Une feuille de parchemin, une écriture fine ponctué de quelques taches d'encre. Les mots s'étalaient l'un à la suite des autres, parfois soigné souvent semblant écrit à la hâte. Les lettres, semblaient toute adressée à la même personne, son nom revenait à chaque début de page comme pour en souligner l'appartenance.
Le bureau, ou du moins la petite table qui en tenait office était rempli de diverse parchemin et il était difficile d'y voire clair. Seul le résident des lieu devait pouvoir mettre facilement la main sur une carte illustrant le déploiement des troupes ou encore sur les enveloppes dans lesquel il rangerait bientot son courier.
" Je n'ose pensé à vous et pourtant mon esprit est sans cesse happé par le simple murmure de votre prénom..."
Une tache d'encre s'étala sur la page. Mikael la regarda sans vraiment la voire, l'obscurité tel une goute de sang semblait se répandre sur la blancheur immaculé du néant de cette page. Tel était-il le monde ? Dévoré par la noirceur, facinante noirceur, décevante obscurité qui pourtant nous promettait chaque nuit quelques rêves éperdu, tel l'espoir au milieu de la vie.
Le visage de l'hybride chancela alors que ses paupières semblaient sur le point de se fermer. Mais avant qu'il ne chavire totalement de sa chaise il se repris, se passant la main dans les cheveux. depuis combien de temps n'avait il pas pris le temps de se coifer correctement.
Ses journées ne semblait plus avoir ni fin, ni début mais seulement une interminable suite de recommancement. Les troupes étaient à bout, il le ressentait bien lorsqu'il parcourait leur rang. Mais il avait l'intuition que tant qu'il serait là pour les poussé pour les forcer à garder la tête haute, il y avait une chance.
Et il ne renoncerait pas, non cette solution lui semblait aussi inconcevable que de perdre espoire.
La lettre fut rangée avec les autres. Les autres qui n'avaient trouvé de messager pour être remis à leur destinataire. Combien de lettres avaient été remis à Vaen Von Nyx ? L'hybride n'en savait rien et il redoutait même la réponse.
Que savait-il ? Des intuition, des espoir, peut -etre que du vent. Pourtant, alors qu'il s'allongeait sur sa couche, pour un repos aussi bref que superficiel. Il ne pouvait s'empêcher d'y penser. Ces lèvres, froide et pourtant, elle luia vait semblé brulante. Au début, il s'en était voulu, voulu de pouvoir imaginer de tel chose. A présent, c'est ce qui le tenait en vie. Ce rêve, ce songe, ce baiser dont il n'vait nul certitude et pourtant...Il savait qu'il avait exister car jamais il n'aurait pus imaginer un tel parfum, une tel caresse. Toujours, ce court instant l'emplissait de courage, celui de relever la tête, celui de tenir encore quelques instant.
Vaen...Comment aurait-il pus imaginer, un jour avoir temps d'espoir en un individu, comment aurait-il pus imaginer que ce vampire prenne tant de place dans son existance.
Il maudissait autant qu'il chérissait les moment qu'il avait passer avec lui. Ces instant était tel des étoiles dans l'obscurité et pourtant, pourtant ces instant éphémère et dont il ne lui restait ques des souvenir sonneit dans son esprit, cristalin, comme des souvenir passé dont il ne lui restait la moindre trace. Seul un souvenir persistant, qui ne l'abandonnait jamais.
Un bruit quelques part, lointain, sourd. Puis un segond, un sifflement et des cris. Des cris à l'orée du sommeil. L'hybride fronça les osurcil, tentant veinement de se cramaponé à son sommeil déja fuillant.
Puis un coup, si brusque, si violent qu'il en resta le souffle coupé. Il lui sembla que sa tente s'envolait, des éclair de lumière aveuglant et une douleur sourde au niveau de l'épaule.
Puis, plus rien.
Un court intervalle de temps s'était écoulé, pas même celui nécessaire au feu pour réduire sa tante en cendre, mais les flame lechait la toile avec avidité, déja, le lit sur lequel il reposait un instant plus tot était jonché par les flammes. L'hybride demeurait allongé sur le sol, ou l'explosion l'avait propulsé. ce devait être un de ces obus, aussi bruillant que destructeur.
L'hybride avait l'impression que son univers venait de s'embarquer pour un tour de caroussel, rien ne semblait stable, la nuit s'était engouffré dans ce qui avait été son campement et les flamme se disputaient la place à l'obscurité.
Sa chemise était humide de sang et ce ne fut qu'apres quelques instant qu'il remarqua que son pentalon était assaï par des flameches.
Se fut d'une démarche incertaine qu'il se redressa alors que des cris se faisait entendre à l'extérieure. Peut être son nom fut il prononcé, peut être pas. Les flemmes gagnaient du terrain, rongenat l'armature de la tante qui ne tarda pas à s'écrouler sur son propriétaire.
