Le vent souffle, je souris. Le vent souffle entrainant mes pensées, entrainant dans sa route, dans sa chevauchée sans fin, grain de sables et rêve trop lourd. Je lève les yeux vers le ciel, ciel d'encre et de vermeille. La lune n'est pas encore là, espoir dissipent les ténèbres.
Le carmin du couchant noie les nuages tout autant que mes iris aveuglé de sang, reflet d'un soleil qui disparait à l'horizon. Mes doigts se perdent dans mes cheveux, crinière sauvage emmêlé de doutes dont je ne peux me défaire sans en mourir à petit feu.

Le regard se perd avant de revenir a toi. Toi tel une obsession clandestine. Je me retiens de prononcer ton nom et pourtant le vent me le murmure à l'oreille. Je lèvre les yeux vers une ombre passagère, le croassement d'une corneille, le vol feutré d'un messager sombre, l'éclat de son regard. Serais-tu là ?
Je te cherche sans te voire, je me perd à force de regarder, je te guète mais je ne t'oublie.

Mes genoux dans le sable, mais doigts se refermant sur le néant désertique qui ne laisse rien derrière lui que souvenir d'une vie.

Le vent souffle, murmure à mes oreilles, murmures d'une vie, murmure d'une histoire. L'aurais-je inventée, aurais je la force de la continuer. Les paupières se referment, une goute, tel un cristal. Une goute au milieu du désert, frêle, unique, presque timide, semblant hésitante, au coin de l'œil, s'accrochant un instant au cils avant de glisser, avant de tomber, avant de mourir sur le sable brulant.
Contraste de la terre et du ciel, Nuit étoilées, nuit de glace, vent mordant et pourtant...Pourtant n'est ce pas le signe de notre éxistance, la souffrance n'est elle vie ?

J'ouvre les yeux, regard marine sur l'obscurité de l'univers. Une questions pour chaque astres éclairant mes pensées, une question pour chaque espoir naissant à la nuit. Mes doigts s'élève à la recherche d'une lueur à attrapé, a faire mienne, mais rien ne répond à mes pensées égarées. Juste une. Suis je responsable de cette douleur, suis je responsable de ma douleur. Suis je responsable de son état ? Me torturer pour ce qui est, n'est il pas preuve de faiblesse.

Je suis ma propre douleur, je créer ma propre torture. Fatalité ?

Bruissement de plumage dans la nuit, la corneille reprend son envol sans un regard, sans un croassement d'adieux. Je ferme les poings frappant le sol avec faiblesse. En voudrais-je à la terre entière de ne pas me sentir à la hauteur de mes espérances. Le regard se perd sur l'immensité de la nuit.

Le vent souffle, apportant avec lui des parfums étrange, arôme de fleurs suaves et à la fois délicate, arôme exotique mêlé à l'odeur plus lourde, presque métallique, celle du sang fraichement coagulé. L'odeur, aussi, étrange légèrement dérangeante et pourtant pas encore nauséabonde, celle de cadavre ayant passé quelques heures aux soleils.

***

Le vampire était partis avant que l'hybride ne rencontre le petit groupes de cavaliers. Il ne connaissait pas l'identité de ceux-ci mais une chose était sure c'était des vampires. Une autre chose était certaines, resté avec cet hybride n'était pas une bonne chose.
Il connaissait vaguement ce Mikael, mais seulement d'ouïe dire. La vampire qui s'était occupé de le soigné n'avait pas dis grand chose a son sujet. Mais les quelques mots qu'elle avait laissé entendre a son sujet était suffisant pour savoir qu'il était quelques peut irascible et d'une humeur quelques peut colérique.
Si il l'avait accompagné c'était uniquement pour faire la moral à l'hybride, ses blessures, bien que guéries d'apparence devait encore cicatriser en profondeur. Un humain n'aurait pas survécu et le jeune hybride semblait oublier qu'il avait échapper de peux à la mort.
Oh, le vampire se fichait de savoir si il guérirait vraiment ou non, mais désirait seulement que l'autre respecte le travaille que la guérisseuse avait opérer sur lui.

Puis, il l'avait laissé allez, Mikael désirait apparemment être seul et resté à ses cotés n'était ni agréable ni indiqué. Cet individu pouvait se faire aussi désagréable que possible quand il le désirait et son regard ne disait rien qui vaille.

Ainsi passa trois bonnes heures, trois heures avant que le vampire ne reviennent sur ses pas. Il avait passé l'après midi au campement, guettant parfois le retour du jeune homme jusqu'à se décider à revenir à l'endroit ou il l'avait quitté.
Avant même de franchir la dernière dune de sable il sut qu'il trouverait sur celle-ci un spectacle qui ne lui plairait pas. Mais il ne s'était pas attendu à voir un tel spectacle. Les yeux opalescent du vampire se fixèrent sur la scène qui figurait en contrebas. Des corps mutilés, certains d'entre eux n'était même plus entier, comme si on s'était plus à en arracher un bras ou une main.
Le vampire ne parvint même pas a faire le compte, pourtant, il sus qu'ils étaient aux nombre de cinq, car il s'agissait bien des cavaliers de l'après midi.

Il tournait déjà les talons lorsque son regard aperçu une silhouette qu'il ne pus que reconnaitre aux premier coup d'œil, il s'agissait bien là de l'hybride, agenouillé dans le sable, torse nus, lui tournant le dos. Le vampire frémis à sa vue, son regard n'était pas assez perçant pour apercevoir si il portait des blessure ou non, mais son odorat lui le lui disait. Mais il ne fit pas un pas vers lui, au contraire, il retourna au campement à bonne allure ou il raconta à ses compagnons ce qu'il venait de découvrir.

***

Le vent soufflait, pourtant je n'en ressentais pas la morsure glacée comme je l'aurais dus, un sourire sur les lèvres je me redressais. Je ne sentais plus mes jambes engourdies, mais cela n'avait pas d'importance, la nuit m' appartenais et le monde était nôtre.

Silence.
Je n’arrêtais de le répéter , l'impuissance m’angoisse. A chaque attaque je ne suis que plus faible , et cette faiblesse m'effraye.
Or, depuis quelques temps, toutes mes batailles m’amènent a ce point d'incapacité qui m'écœure. Peut-être est-ce la conséquence de mon inconscience, ou le fait que je me surestime assez pour oser attaquer plus fort (ou plus nombreux ) que moi . Cela dis, je ne suis pas prêt d’y renoncer … Car les nombreuses fois ou je m’étais tiré de justesse, m’ont procuré un indicible délice.
Cette fois ne fut pas comme les autres. Rester en vie, étais déjà une prouesse, et j’étais certain que les autres qui avaient visité ce genre de bâtisse sortaient rarement vivant .
Oui j’y avais repensé . Le breuvage de cette satané druidesse étais assez fort pour me tenir cloué a mon lit sans bouger , sans tourment, ni peine … mais bien rapidement l’effet se dissipa. Pas celui de l’anesthésiant physique, mais celui morale. Surement que mon esprit troublé ne pouvais être muselé.
Je sus alors ce que voulais vraiment dire l’impuissance.
J’avais les yeux ouvert , mais je ne voyais rien , je respirais , mais l’air qui ressortais ne titillais point mes cordes vocales , je ressentais les caresses de mon amant , son odeur, mais je ne pouvais plus lui prouver mon amour. Alors je ne pus rien faire de plus qu’attendre… encore … et encore.
Pour m’aider a me calmer , a m’évader de mon pire cauchemar , je me mis a compter la respiration de Mikaël . Tout le temps qu’il passa a mes côtés … Me serais-je endormis que je n’en aurais rien su.
Jusqu’à ce que j’arrivais a bougeais mes doigts … plus de 3 million de respiration plus tard.

