiser, c'était un fait en soit !
D'ailleurs, Ju semblait à présent attendre et si l'hybride n'avait pas eu les hormones en ébullition il l'aurait peut etre fait poiroter juste pour se foutre de son petit sourire gêné.

Quoi qu'il en soit il y avait un soucis, ce n'était pas ce morceau de plastique qu'il avait déjà oublié, non c'était autre chose. Même si sentir Julian ainsi perché sur lui avait quelques chose d'excitant, lui ne voyait pas les chose de la même manière.

Le beau brun opéra donc un retournement de situation. Voilà c'était beaucoup mieux ainsi. Surplombant la situation d'un air ravis. Il ne laissa pas à Julian le temps de faire la moindre objection, lui plantant une langue acéré entre les lèvres. Langue bien décidée a faire tourner la tête à son compagnon d'une nuit...ou plus exactement de quelques heures tout au plus. Sa langue caressant sa voisine jouant parfois les perfides avant de se faire timide pour mieux réataquer. Quand à sa main, elle était venu à tâtons chercher le tube de gel salvateur. Il était bien froid, rien de tel...

En individu aimable et civilisé il aurait peut être dus prévenir Julian, mais il n'en fit rien. Sa main caressa la cuisse de son compagnon, remontant toujours jusqu'à atteindre la naissance de la fesse.
Mikale n'étant habitué à ce genre de..;façon de faire...n'y avait été par quatre chemin, la crème se retrouva appliquée plus ou moins ou il fallait et histoire d'être certain, Mikael l'aida à s'appliquer ou c'était nécessaire.

Il pénétra donc doucement un doigts, d'abord juste à l'ouverture avant de le faire entrer par petite pression successive et brève. Il ne voulait pas lui faire mal et même dans son état d'excitation actuelle cela lui tenait à cœur de ne pas le défoncer immédiatement.

Ses lèvres quiterent ses consœur pour venir mordiller le coup de Julian avant que sa langue ne fasse encore des sienne remontant le long de se coup jusqu'à venir lui souffler dans l'oreille et d'attraper ce lobe qui était si tentant.

Bientôt, jugeant que le moment était propice il introduisis un deuxième doigts, le corps de plus en plus brulant de Julain l'excitait au possible et il se pressait contre ce dernier, leurs peau se frôlant se caressant, il était en pleine frénésie et ne pus qu'en venir au fait. Retirant doucement ses doigts, il se plaça de façon à ce que Julian n'aie plus qu'a s'empaler en douceur...ou...sans douceur d'ailleurs...

"Surtout n... ne bouge pas... "

Ne pas bouger...Les lèvres de l'hybride esquissèrent un petit sourire alors que son regard perçant et un rien embué d'alcool ainsi que de quelques autres substances, scrutait le visage aux traits tendu. L'hybride se passa la langue sur les lèvres, à la façon inquiétante et à la fois fascinante de ces prédateurs sur le point de fondre sur leurs proie mais prenant encore le temps de savourer d'avance la tendresse de leurs chaire - On dira que c'est là une image...un peut déformé par les émanations alcoolique -

La température de la pièce avait dus croître de quelques degré. Un degré pour chaque gémissement qui avait pus franchir les lèvres de Julian. Et même si les cris de douleur à peine masqué aurait du inquiété Mikael, ils ne faisaient que l'exciter d'avantage. Et lorsque l'humain lui avait si aimablement enfoncé ces ongles dans le bras ça n'avait été que mieux, même si Vaen aurait fait mieux en lacérant quelques peut ça peau...Mais bon...

Ne pas bouger...Comment pouvait-on ne pas bouger alors qu'on brûlait de désir. Mikael avait l'impression qu'une douleur de plus en plus mordante le consumait de l'intérieur et rester ainsi immobile lui était aussi difficile que de voler dans les airs.

Il regarda encore un instant ce jeune visage qui lui semblait à demi surgit d'un songe, ce visage aux lèvres rougies sur lesquels ses doigts vinrent se perdre. Julian lui semblait brûlant, brûlant et si agréablement étroit.
Il y avait ce corps sous lui, ce corps si...

Non, il était au dessus s de ses moyen de ne pas bouger d'ailleurs, il ne se souvenait déjà plus de cette supplique, presque, sans importance...Alors oui, ses doigts se perdirent un instant sur ses lèvres, puis descendirent sur son torse, caressant sa peau légèrement moite puis il mis à bouger, guidé par l'envie, presque par le besoin. Il se laissa glisser en Julian, ponctuant son mouvement d'un gémissement qui n'avait rien de très discret.
Mika ne contrôlait pas du tout ses envies, mais au moins y allait il avec une certaine douceur, même si...il était loin de faire du sur place.