La nuit était étoilée, mais des étoiles on ne voyait trace, seul la fumée, acre et épaisse emplissait l'air de la nuit. Des gens criaient d'autre hurlait et même quelques un pleurait, tel des enfants égaré. Mais de ce tumulte, pas le moindre son ne parvins au oreille de l'hybride qui venait de d'extirper du brasier ou il était prisonnier. Sa chemise était déchirée par endroit et manger par les flammes et son épaule était grivement blessée, pourtant il semblait tenir debout et attrapa le premier soldat qui passa devant lui.
L'armée était quelques peut désorganisée, mais il ne faisiat aucun doute au regard de Mikael que les vampires ne tarderaient pas à reprendre leur sang froid et les hommes qu'ils comptait dans leurs rang suivrait le même exemple, même contre leurs grez.
Une colère funestre envahis mes veines, comme bien souvent depuis ce début d'année et ceux que je croisa de nortre camps n'eurent pas à me posé la moindre question pour connaitre la signification de mon regard. Les hommes de Modernis ne durent pas patienter longtemps avant de sentir s'abbatre sur eux le voile de notre colère, tel un linceul nocturne.
Je perdis rapidement tout repère, seul chose semblant me guider, le gout du sang sur mes lèvres. Le gout de tant de sang différent. La lame de ma hache mordait mordait les chaires, réduisant les armures, dérisoire, qu'il portait à état de néant. Je ne me retournait pas pour voire ceux d'entre nous qui restait debout derrière moi, je n'entendait que leurs cris et leurs souffel, que le rêle de ceux qui s'écroualit à mes pied alors que l'acier déchirait leurs coup.Pparfois des regard, des regard terroriser dans lesquels se reflètait l'étrange immage, trop familière, d'un être dont la seul énergie vitale semblait guidé par une folie de vengeance.
L'aube se levait. Brouillard épais, mais pas suffisemment, encore, que pour masquer l'étendue des corps gisant. Le parfum de la mort regnait en maître et le silence n'était brisé que par quelques lamentation, pleure parfois, douleur toujours. et au milieu, au milieu de cette étendue ou le rouge se le partageait à la noirceur. J'étais là, pas vraiment debout, aps vraiment étendu, il me restait suffisement de force pour tuer celui qui me faisiat face. Et c'est ce que je fis, rapide, éfficace, sans la moindre hésitation.
Je chancelais, mais cela ne semblait pas toucher mon esprit, rien n'avait d'importance, ni ces corps sur lesquel je m'étais depuis longtemp habitué à marcher, même si cela affaectait mon âme, ni les blessures desquel coulait un sang rouge et épais, mon sang, ce sang qui me quitait, me laissnt chaque instant plus faible, plus fou que ce que je n'était déja. Mais il n'était pas encore temps, non, la flemme qui me consumait brulait encore avec vigueur.
Un coup de feu retentit, Je chancela, portant instinctivement la main à mon flanc avant de me retrourné tout aussi rapidement. Une grimace anima mon visage maculé de rouge alors que je me précipitait vers l'homme. Quel age pouvait-il bien avoir ? Je ne laissa pas a son regard le temps de ma le dire. Avant qu'il n'ai eu le temps de recharger j'avais plongé dans sa poitrine le poignard qui ne me quitait pas et que j'avais dérobé à celui qui ne quitait mes pensées.
Je laissa le corps choire, me redressant, vacillant. Ma main se glissa sous ma chemise, cherchant à taton une petite sacoche, je la trouva et en sortit ce qu'elle contenait. Des lettres, une dizaine tout au plus, noircie de cendre, les autres ayant été réduite en poussière.
L'enveloppe s'ouvrit, laissant échapper les lettres, mes doigts y laissant des taches rouge. Vaen... Les mots semblait s'envoler porté par le vent, tel mes parchemin se répandant tel des missive dib-vines sur le champ de bataille à présent désert.
Je fermait les paupières, la brise jouant dans mes cheveux. Peut -etre le vent pourait il emporter toute la douleur et ne laisiser que la nuit, une nuit emplie d'étoile.
Il était là.
Je r'ouvrit les yeux, son parfum semblait emplir l'air, malgré toute les autres odeur, malgré le sang qui recouvrait mon visage, malgré la douleur et la fatigue, sa seul présence semblait emplir l'univers.
Je pivota et en quelques enjambée je fus devant lui. Mon regard bleu océan se perdant un instant sur son visage.
Je m'avançai d'un pas et mes lèvres frolerent les siennes, fermant les yeux je l'embrassa.
Rien n'avait d'importance, rien sauf cet instant, cet instant qui semblait emplir mon univers, balayer toute ces chose sans importance, cette barbarie, ces souffrance, cette guerre. La blessure que je portait à l'épaule ou celle par balle qui m'avait ouvert le flanc. Ni les cou d'épée que je n'avais pus éviter, rien n'avat d'importance sauf, ses lèvres contre les miennes.
Je n'eu le temps de dire le moindre mots, il n'y avait aucun mot à dire. Mes forces m'abandonnèrent et je m'écroula à ces pieds. L'obscurité pouvait à présent venir car j'avais gouté à la vie.