Je le rejoignis. Au sommet de la montagne .
Non je ne l’avais pas tué , cette vampiresse qui m’avais fait endurer un enfer . Ce n’est point peine d’avoir essayé . Cependant j’avais beau me prétendre vil, je tuais rarement mes bienfaiteur , et dernièrement , je ne tuais point de patriote.
Damné soit mon bon côté. Je devenais encore plus restreint a chaque fois que ma conscience se réveillai.
-On essaie de s’évader ?
J’étais rhabillé, baigné , et coiffé . Ces soldats croyaient encore en moi à ce que j’ai cru comprendre. Ou alors ils ne connaissaient pas mon identité pour m’achever.

Mon regard se perdis encore un instant dans l'obscurité de la nuit avant que je ne chasse de mon esprit les pensées tourbillonnantes qui ne pouvaient que l'animer sans cesse. Je savait bien que le regret reviendrait bien assez tôt et que la mélancolie n'était jamais loin de mes pensées. Mais il était peut être temps pour moi de les accepter et de les faire mienne plutôt que de m'en vouloir sans cesse pour ce caractère qui semblait être le mien.

Je me redressais, respirant doucement les parfums nocturnes avant de me retourner, reprenant le chemin qui menait au campement. Je ne dus pourtant regagner ce dernier, ce qui était d'ailleurs préférable pour tous. Plusieurs jours s'étaient déjà écoulé depuis le moment ou je ne supportais plus la présence de ces vampires. Il m'était devenu insupportable de les voire, surtout cette vampire, le sexe féminin ne m'était jamais parus aussi insupportable qu'à présent. Et s'était peut dire. Moi qui n'appréciait déjà que très peut les demoiselles qui ne cessaient de jacasser pour ne rien dire ou de se faire bien voire aux yeux de tous, à croire qu'elles n'avaient que les apparences à l'esprit.

Mais à présent, la gente féminine avait atteint les sommets, ce n'était qu'une question de temps avant que je ne passe à l'action. Et je savait cela indubitable et ne parvenait même pas à m'en vouloir ou a trouver une solution.

Combien d'heure pourrais-je encore rester étendu auprès de mon Amour. Combien de fois pourrais-je encore croiser le regard de cette vipère, qui avec un beau sourire tentait de calmer mes nerfs. Je ne connaissais son pouvoir et ne parvenait à m'en dépatouiller tout a fait. Il devait s' agir d'un charme, mais je présentais qu'il n'agirait plus très longtemps sur ma personne.

Le vent s'était levé, entrainant avec lui des parfums nocturne, il me semblait déceler le sien et un léger sourire vint jouer sur mes lèvres. Combien de temps ? Cette question semblait revenir sans cesse, tel une litanie incessante. Combien de temps resterait-il encore étendu. Semblant inerte, absent...Je ne trouvais pas l'expression exacte de son regard qui me semblait étrangement vide.
Je ne pouvait le regarder sans sentir mon propre sang bruler mes veines tel le poison de l'impuissance. Avais je cessé de m'en vouloir ? Je ne savais pas.
J'aurais du faire quelques chose, mais quoi ?

J'avais crus à un mirage, mais il était bien là, ce parfum...

-On essaie de s’évader ?

Je me mis inexplicablement à rire. Ne pouvant quitter son visage du regard. Son expression n'avait pas changé et cela me soulageait énormément. Mon rire cessa. Il était toujours aussi magnifique, s'en rendait-il compte ? Ces cheveux noir, mais surtout le sourire qui parfois se dessinait sur ces lèvres, un sourire qui souvent était un jeux, mais auquel on ne pouvait que succomber.

- On essaye ?...C'est une blague !

Je le défiait un instant du regard avant de jeter un coup d'œil vers le bas de la pente ou un groupe de cadavre semblait servir de festin à quelques rapace nocturne. Non loin de là deux chevaux, ayant précédemment servit de monture à des cavaliers, qui ne se peindraient plus jamais du vols que j'allais perpétrer, semblait nous attendre.

Je rejoignis les deux équidés, étrangement de bonne humeur, tout me semblait parfait. Cette nuit était parfaite, froide et légèrement venteuse, les étoiles brillaient mais il n'y avait pas de lune. Et Vaen était de retour.
J'attrapai le premier des deux chevaux, un baie à la crinière d'un noire d'ébène, un simple coup d'œil me suffit pour savoir que c'était une bonne monture, les membres fin et sec, une petite tête expressive et une encolure puissante.
Le second était d'une taille légèrement inférieur, mais sa croupe dénotait une grande puissance, c'était le genre de petit étalon fougeux et rapide, un rien caractériel. Je mis le pied à l'étrier, tout en flattant l'encolure du petit cheval gris qui semblait se demander si il allait tanter de m'éjecter tout de suite.

- Là mon joli, calme.

Il sembla se calmer au son de ma voix et une légère pression de la jambe suffit à le mettre au trot pour rejoindre le vampire qui attendait quelques mètre plus loin.

Je sauta du dos de l'animal et fit approcher le cheval brun afin que mon Amant puisse monté dessus.

- Si vous voulez bien prendre la peine de monter sur le dos de ce charmant animal, Maître.

Je le regardais d'un air amusé, mimant quelques peux l'expression que j'avais si souvent eu quelques décennie plus tôt alors que j'étais son soit disant dévoué esclave.

Mais avant qu'il ne puisse monter sur le cheval que je lui destinait, je lui volais un baiser. Ne lui laissant pas le choix de me contredire ou non. Un baiser volé était certainement mieux que pas de baiser du tout. Puis, je l'avais bien mérité.

Je sauta a nouveau sur le dos de l'étalon gris, insouciant à mes blessures, insouciant au froid qui mordait ma peau dénudé et tout à fait indifférent au carnage que j'avais perpétré quelques heures plus tôt sur la personne de cinq vampires dont les restes se faisiat dévoré quelques mètre plus bas.

Je talonnais ma monture qui fit un petit bon avant de se mettre au petit galop.

Je souris, heureux de pouvoir enfin le regarder. De le voir. Ses yeux si bleu, ces yeux qui me captivaient mais que le couché de soleil, certainement magnifique, ne me laissais pleinement savourer .
Ses cheveux me semblaient plus long , étais ce un effet de mon imagination ? Le résultat d’un trop long séjour dans le noir ? Ou je n’eu cesse de remémorer le moindre des trait de mon hybride parfait , mes souvenir les plus anciens , ceux ou mon Mikaël était encore un ange pur . Mon esclave torturé, dont l’âme en peine me charmais par sa vulnérabilité, autant que par sa force. Puis ceux plus récent , d’un ange dont la virilité n’étais plus a prouver, l’indépendance me terrifia un instant.
Etais ce encore le cas ?
Certainement …
Mais je subissais les affres et l’impuissance de l’amour.
J’étais vulnérable une partie de moi se haïssais pour ça , j’avais succombé a ce que je m’étais promis d’oublier .
Cependant , l’immortalité semblai trop longue pour garder ses promesses . Et pour une fois je me plaisais a transgresser mes propres principes. Pour la première fois depuis deux siècle je prenais un vrais risque .