Puis...Puis il ferma les paupières, rejetant la tête en arrière alors que ses paumes allaient se posé sur les épaule de Julian. Des images défilaient devant ses paupières closes, si vite qu'elles lui faisait perdre la tête. Ses doigts se resserrèrent sur sa prise alors qu'un goût bien connu inondait sa bouche. C'était il mordu les lèvres à sang ou la langue à sang. La douleur lui en état presque agréable. Le parfum de son propre sang se mêlant à ses visions aussi vive que troublante.
Des visions d'un passé lointain ou encore de rêves quand ce n'était pas de cauchemar, tout pour seul ligne de conduite d'être toute alimenté par une certaine violence.

Il rouvrit les yeux, non pas effrayé par ces images mais étourdit, ivre. Son souffle saccadé se mêlant a ses gémissement qui accompagnait chaque coup de rein qui semblait un peut plus l'emplir d'une frénésie qui avait un quelques chose de délicieusement destructeur.
C'était une sensation à la fois exaltante et délivratrice et pourtant c'était une petite mort, mais si agréable.

Il sentit, presque distinctement le contacte des doigts de l'humain dans son dos, un contacte incitant, tout comme les délicieux bruit qui s'échappaient des lèvre de Julian. Il lui aurait dis noire sur blanc qu'il aimait ça et en voulait plus que ça aurait certainement été moins claire pour l'esprit drogué de son amant du moment.
Mikael aimait ça. Il aimait les gémissement rauque qui semblait envahir la pièce au point de l'étourdirent, il aimait les mains-qui lui semblaient fraîches - dans son dos, semblant un peut plus l'attirer et il aimait encore plus pénétrer Julian.

Il parvins même, dans un éclair d'une lucidité douteuse, à trouver cette humain particulièrement mignon. Ces pommettes rosées et ces cheveux en batailles y était certainement pour quelques chose à moins que ce jugement ne fut basé que sur un élément bien plus physique ou plutôt technique, mécanique...

L'hybride rejeta la tête en arrière alors que le petit humain y mettait un peut plus du sien. C'était délicieux, il frissonnait de l'intérieure et n'allais pas tarder à le bouffer tout cru si ça continuait ainsi.

Animé d'une lubie nouvelle il se pencha bientôt vers Julian, non sans lui avoir préalablement un rien défoncé l'intimité. L'hybride manquait peut-être de patience et avait dus oublier sa douceur après avoir avalé la moitié des "bonbons" compromettant.
Il était parcouru de frisson de plus en plus violant mais qui avait le point positif de sembler le rendre un peut plus réceptif, encore. Hors de question donc de ralentir la cadence, ce n'était pas aujourd'hui qu'il jouerais à un petit jeu langoureux qui avait l'art de l'énerver autant que de l'exciter. Sa bouche alla se perdre non loin du cou de Julian, que le bout de sa langue vins bientôt caresser avant que ses dents ne vienne le mordiller. C'était affreusement douloureux de ne pouvoirs sentir le sang de ce jeune être couler sur sa langue.

Un gémissement plus rauque lui échappa alors que ses mains venaient se cramponner aux épaule de Julian.

Et la vision un peut perturbante de Vaen s'insinua dans son esprit.

Ha oui, ce devait être ça...La perdition, se perdre dans un mélange de désire, de contentement jamais contenté. Le sex c'était affreusement bon tant c'était douloureux. Cette chaleur presque irradiante, cette sueur animale et pourtant suave, ces cris qui n'avait plus rien avoir avec le murmure, mais plutôt avec des tentation qu'on se devait d’assouvir. C'était bon. C'était affreusement bon.
Pas de sentiments, rien, rien pour venir compliqué la chose, juste ça, le sexe et le plaisir, le désir et cette chaleur incandescente.

C'était sûre il allait jouir, mais, pas tout de suite, il fallait encore en profiter, il fallait encore...

Il se retrouva un peux plus en contacte avec la nuque de Julian, ce dernier sembla articuler quelques mots qui ne formèrent pas la moindre phrase dans l'esprit de l'hybride, mais la réaction elle ne tarda pas a se faire sentir. Oh oui le mordre, Mika ne se fit pas prier. Il n'y eu que deux mordillement préliminaire, presque doux, quoi que manquant de tendresse. Servant peut être plus à attendrir la chaire. Il respirait l'odeur du jeune homme, elle était agréable toute autant que son intimité, si délicieusement étroite qu'elle ne semblait demander qu'a être conquise à chaque mouvement de rein, ce que l'hybride se bornait à faire avec autant de plaisir que de violence.