Ce n’était point de tout repos : Je jalousais l’air rien qu’en le voyant caresser le visage de mon aimé, rabattre sur son front quelques mèches folles, un peu trop indiscipliné pour le fils d’un comte … et l’amant de son successeur.
- On essaye ?...C'est une blague !
Je ris. Alors que je désignais une évasion mentale de sa part, la première chose qui lui venait a l’esprit fut une évasion du campement qui nous avais recueilli mal en point, et dans lequel j’avais passé d’horribles heures d’inactivité. C’était sûrement le cas pour lui aussi.

Ses yeux me scrutaient un instant avant de voleter vers l’odeur alléchante de sang que je sentais depuis quelques instant… des marques de haches m’existaient plus qu’elle ne l’auraient dû : c’était son œuvre, a n’en pas douter ... Magnifique .
-oh ! un petit déjeuné ?
Ce n’était certainement pas la cause de cette tuerie, il savait que je n’aimais point la nourriture prémâché… je découvris vite ses intentions voyant les montures qui hennissaient un peu plus loin. ma fatigue se fit alors sentir , alourdissement des membres longuement inutilisé .

Apparemment l’Alezan noir m’étais destiné. On se demandait pour quel raison ? Cela dis le pure sang grisâtre que mon Mikaël choisit ne voulais visiblement pas de lui … Pour ma part ça ne m’aurais pas dérange d’être chevauché.
- Là mon joli, calme.
Sa voix !
- Si vous voulez bien prendre la peine de monter sur le dos de ce charmant animal, Maître.

Je lui rendus son regard amusé, tandis que mon esprit s’imaginais monter autre chose que cet animale. Ses lèvres caressant furtivement les miennes n’arrangèrent rien à mon état mais mes reflexes encore en rééducation empêchèrent mes membres de retenir cet esclave qui m’échappa au galop.

Le rattraper ne fut pas difficile, cette fougueuse monture étais aussi nerveuse que moi, et mon aptitude a dompter les ardeurs ne mis pas longtemps a me revenir. D’une main je caressais l’encolure sombre du cheval qui suivait la moindre de mes envies aussi aisément que s’il m’avait appartenus toute sa vie, l’autre alla agripper la lanière en cuire de l’autre étalon et tira d’un coup sec afin d’immobiliser les deux destriers .
Je mis pied a terre avant même que les animaux ne finissent leurs trot , entrainant avec moi Mikaël , le faisant tomber dans l’herbe et reprenant vite le dessus en le bloquant sous moi. Mon corps déjà tendus montrais mon impatience plus que de grand mots. Mon baiser se fait insistant , bien trop, ma langue n’attendis même pas de permissions pour caresser les siennes, si résistance il y avais je ne l’aurais même pas sentie… toutefois elle aurais été la bienvenus puisque un peu de torture m’aurais bien arrangé .
-j’aurais espéré plus d’entrain de ta part a mon réveil … Mon amour .
L’ironie de mes paroles, se changèrent en tendresse tandis que je prononçais les derniers mots. Et que mes dents allèrent buriner son cou au nectar si captivant .

Je sentait le vent sur mon visage, mes doigts se serrant un peut plus sur les rênes de ma monture, la retenant malgré le désir de lui échapper. Il me semblait encore deviner son parfum sur mes lèvres.
Je n'avais compris, que lorsqu'il s'était mis à rire, que son escapade n'était en fait qu'un jeux d'esprit. Je n'avais que trop rapidement bondis sur l'occasion de fuir ce campement et les restrictions qu'il m'avait imposé.

Quand à ce petit déjeuné, il n'avait éveiller pour moi qu'un petit sourire que je réservait d'ordinaire, plus exclusivement à ceux qui étaient victime d'un de mes bains de sang.

Je percevais le souffle de la monture de mon amant qui rattrapait la mienne sans aucun effort. Croiserais je son regard lorsqu'il m'aurait rattrapé ? Que lirais-je dans son regard ?
Ou étais donc passé l'esclave, l'hybride soumis malgré la colère qui grondait en lui. Ou était donc passé le jeune hybride se noyant dans la douleur pour ne plus se sentir torturer. Celui qui craignait autant le bonheur que la souffrance car tout deux ne devait être que douleur ? Ou était le fils bâtard des Von dast qui lorsqu'il faisait couler le sang d'autrui espérait presque secrètement mourir à petit feu ?

Je vis sa main se refermer sur la rêne de ma monture et n'attendis pas longtemps avant de sentir l'impacte, si il était descendu d'un bon souple et avec une élégance qui lui était aussi naturel que le fait d'exister, il en fut différent pour ma personne. Le petit étalon gris, non contant de se voire stopper aussi brutalement se cabra en hennissant, je n'eus pas le choix de l'accompagner dans son mouvement puisque une main d'une pâleur vampirique s'était refermé sur ma personne.

Je sentait les brins d'herbes me chatouiller les oreilles et le cou. Mon corps était il un peux plus meurtris par cette chutes, les récentes blessures s'étaient-elles a nouveau colorées d'un filme carmin. Je n'en savait rien et ça n'avait grande importance.
Son regard avait-il toujours été aussi brillant, aussi sombre et séduisant ou était ce le jours faiblissant qui me le fesait paraitre si obscur et à la fois mystérieux. Sa peau était elle déjà si pâle ou la lune jouant sur son visage la faisait-elle paraître plus lumineuse, plus douce, plus envoutante. Envoutante, comme l'était sa personne, envoutante de désir que je me devais pourtant de réfréné.

Car oui, même si les délices de sa langue, passant la barrière de mes lèvres entrouvertes, me faisiat chavirer les sens, je me devais de garder un peut de sang froids, sans quoi...Il était certains que je ne pourrais que mourir de désirs.

-j’aurais espéré plus d’entrain de ta part a mon réveil … Mon amour .

Mon regard s'assombris. Son réveil...Je lui aurait fait ravaler ses mots si un "Mon amour " n'aurait coulé avec tant de douceur de ses lèvres purpurines. Noyant ma colère - née d'interminables heures d'attentes - dans les sentiments qu'il m'arrachait de gré ou de force.

Je ne pus retenir, non plus, une exclamation de pur plaisir lorsque ses canines vinrent mordiller la peau de mon cou, un frisson me parcourant, semblant me rendre dingue au point que je ferma les paupière pour tenter de garder mon sang froid, qui d'ailleurs devait être aussi bouillant que ma peau.

- J'aurais espéré que vous vous décidiez un peut plus rapidement à quitter vos pénates mon chère Comte. Si j'avais sur que cette présence féminine à votre chevet vous était si délectable, croyez bien que j'aurais changer de garde robes depuis des lustres.

Mes propres paroles auraient presque réussis à me répugner, si du moins elles n'avaient été prononcées que dans le seul but de tenir tête à mon adoré.

Il était une fois de plus assis à califourchon, mais cette fois si ce n'était plus l'étalon alezan qui se trouvait entre ses cuisses. Je dardais mon regard dans le siens, désireux de sentir un peut plus que ce que je pouvais percevoir de son corps un rien tendu.

Libre de mes mouvement, ma main se posa innocemment sur son torse. Mes sourcils se froncèrent au contacte du tissu. Que cela était ennuyant !
Joignant le geste à la pensée, après un léger regard de défis je lui arracha plus ou moins le vêtement, qui se déchira, juste comme je l'avais désiré, dévoilant son corps, tout en recouvrant toujours ses épaules.

- Vous êtes toujours aussi séduisant mon amour...

Tout autant ou se premier jours dans une villa de Modernis, mon père me l'avait présenté. Mon regard c'était posé sur ce Thanatos, dont je ne savait rien et qui pourtant me paraissait, malgré moi, terriblement séduisant et pour cette raison peut être, je l'avais détester. Peut être parce que je présentais déjà, que je ne pourrais éternellement lui résister, pour la simple raison, que je n'en avait pas envie. Encore fallait il le savoir.

Vaen et son regard froid, son air indifférent, son comportement hautain et pourtant...Ce petit sourire à peine présent, mais qui à tendance à vous mettre en colère alors que lui même continue d'afficher ce regard un rien intéressé, mais si blaser à la fois.

Ma main remonta de son nombril jusqu'à son menton, l'attrapant entre le pouce et l'index.

- J'espère que vous n'aviez plus besoin de cette chemise ?

Lui demandais je d'une fois faussement navré et intéressé.

Sa peau douce, cette chaire tendre, tellement délicieuse, j’avais l’impression que bientôt je ne pourrais plus contrôler mes gestes, mes lèvres étaient collé contre le point le plus exquis de sa personne (pour l’instant) là ou le pouls battais le plus fort , sa chaleur irradiais par vaguelettes contre mon visage , et je savais que pour sa part j’étais d’une fraicheur désagréable. Cela ne devais pas tant le déranger vu la respiration saccadé que je sentais contre ma joue, et le torse musclé qui cognait contre le mien.
- J'aurais espéré que vous vous décidiez un peut plus rapidement à quitter vos pénates mon chère Comte. Si j'avais sur que cette présence féminine à votre chevet vous était si délectable, croyez bien que j'aurais changer de garde robes depuis des lustres.
Je quittais son cou pour reprendre ses lèvres contre les miennes , et le mordre d’une manière tellement brutale que son sang coula (enfin) dans ma bouche.
-Voilà ton châtiment pour ces paroles absurdes très cher.
Ça n’allais pas finir en si bon chemin, déjà le bout de tissus qui me grattais se retrouva enlevé , d’une manière quelque peu violente… les pans de cette chemise déchiré, furent écarté de façon similaire.. pour qu’enfin l’herbe sauvage qui a mon insu caressait mon homme, s’amuse a aider les mains de ce dernier dans sa découverte de mon torse .
- Vous êtes toujours aussi séduisant mon amour...
Mon désir étais bien trop exacerbé pour que je pense à lui répondre , je n’étais même pas sure d’avoir tout entendus , ou alors mon cerveau avait-il oublié de traiter l’information , de la stoker dans une partie de mon esprit capable de trouver une réplique … Bien vite la chaleur de mon corps (proche du zéro) commença à augmenter légèrement . Et je dû m’exhorter au calme pour que notre rencontre ne soit pas précipitation.
- J'espère que vous n'aviez plus besoin de cette chemise ?
La caresse de son doigt, assenions d’un point chaud de mon nombril a mon menton , me fit arrêter ma « besogne » et figer , le visage a quelques centimètre du sien, respiration saccadé non pas d’effort ou de quelconque fatigue , mais désireux de sentir le plus possible son odeur , tout en scrutant ses yeux .
-Quel dommage, elle était si douce pourtant .
La chemise.
Ce tas de lambeau a mes pieds maintenant, pourquoi est-ce que je ne sentais pas encore la chaleur de mon amant sous moi ?
Je me rendis compte que ses vêtement a lui, étaient encore sur son corps. Quel affront !
J’insinuais une main entre nous, reprenant ses lèvres entre mes dents, mordant plus qu’embrassant, tandis que mes doigts pinçaient les boutons de son gilet… pourquoi tant d’indulgence pour ce vêtement ?
Lentement , c’était meilleur .

Oui lentement c’était bien , Sauf quand on ne tenais plus son ardeur , quand le corps étais tellement tendus qu’il en devenais douloureux … agréablement douloureux. Après avoir libéré tout ces joli attaches , je me détachais de sa bouche , embrassant son menton , son cou, sa nuque , puis son torse que ses poumons agitaient de façon saccadé, son cœur battait vite , pompant dans son corps un sang chaud, qui chauffais encore quand aidé de ma langue et de mes dents je traçais un sillon jusqu’à son nombril. Le Chemin inverse qu’avais suivis ses doigts .
La ma main avais déjà enlevé le premier bouton qui renfermait un renflement évident, le parfait reflet de mon propre désir .

Le sang de ma lèvres amoureusement meurtrie imprégnait à présent ma bouche. Mon propre sang, venin au parfum voluptueux, chaux et délicatement métallique. Bien que le sien me paraissait le nectar le plus exaltant je ne pouvait empêcher l'excitation de me gagner, malgré ma position de demi sang, chaque années qui m'éloignait de ma naissance me rendait un peut plus dépendant de cette savoureuse substance carmin.
Mais il était évident que mon excitation actuelle n'était pas seulement due à ce fluide voluptueux et sanguinaire.

Ses lèvres regagnèrent les miennes. Ses dents semblant chercher à me blesser d'avantage avec un délice que je ne pouvait dissimuler. Mes doigts caressant se firent griffes, laissant certainement derrière leurs passage quelques ligne rouge sur son dos dénudé.
Je ne laissa entendre le moindre gémissement, mais ma langue fouailla sa bouche avec une envie non dissimulée. J'entendais sa respiration saccadée à mon oreille, elle faisait échos à la mienne qui doucement semblait au rythme de mes battement de cœur prendre un tempo frénétique. J'avais terriblement envie de lui au point que mon corps semblait me bruler de l'intérieur.

Il s'était mis à déboutonner mon vêtement avec une de ces lenteur exaspérante qu'il était bien le seul à pouvoir maitriser, j'aurais déjà voulu sentir son corps bouger contre le mien, sa peau de glace frôler la mienne.
Cette lancinante attente était heureusement suffisamment douloureuse pour me procurer un étrange plaisir qui ne demandait pourtant qu'à mourir de satisfaction.

Résolus à ne pas lui faciliter la tâche, je ne pus tout de même retenir le gémissement qui naissait dans ma gorge lorsque ses dents, frôlant ma chaire brulante atteignirent le nombril. Ses doigts agiles s'affairait un peut plus bas et j'escomptais à ce qu'ils se hâtent car ma patience venait de se voire achevée d'un coup de langue sur ma peau brulante.

- Vaen...

Ha ! Je ne pus dire que cela et pourtant tout était dans ce murmure à moitié entrecoupé, empli d'un désir aussi visible qu'audible. Je priait qu'il vienne rapidement à bout de la fermeture de ce maudit pantalon et que la ceinture ne lui oppose la moindre résistance. Quand à moi, il fallait bien que je lui oppose une résistance, au moins symbolique. Mais pour l'heure, seul la délicate fragrance de sa peau me faisait tourné la tête, tout autant que mes désirs qui avaient de plus en plus de mal à être réfréné.