Le plaisir semblait monter en lui à chaque mouvement, le submergeant totalement alors qu'il mordait le cou de Julian, tout en s'enfonçant un peut plus dans ce corps jusqu'à libérer sa semence. Un cris rauque lui échappa entre plaisir intense et soulagement alors qu'un gout de sang se répandait sur sa langue. S'était il mordu la langue...

L'hybride était encore parcouru de frissons incessant lorsque Julian le repoussa légèrement. Il n'en fallut pas plus à l'hybride pour se laisser rouler à ses coté, occupant à présent un bon trois quart de lit.
A la limite de sa conscience il remarque que le jeune homme s'asseyait sur le rebord du lit, peut être avec une exclamation vaguement douloureuse. Mais à vrai dire rien n'avait grande importance, seul le brouillard qui emplissait son monde semblait le contanté.

Des vague de chaleur semblaient encore l'habité et pourtant il frissonnait, son corps couvert d'une pellicule de sueur née de ces moments d'intense activités.

Il était bien, les yeux grand ouvert sur le plafond de la chambre qu'il ne distinguait qu'à peine. Cette respiration encore quelques peux saccadée qui était peut être la sienne, sa main posée sur son propre torse et qui se soulevait à un rythme qui lui donnait presque l'impression d'être sur le pont d'un navire.
Ces odeurs à la fois animale et musquée. Il ferma les yeux, la tête lui tournait, ça en était presque enivrant, agréable et à la fois étrange.

Il se mis un instant sur le coté ou peut être pas et peut être sa main alla frôler la peau de ce corps dénudé avec un peut trop de tendresse et de douceur par rapport a ce que cette nuit avait apporté de plaisirs sauvages.
Mais peut être dormait il déjà d'un sommeil à la fois agité par la drogue et paisible comme ceux dont le corps à été ravagé par le plaisir de la chair.

La lueur balafre de la lune caressait sa peau de nacre avec insolence. Cette peau offerte, dénudé, dont le drap qui la recouvrait ne cachait que la partie inferieur de son anatomie. Un peu comme un excès de pudeur. Alors même que tout son être était exhibé à mes yeux.

Je portais le verre rempli de liquide vert à mes lèvres, goutant cet alcool qui se voulait fort. Pour mon esprit quelque peu enragé, cela ne fit aucun effet, a part un certain dégout au niveau du palais.

Son torse. Ses muscles saillant. La naissance de sa nuque. Son cou … Mes yeux passèrent d’une partie a l’autre, caressantes, et mes doigt passèrent sur le bord du verre que je reposais sur la table de chevet. J’arrêtais mon mouvement quand une main a la peau doré vint se posé en travers du corps que je contemplais … Quel contraste !

La raie de lumière que le rideau tiré par mes soins laissait filtrer, se balada sur le visage de mon aimé, je sus que bientôt le clair de lune laisserais place a un soleil incandescent propre a cette ville. Mais aussi que les tentures lourde et noir que j’avais choisis pour la chambre ne laisseraient passer aucun rayon nuisant a mes yeux vampire .

Le bord du verre toucha à nouveau mes lèvres. Et ce liquide toujours aussi poisseux coula sur ma langue.

Le fauteuil sur lequel j’avais pris place, me permettait un regard plongeant vers le lit occupé. Les draps étaient défait, signe d’une nuit agité … ou d’une bagarre. Non. Pas de bagarre. Rentrant de Gothika pour une petite escapade j’avais escompté voir mon amour. Entrain de m’attendre peut être. Assis sur le canapé , ou endormis , je l’aurais réveillé d’un baiser. Pour me faire oublier que j’avais fauté. Je sentis son odeur sur le pas de la porte. Et je l’ouvrais en me disant que ce que j’espérais allais arriver.
Jusqu’à mon entré.
L’appartement miteux que j’avais quitté, sembla l’être un peu plus. Je ne savais quoi penser. Et l’idée que la milice ait pu retrouvé mon hybride m’avait un instant effleuré, sans que je n’y croie vraiment. Car je sentais autre chose. Mon organe olfactif me prévint qu’autre chose était arrivé. Je ne voulu le croire que quand je les vis.

Ce qui restait de ma boisson verte se retrouva vite ingurgité. Ne voulant surtout pas bouger, pour une raison que j’ignorais, je me versais les dernières gouttes de cette bouteille dans mon verre par la force de la pensé. Sans même bouger.