- Dépêches toi ou je vais perdre patience.

Ma main remonta le long de son échine pour se perdre avec une certaine violence dans sa chevelure, laissant certainement sur sa nuque quelques griffes d'un rouge quelques peut trop pâle à mon gout, mais soit. Je le dévisagea, avec dans le regard, une envie irrépressible de le faire mien une fois de plus et de me faire sien avec une passion dont je ne me passerait jamais.

Mes lèvres se posèrent sur les siennes et je l'embrassait au point d'en avoir la tête qui tourne, mes sens semblant se perdre dans une passion brulante et presque douloureuse, ce qui n'en était que plus affolant et agréable.
Ma langue parcouru bientôt la courbe de son cou jusqu'a s'arrêter avec résolution ou aurait du battre le sang avec le plus de force. Je suffoquais presque de désir, ma main se perdant sans la moindre bien séance sous le seul vêtement qui lui restait, vêtement atrocement serré. Je le caressais avec ce qu'il fallait de douceur, mais surtout avec envie.

Mes lèvres n'en restèrent pas là, son parfum m'affolait d'un envie irrépressible qui ne fut combler que lorsque mes dents se refermèrent sur ses lèvres, les meurtrissant avec délicatesse jusqu'à ce que je puisse sentir l'étrange liquide d'un froid de glace couler avec volupté sur ma langue.

C'était affreusement bon et je trembla de tout mon être. Ce sang m'avais été interdit, par la force des choses, depuis tant de temps, plus d'un an. Plus d'un an sans touché sa peau, sans gouter le pêché de nos amours, sans la moindre goute de son sang dusquels j'étais si friand. J'allais me rattraper, j'y comptait bien. Et pour l'heure, je mourait de plaisir de gouter ce breuvage carmin.

- Mmhh...

Pour quoi est ce qu'il y avais des gens qui n'aimaient pas la douleur ?
Cette sensation si ... exaltante! tellement proche de l'extase que pour ma part je ne pouvais les différencier ... Surtout si cette torture provenais des griffes de mon bien aimé .
Le souvenir de tout autre être qui ai pu croiser mon chemin l'année passé quitta mon esprit . Je ne ressentais plus de culpabilité a avoir partagé la couche d'Asmodé ou de tout autre hybride ... Car je n'avais tout simplement plus aucun souvenir des autres ...
Rien n'existais plus pour moi, a part le corps de mon Mikaël, couché sous moi, languissant sous mes caresses, soupirant et gémissant pour mes baisers... Mon sang comme le sien furent mêlé quand il osa me rendre ma morsure .

J'étais juché sur mes avant bras, de part et d'autre de son visage affin que mon poids ne le fasse suffoquer ... plus qu'il ne le faisais. Mais aussi pour le sentir, son corps, voir ses yeux aux pupilles dilaté, son souffle contre moi, le spectacle qu'il m'offrais quand j'arrivais a ouvrir les yeux ...
- Dépêches toi ou je vais perdre patience.
Pour toute réponse il eu droit a un arrêt de toute activité...
-Me donnerais-tu des ordres ?
... jusqu’à ce que je n'arrive plus a tenir. que je me rattaque a ce satané pantalon.. pour enfin le déchirer comme a peu prés tout les autres vêtement qui m'avais empêche de toucher sa chaire .

- Mmhh...
Il me faisait tellement d'effet que j'en perdis tout contrôle. je m'aprétait a introduire ma main sous ce qui lui restais de ces haillons ... Quand un coup de feu retentit .
Ce n'étais pas loin. 800 mètres au nord .
Bientôt d'autre son parvinrent a mes oreilles, le bruit de pas sur l'herbe était distinct ... 3 personnes dont l'odeur chatouilla mes sens, pleinement alerte.
-Diable .
J'étais, il fallait le dire ,dans tout mes états. même sentant qu'un danger planais je n'arrivais a désenfler ... n'en ayant pas envie par ailleurs. Peut être que, si on arrivais a rester assez figé, ceux qui passaient par la ne s’arrêteraient pas, ne se rendraient pas compte de notre présence.
Non pas de la lâcheté, non ! une armé d'humain n'a pas eu raison de moi, un humain et deux hybrides encore moins. Cela dis. J'étais si bien ...
-Ne bouge pas .
Soufflais je . juste quand le hennissement des chevaux me rappela leurs présence... Et le fait qu'un autre coup de feu beaucoup plus prés venais de retentir .

Mon expression se fit agacé, Chasser ne me ferais pas de mal . Enfin si! Cependant plus vite je m'occuperais d'eux, plus vite j'aurais la chance de finir ce que j'avais commencé .
Je me relevais en un bond, remit en place mes oripeau, plaquant un sourire mauvais sur mes lèvres. J’accueillis les nouveau venus .
-Bonsoir messieurs .
Oui je bandais encore .

Evidemment à ma réplique qui n'était en faite qu'une supplication améliorée il ne pus que répondre. Je savais intérieurment que lui intimer de se hâter n'aurais que l'éffet contraire. Mais mes désirs se faisiat pressent. Après un an et quelques mois d'abstinance il y avait de quoi. Mon regard d'un bleu proche du turquoise alla donc le fusiller durant tout le temps qu'il décida de me punir en prennat un temps désagréablement long à me fixer du regard sans pour autant me froler, ne fut ce que du bout des doigts.
Ma seule revenche silencieuse était le faite que je le savait aussi peux patient que moi même. Quelques gonflement de son anatamie en attestait d'ailleurs, ce qui me fit sourire d'un air faussement moqueur, car j'était bel et bien dans le même état.
Je devais juste me rappeler de temps à autre que j'étais sencé etre dominé...et qu'apres tout je n'était qu'un esclave. Cette seule pensée me faisiat tout autant sourire.

Enfin monsieur le Comte se décidea à s'attaquer à mon pantalon, qui je dois le dire n'eu pas tellement de chance fasse à ses doigts. Apparement, MON vampire manquait de patience avec les boutons.
Mes habits furent rapidement émietté, car déja précédement déchiré, pour lui révèler mon corp, casi nu et mes dernière blessures dus à ce léger massacre que j'avais perpetrer sans sa compagnies et dont le seul souvenir qu'il me restait était un léger manque de sang dans les veines et quelques jolies estafilade de plus.

Je ne pus que gémir sous ses doigts qui descendaient innexorablement et dont la caresse me rendait à moitié dingue. Me mordant les lèvres je pus tout de même résister aux envies folles qui me traversaient l'esprit. Idées que je me ferais un devoir de mettre à éxécution dés que je l'aurait totalment dévétis.

-Diable .

Qu'avait-il donc a rester tel une statue, j'allais commencer par lui dire ce que je pensait de sa patience et de son manque total de réaction. Je fermais les paupières me dictant, avec difficulté, de ne pas le brusquer....Avant de me demander ce qu'il m'arrivait de me dire de tel chose. Depuis quand ne devais je pas brusquer Thanatos Vaen von Nyx...Quelques chose ne collais pas.

-Ne bouge pas .

Non décidément quelques chose ne collait pas. Ce ne fut que lorsque les chevaux hénnirent que je compris a quel point j'était loin de la réalité. Le premier coup de fee était passer totalement innaperçus a mes oreilles. Pourtant à présent j'e percevais l'odeur. l'odeur de la poudre. Une senteur si désagréable et qui me faisiat tellement penser à Modernis que j'en eu presque la chaire de poule...Et c en'était pas parce que le seul habit qu'il me restait était celui qui dissimaulait mes partie génitale.

Un soupire des plus agacer franchis mes lèvres alors que le poids qui se trouvait un instant plut tot à califourchon sur ma personne disparut de mon champ de vision. Je serrais les dents mais cela ne suffit par à diminuer mon état de frustration.

Je perçus un froissement d'étoffes alors que mon amant se rhabillait à la hate. Deux hybride et un humain, voilà ceux qui venait de m'arracher MON Vampire, ceux qui venaient de me hôter ma raison d'être, ceux qui venait de froisser ma personne au point de m'en couper le souffle alors que Vaen les accueillait avec des "Bonsoir messieurs" qui me parurent extrement poli et amicale pour la situation

Le fait que j'était toujours alongé sur le sol à moitié...ou plutot à trois quart nus et que mon torse était maculé de diverse plaies plus ou moins sanguignolente n'était pas la chose qui me traversait l'esprit.
Ce qui me traversait au contraire l'esprit était une chose d'une autre nature et qui devait porter le nom de rage. Avec un grand R majuscule au début.

Mes levres devaient etre en sang, j'en percevait d'ailleurs la saveur, mais cela ne servait pas à grand chose, j'était en pleine ébulition et ce a tout point de vue. J'avais envie de lui. Combien de nuit avais je passer en l'imaginant.
Et maintenant ces trois imbécile venaient me l'enlever. J'avais une affreuse envie de me lever et de les étripers. de sentir leurs cotes se fracasser sous mes poings, de les voire disparaitre de n'importe quel façon...mais rapidement.

***

- Bonsoir Messieurs.

L'un des hybride, celui qui devait se prendre ou etre le chef du trio s'approcha de manière raisonnable du vampire qui veanit de se lever et de s'habiller avec une vitesse surprenante.

- Bonsoir !

Le ton était poli, mais pas plus que ça. Et l'hybride armé d'un fusil ne quitait le vampire du regard, semblant étudier son potentiel de dangerosité. Quand au deux autre, il n'vait quité leur cible des yeux, le canon de leurs fusil étant toujours dirigé vers le vampire. Ils brillaient dans le regard des trois individu une réelle méfiance.

- Savez vous que vous êtes sur le territoire de la NewEsperanza.

- Il devrait le savoir !

C'était l'humain qui avait prononcé ces mots cette fois si, tel un jugement. D'ailleurs il continua sur le même ton alors que l'autre hybride, celui qui paraissait le plus agé des trois et aussi le plus sage lui jetait des coups d'oeil empli d'avertissement mais auquel l'humain restait totalement aveugle.

- Cet humain là - il désigna Mikale qui était toujours alongé, semblant peut etre innerte pour des yeux peux observateur, mais...qui état en fait en train de tenter de discipliner ses nerfs et ses sentiments - vous l'avez sacrément amoché ! Il est mort ?! - Il y avait un rien de crainte dnas sa voix et ses doigts se contracterent un peux plus sur son arme. - Vous l'avez tué...Vous avez tué aussi ces gens qu'on a retrouvé plus haut..Assassin ! Et en plus...Vous l'avez violé !

L'humain semblait a présent aussi dégouté que convaincu de ses parole et même si les deux autre ne semblait pas vraiment y croire il n'était pas non plus convaincu de l'innocence de ce vampire qui ne suivait apparement pas les lois de leurs citée paradisiaque.

Il y eu a cette instant et en laps de temps tres bref, deux évenement qui se chevauchèrent presque. D'abord un éclat de rire moqueur qui sembla briser les paroles de cet humain qui ne devait aps avoir plus de 30 ans. Puis l'instant d'apres un nouveau coup de feu. Mikael venait de sortir de son apparente mort pour se lever d'un bon et ce moquer de l'humain. Mais le visage de l'ex-esclave n'avait rien d'amicale et il avait un quelques chose dans le regard qui aurait prévenu tout individu saint d'esprit de ne pas le provoquer en cet instant là.
Malheureusement...L'un des trois individu, surpris par le mouvement de l'hybride -mouvement qu'il n'avaient pas prévu - tira une fois de plus et surement une fois de trop. La bale aurait certainement atterit dans l'abdomen du vampire si il n'avait pas eu la bonne idée de l'éviter. Mais c'était plus qu'il n'en falait pour Mikael.

Le batard des Von dast ne sembla pas vraiment réfléchir mais la hache qui s'était trouvé avec le reste des lambeau de ses vetement se retrouva étonnement vite planter dans le torse d'un des hybrides, Malheureusement pour ce dernier il ne mouru pas tout de suite, seule une toche carmin se répandis sur sa chemise alors que du sang coulait de ses levre alors que son regard hagard allait de la hache planter dans son corps jusqu'a la personne de Thanatos...Cherchant peut etre a comprendre.

Mikael n'en resta pourtant pas la puisqu'il bondis sur l'humain qui tomba à la renverse et n'eu que le temps de troquer son arme a feu contre un couteau. Malheureusement, ce n'était peut etre pas un bon choix. Car l'hybride au cheveux enmêler et au regard d'un bleu trop clair semblait également vouloir faire usage de ce même coutau et leurs force n'était apparement pas égale.

Il y eu un nouveau coup de feu et quelques cris alors que les doigts du batard des von dast s'enfonçait dns les orbties de l'homme dans un bruit de sucion quelques peut répugnant.
Cela fait, l'humain fut apparement beaucoups plus calme et l'hybride se pencha vers lui, lui murmurant quelques mots à l'oreille.

- Ne t'avise plus de m'importuner ou de faire couler le sang qui m'appartien....Compris ?

Il y eu un gémissement haché de la part de la victime.

- Je prendrai ça pour un oui...repose en paix pauvre imbécile.

et sur ces paroles délicates je lui sectionna la carotide d'un coup de poignard. Presque proprement, si du moins on ne regardait pas à la fontaine de sang qui m'aspergea le torse dissimulant au regard mes propres plaies. Mais je n'vais aps d'yeux pour ce rouge carmin là. Je n'en avait que pour le visage immobile et sans vie de cet humain et ne pouvait ressentir pour lui qu'une répulsion agacée.