J’avais trouvé la porte de la chambre fermé. Mais l’odeur de Mikaël emplissait le salon attenant, mélangé avec celle plus écœurante de l’humain qui partageait … mon loyer. Pénétrant dans la pièce, je vis ce que j’avais inconsciemment déduis. Et ne fus donc pas surpris que deux corps nu gisent sur le lit…
Je levais mon verre, refusant de quitter du regard mon amant, fixant ses lèvres avant de passer sur ses yeux, ses cheveux, la façon dont il avait posé les bras, son angélique innocence… Je ne bus pas.

Peut être était ce l’intensité de mes pupilles, ou alors la lueur un peu plus éblouissante du jour. Cela dit, il finis par remuer. Légèrement. Imperceptiblement. Sa respiration se transforma en celle qu’il avait toujours au réveil … Je le savais du nombre de fois ou je l’ai regardé dormir. Bientôt, il ouvrira ses yeux bleuté, et resteras un instant à me contempler … que dis je ? Plutôt à contempler son compagnon de la nuit. Puisque d’habitude c’est moi qui me trouve a ses cotés, c’était légitime de penser à ses grandes pupilles encore endormis posé sur moi…
Toujours aussi immobile. Assis sur ce « trône ». je le contemplais pleinement alors que lui ne verrais de moi que mon ombre .
-Bien dormis ?
Quel voix doucereuse ! Ca ne présageais rien de bon. Mes paroles le tirèrent certainement de son sommeil. Voila que je voyais son regard pur.

Mdr, comment je peux garder mon sérieux après ça moi ? UN barbecue........¨¨¨^^Hem, je viens de me rendre compte que ce n'était peut être pas si loin de la vérité...]

L'hybride était parfaitement immobile, ses pensées défaillaient à l'aurore de la conscience, pas tout à fait endormis, mais loin d'être réveillé. Ses songes le menaient vers un chemin brumeux dont il ne parvenait à se détourner. Le parfum de Vaen s'était mêlé au sien dans la pièce, comme dans son rêve, ce parfum qu'il connaissait tant. Il se sentait bien, presque apaisé, pourtant cet état de conscience était à l'antipode de son état réelle. Si son corps était à présent parfaitement détendu, ça n'avait pas été le cas le reste de la nuit.

Il avait passé de longues heures à frissonné tout en ne sachant si il rêvait ou si il était éveillé et les drogues l'avait laissé dans un état d'épuisement presque totale.

Son rêve lui échappa tel une bulle de savon qui éclate, laissant derrière elle une vague fumée bleutée, ses sourcils s'agitèrent un bref instant alors qu'il faisait un pas vers le réveille.

Il pouvait sentir les draps sur sa peau et il lui semblait presque sentir le regard de son amant sur son corps. Un léger sourire lui vint au lèvres quand il entendis la voix de son aimé avant même d'ouvrir les paupières. Paupières qui lui semblèrent un peut trop lourde.

Il grimaça légèrement comme si se tirer du sommeil était la chose la plus négative qui pouvait lui arriver de la journée. Oui, la lumière semblait lui écorcher les yeux. Qui était donc l'imbécile qui avait ouvert ces rideau.
La seul chose qu'il désirait c'était refermer les yeux et retourner dans cette athmosphere feutré et douillette qu'il avait quitté précocement.

Mais il ne le fit pas. Quelques chose l'interpellait. Penser à la raison pour laquelle il était dans cet état d'épuisement lui semblait bien trop laborieux, comme si réfléchir était le pire calvaire que Satan aie pus inventer.

Il falut quelques instant pour que le regard bleu de l'hybride ne puisse discerner ce qu'il cherchait dans la pénombre depuis quelques instant.
Mais il était bien là, ombre parmi les ombres et l'hybride ne pus s'empêcher de sourire en le discernant, il l'aimait. Trop peut être, mais quel importance.

Pourtant un petit détaille insignifiant, une infime intuition lui chuchota que quelques chose ne tournait pas rond. Peut être étais ce le fait que la musique s’entendait toujours, comme si la radio qui diffusait ce groupe agonisait à chaque notes ou bien...

Quelques chose bougea dans le lit ! Quelques chose qui devait donc être également dans le lit....Et qui...N'était pas Vaen, puisque Mikael avait le regard braquer dessus depuis deux secondes - enfin, ce qui lui paraissait être deux secondes et qui se rapprochait plutôt des trois minutes.

"Monsieur Vaen... Pardon, ça se reproduira plus. Si vous voulez, vous pouvez dormir dans mon lit. C'est arrivé comme ça, je...