-Bonsoir .
Sa voix avait été ferme, quelque peu dans les aiguë pour un humain ayant une conversation amicale, mais ... il devait en avoir du courage. Car son ami, humain semblais franchement terrifié, sa lèvre inférieure tremblait, ses yeux n'arrêtaient pas de voleter vers mon amant encore couché dans l'herbe. Chose qui m'étonna un instant, vu que je n'avais plus l'habitude qu'il prenne mes mots pour des ordres ... ou du moins pas quand il s'agissait de bagarre .
Soit ! C'était aussi bien ainsi. J'allais vite m'occuper de ces jeune gens, les tuer d'un coup sec ou les traquer... peut être même laisser l'humain en vie mais figé, regardant ce que je faisais subir a ses compagnon. Il fallait l'avouer la torture rien que pour le plaisir me manquais .
- Savez vous que vous êtes sur le territoire de la NewEsperanza.
- Il devrait le savoir !
New Esperanza?! Le petit village perdu de mon cher très cher Gabriel ?
Oh voila qui était amusant! Je ne pris pas la peine de répondre, j'aimais bien la tirade du petit sang pure : Apparemment j'aurais tué mon Mikaël avant de l'avoir violé ... bien entendus après moult torture . Quel belle théorie mais non ... je ne m'attaquais pas aux dépouilles pour assouvir mes besoins ... Jamais .
Chose que j'aurais pu préciser si ce n'est que la nature de mon hybride rebelle avait repris le dessus. Par un rire moqueur.

Pauvre humain . La peur avait tendus ses extrémités qui cliquèrent impulsivement sur la gâchette. Libérant, dans une odeur âcre une balle allant se nicher, loin derrière moi, quand je fis un pas de coté.
-Oh!
J'avais beau me vanter de ma force vampirique, rapidité et autre. Je ne pus prétendre que je vis la lame de mon amour passer devant mes yeux . Je l'ai entendus siffler a mes oreilles , Passer a mes cotés pour se jucher dans le torse du bavard de service.
Je souris, pris d'une euphorie que je n'avais pas sentit depuis plus d'une année, quand je me rendis compte que la colère de mon Mikaël n'avais pas tari ... Au contraire, je le vis se jeter sur son gibier déversant sur lui toute la rage ses yeux rouge trahissaient ... Alors que ceux qui étaient de part et d'autre de l'humain n'avaient jusqu'à présent pas réalisé la gravité de la situation.

En une fraction de seconde ce fut fait. L'hybride qui avait pris la parole ne mis pas longtemps avant d'armer et de s'apprêter a tirer. Certes je n'avait esquissé le moindre geste. Me délectant de ce que Mon Esclave faisait subir a son nouvel ennemis . Mais je gardait un œil sur lui ... Comme je l'ai déjà précisé , les corps refroidis n'étaient pas mes préférés, et vu que je ne refroidissais pas moi même du désir que je ressentais encore (plus), je ne voulais point qu'une quelconque balle perdus vienne trouer le corps qui m'appartiendras bientôt.
C'est alors avec un geste caressant que mes mains battirent l'air, me concentrant sur les armes que tenaient les deux hybrides de Gabriel. Un regard vers leurs visage concentré me confirma que j'avais réussis a bloquer leurs mains. quelques gémissement plus tard, ils furent complément sure que quelque chose clochais. Car voila, j'avais de l'expérience, et une bonne dose de sadisme a mes heures perdus. bientôt tout leur corps fut figé dans une position quelque peu comique.
Étais ce la drôlesse du moment ou alors simplement parce que la peau de Mikaël déjà bien dénudé fut encore plus révélé pendant son action ? Toujours est il que je relâchais un instant , un minime instant, ma concentration. Le plus grand des deux en profita ... Et tira .

Voila. Il m'avait énervée. Non pas que son coup ait provoqué un quelconque degat. Dans ce cas la, je l'aurais pas épargné. je n'aurais pas seulement bougé les mains dans un geste sec affin qu'a distance les gros pistolet qu'il tenaient ne fracasses contre leurs visage. Non , je n'aurais pas commandé a leurs corps d'aller s'écraser un peu plus loin. Si la blessure de Mikael n'avait pas été une égratignure au niveau de l'épaule, je ne les aurais pas laissé inconscient dans l'herbe. Pendant que ce dernier s'occuper d'arracher d'une manière sensuelle les yeux de l'étre qui lui avait tant fait perdre la tête (pas moi ... l'autre)
- Ne t'avise plus de m'importuner ou de faire couler le sang qui m'appartiens....Compris ?
Il y eu un gémissement haché de la part de la victime.
- Je prendrai ça pour un oui...repose en paix pauvre imbécile.
Souriant enfin, je me mis a applaudir
-Belle performance très cher. Quelque peu salissante... Mais quel effet!
Je l'enlaçais goutant au nectar de sa victoire, avant de m'emparer de ses lèvres carmines, qui gardaient encore le vestige de notre incartade inachevé .
-Toutefois... que dirais tu de reprendre la ou on s'étaient arrêté ?

Le son d'un applaudissement me fit redresser la tête. C'était Vaen qui debout à quelques pas semblait se réjouir du spectacle. Un coup d'oeil rapide me fit savoir que les deux autres gêneur ne viendrait demander leurs reste de si tôt. Je me redressa à mon toure après avoir essuyer mes doigts sur la chemise de l'inconnu qui venait de rejoindre l'autre royaume avec mes bonnes salutation.

Son sang m'avait quelques peut éclaboussé, ce a quoi j'aurais pus m'attendre étant donné que je lui avait sectionné la carotide. Pourtant, étrangement, cela ne me dérangeais pas. Je n'avais pas la tête à ça.

Pourtant d'ordre général, je ne supportait de sentir l'odeur d'un autre sur moi - sauf évidemment celle de mon chère amant - cela m'indisposait, me dérangeais au point de me rendre malade. Bien entendu, je cachait ce genre de désagrément a mon Amant. Peut-être que d'une certaine façon lui révéler que les quelques ennuis qui avaient peuplé mon adolescence était toujours bel et bien enfuis en moi, était une certaine gêne. Comme si j'étais honteux de ne pas encore êtres passé a autre chose. Mais c'était plus fort que moi, c'était en moi, ça faisait partie de ma nature.

Ma nature changeait-elle donc alors ? Et vers quoi ? La réponse m'importait peut pour l'instant, surtout lorsque ses bras entourèrent mon corps et que je sentit son torse contre le mien. Ses lèvres finirent de me faire tourner la tête et ses paroles n'eurent pas l'effet de faire renaître mes envies, mais juste de les attiser un peut plus.

Je lui mordillait les lèvres qu'il m'avait si inconsciemment offerte, mes dents entaillèrent ses lippes que je suçota avec envie. Non, pas avec envie ! Mais avec besoin avec sauvagerie.
Ma main remonta le long de sa nuque, mes ongles griffant sa peau. Je ne pouvait que l'embrasser avec plus de passion, ma langue caressant la sienne, goûtant au pêché avec une tel ivresse que je ne pourrait bientôt me retenir de le jeter par terre.

Mes lippes quittèrent les siennes, délicieusement colorée de rouge.

- Vaen...Je vous aime et je vous veux...- Ma langue vins laper son oreille -maintenant et tout de suite.

Il était certain que si un idiot venait encore se pointer pour l'une ou l'autre raison, il risquerait de perdre plus que la vie et ses yeux.

Je quittai le lobe de son oreille, si délicieux, délicat a la fois, charmeur. Mon regard océan sombra dans le sien, mais je ne pus abandonné mon petit sourire. Je n'avais rien a faire de mon torse ensanglanté, des plaies qui avait pus s'ouvrir ou non, de la balle qui avait effleurer mon épaule, laissant quelques larmes sanguine coulé sur mon avant bras, jusque sur l'extrémité de mes doigts.

Mes doigts ensanglantés vinrent caresser la commissure de ces lèvres tentatrices. Tandis que de mon autre main je défaisais avec lenteur son pantalon, laissant bientôt mes doigts effleurer son sexe.