Mika haussa d'abord les sourcil l'air de ne pas comprendre - et effectivement, il ne comprenait pas, ce qui provoquait surtout un blocage dans son esprit était le faite que quelques chose avait été avec lui dans ce lit alors qu'il dormait....Ce n'était pas...NOrmal -

Puis aussi rapidement qu'il était possible de le faire il se détourna de Vaen pour poser les yeux sur la Chose, cela lui donna quelques peut le tourni, mais dés que la Chose eu finis de danser le tango devant ses yeux il le reconnu.

- Julian !

Et avec ce nom tout lui revins en mémoire. Ils avaient....Mmhhh oui, on pouvait voire ça comme ça. Ils avaient baisé ? Couché ? mmh, non, c'était pas vraiment ça. C'était plus proche de baiser, quoi que Mika aurait juste dis qu'il lui avait...Enfin, il s'était défoulé tout en prenant plaisir. C'était...barbare...mouais c'était en tout cas animale, égoïste...et bon.

Tout en regardant Julian qui avait tiré les couvertures pour dissimuler ce qu'il avait à cacher l'hybride, par un effort considérable, fit le rapprochement entre Vaen et Julian.

Sa première réaction fut de blêmir, non pas de peur, mais parce que la tête lui tournait affreusement et qu'il avait l'impression d'être partit pour un tour de moulin ou encore dans les montagne russe. C'était affreux !
La seconde réaction fut de rire. Rire parce que c'était absurde. Pour l'instant il ne parvenait pas encore à s'en vouloir. Par contre il s'accrocha au drap tant il riait, un peut nerveux peut être. Mais imaginer la tête de Vaen en les ayant découvert tout deux dénudé...Et la situation dans laquel ce pauvre Julian c'était mis, non c'était affreusement marant...surtout affreux en faite. Mais c'était tellement...stupide et sans intérêt...

Son rire me fit frémir .
Que le prenait il soudain ? Cette situation semblait l’amuser … Alors que depuis deux heures je fulminais en attendant son réveil.
Le fait est que en dardant le bleu de ses yeux dans les miens il fit vaciller ma colère et ma détermination, les changeant en un vague sentiment de culpabilité… N’avais je pas moi-même fauté ? Couchant avec un haut paire de la noblesse Gothikienne pendant les quelques jours ou je m’y étais exilé ?
Cela ne dura pas, j’étais bien trop fière pour avouer une quelconque incartade, et les quelques mots que l’humain prononça, me faisant me rappeler de sa présence, ravivèrent la rage sourde qui me consumait. Comment avait il osé ne serais ce que le toucher ? « il était mien ! A moi » avais-je envie de crier. Avant que les implications de ces paroles non formulé ne s’infiltrent dans mon esprit : La jalousie .
En voila une émotion qui n’était point dans mon registre avant aujourd’hui. Fallait il écouter les voix qu’elle insufflait a mon esprit , à savoir coller mon colocataire au mur a quelque centimètre du sol sans bouger de mon fauteuil avant d’expérimenter quelques nouvelles techniques de tortures sur lui, ou bien était il plus décent de prétendre cette situation fort cocasse avant de me retirer dans la pièce d’a coté ?
Aucune des ces solutions ne me convenais, je choisis donc d’improviser.
"Monsieur Vaen... Pardon, ça se reproduira plus. Si vous voulez, vous pouvez dormir dans mon lit. C'est arrivé comme ça, je..."
je souris . Du moins mes lèvres s’étiraient dans un soupçon de sourire. Puis répondis couvrant le rire de mon « aimé » :
« coucher dans votre lit ? Pourrais je aussi coucher avec votre ami ?» répondis je simplement .
Non vraiment, cela ne m’apporta aucune satisfaction. des joutes verbales avec un être aussi inferieur rendent mes mots d’une flagrante futilité. Je me levais donc, évitant soigneusement de toucher la bouteille d’alcool qui trainait à mes pieds, puis la main ouverte la paume en l’air je commandais à quelques vêtements épart de voler du sol pour finir leurs courses sur le lit. Un sous vêtement se retrouva malencontreusement sur la tète de « Julian »… quelque peu puéril de ma part il est vrai. Mais que pouvais-je faire ? Les quelques idées qui me venaient à l’esprit étaient bien trop violentes pour le détachement que je feignais.
Le son qui provenait de notre salle de séjour suffit à couvrir mon grognement quand me tournant vers la porte je vis un tube de lotion au sol. Du coin de l’œil je remarquais aussi un ruban de couleur métallique. Puis passant devant le lit de l’humain je sortit de la pièce et alla choir sur le fauteuil de l’autre , en envoyant valser l’appareil à sons disproportionné contre le mur pour me délecter du fracas que cela provoqua .