- Je vous aime....

C'était un fait, mais j'avais surtout envie de lui.

Il fallait que je me contrôle. Ses lèvres chaudes se firent plus exigeantes. Une exigence que je me faisais un plaisir de satisfaire, peut être un peu trop, Alors que ce que je voulais c'était faire durer cet instant encore et encore .
On dit toujours que l'on ne se rend compte qu'on tien a quelque chose qu'au moment de la perdre . Et pendant une année j'avais cru que c'était vrais, alors j'ai essayé de combattre cette perte. En la reléguant dans une partie de mon cerveau que j'aurais éteint la plus part du temps . Cette partie était tellement importante que je ne ressentais plus rien quand je l'ignorais, aucun sentiment , je passais mes journées a faire ce que je devais, m'étant fixé un but que j'aspirais a atteindre le plus vite possible, tout en espérant que cet état de vide dure ... Un automate.
En retrouvant mon Mikaël . Je me rendais compte que c'était faux... Non . On ne se rendais pas compte de l'importance des gens en les perdant. En les perdant on est triste, on culpabilise peut être, on est abattu. Ce n'est qu'en les retrouvant qu'on sait combien le présence nous avait manqué.
Maintenant que mon hybride se tenais devant moi, plus appétissant que jamais, tout comme a chaque fois que je le voyais, je ne pouvais m'empêcher de le dévorer des yeux, mais pas seulement. Car voila , ses griffes se nichant dans ma nuque étaient le parfait échos de mes canines entaillant sa lèvre inférieure. Je gouttais a son sang , a sa langue, a sa respiration, le sang de sa victime... Cette présence étrangère sur lui, que je me plaisais a enlever de sa joue par coups de langue, puis de son cou quand ses lèvres quittèrent les miennes pour chuchoter ces quelques mots: "Vaën...Je vous aime et je vous veux"
Mon nom prononcé par lui m'avait toujours fait cet effet. Un frisson délicieux. Jamais aucun autre ne pouvais faire réagir mon corps aussi violemment avec un simple mot, avec un passage de langue sur mon oreille. Son souffle effleura ma nuque quand il ajouta :"maintenant et tout de suite."
Comment aurais je pu m'offenser de cet ordre. Mon orgueil se retrouva muselé par la partie de mon cerveau qui contrôlais mon membre.

Je ressentais son corps contre le mien, chaud, cette chaleur que j'aimais, que dis je, ce corps que j'aimais. Son sourire que j'aimais, son regard bleu qui captivais le mien. " Je vous aime...."
Ce fut la réplique parfaite de ce que j'allais dire. L'amour .Quel étrange sensation. Un bonheur qui empêche de penser au revers de la médaille.

Quand ses doigts maculé de rouge quittèrent ma bouche pour s'insinuer la ou il le fallait, j'oubliais tout. Absolument tout. A part que ce que je tenais entre les mains m'appartenais, et m'appartiendra. Quand il n'auras plus de vêtement.
Aussitôt dis aussitôt fait. Je ne me souciais pas de mon hybride, je savais que cette violence lui faisait autant de bien que la douleur quand je tirais d'un coup sec sur le pantalon qui couvrais sa chaire, le réduisant a des lambeau vite relégué au sol. Que mon baiser approfondis quand je lui ramenais les jambes autours de ma taille affectais sa verge irrigué, Et qu'en le poussant contre un arbre qui se retrouva comme par magie derrière lui, ne s'étant même pas rendus compte que j'avais couru pour en trouver, je recueillit son gémissement (ou son cris) entre mes "lippes". Mes doigts s'affairaient a effleurer sa peau nue, ralentissant de leurs cadences en passant de son dos sur ses reins ses fossettes, caressant ses fesses, puis cette incurvation jusqu'à arriver a son intimité que je frôlais quelques instant avant de cesser tout attouchement .
-Je t'aime aussi .
Murmurant ces quelques mots, j'introduisis mes doigts entre ses lèvres.
-Oh oui je t'aime .

Une exclamation entre surprise et douleur franchis mes lèvres entrouverte lorsque mon amour me retira mon pantalon avec une certaine violence. Je darda mon regard ocèan vers son visage, un regard entre provocation et reproche. Peut être reproche de ne pas encore sentir sa peau contre la mienne.

Non pas que ses mains délicieusement glacées ne parcouraient pas ma peau qui me semblait encore un peut plus torride sous ses doigts, non pas non plus que je ne sentait pas son torse virile contre le mien, contacte absolument délicieux. Mais plutôt que j'avais une certaine idée fixe, celle de le sentir me pénétrer avec cette violence à la fois sauvage et lancinante qui ne pouvait que me rendre un peu plus dingue de son corps, de son âme et de son être.

Je l'aimais au point d'en mourir à petit feu. Ou plutôt, je l'aimais au point d'avoir choisi de vivre plutôt que de mourir, ce qui pour moi était certainement la plus grande preuve d'amour. C'était peut être en ses instant si, ceux ou notre souffle se mêlait dans une frénésie quasi animale, que je me rendait le mieux compte combien il m'était précieux. Au delà du fait qu'il était mon amour, au delà du fait que nous avions partagé des moments mémorables. Je ne pouvais que me rendre compte qu'il faisait partie intégrante de mon être. Vaen était tellement rentré dans ma vie, qu'il m'avait forgé autant que j'avais forgé ma personnalité. Sans lui, je n'aurais jamais été pareille, aurais-je d'ailleurs été, aurais je seulement vécu...Je n'avais pas de réponse exacte à cela, mais une forte intuition.

Son baiser fougueux me fit perdre la tête, sa langue se mêlant à la mienne, mes dents lui mordillant les lèvres avant que je n'enserre sa taille de mes jambes. J'aimais le sentir ainsi si contre moi et mes cuisses se resserrèrent un peut plus autour de lui alors que mes main parcouraient sa nuque que je griffait par moment. Je pencha la tête, ma langue parcourant son cou offert jusqu'à laper le lobe de son oreille. Et ce jusqu'à ce que mon dos rentre en contacte avec une surface dure et rugueuse. J'aurais crier si mes lippes n'avaient été en contacte avec sa peau. A la place je le mordit, partageant la douleur qui m'était presque aussi agréable que le plaisir qu'il faisait si facilement naître en moi.

Sa peau était froide et le sang qui ruissela sur mes lèvres l'était presque autant, pourtant il ne faisait naître en moi que des vagues de chaleur successive qui se nichèrent dans mon bas ventre pour ne plus repartir.

Mes yeux se fermèrent alors que je suivait le parcours de ses doigts, qui descendaient avec une lenteur exagérée vers mon intimidée. Je me mordillais les lèvres d'une façon aguicheuse à la fois pour ne pas gémir de plaisir alors que je le désirait plus que tout.

Lorsqu'il s'arrêta j'étais sur le point de suffoquer, mon bassin était mus par de léger ondulement. J'avais envie de lui, de le couvrir de baiser , de le sentir en moi, qu'il me pénètre enfin, ça en devenait aussi vital que l'oxygène qui me manquait.

Je happa bientôt ses doigts qui se portaient tout naturellement à mes lèvre, les suçant comme si il s'était agis de son sexe, léchant leurs extrémité, mordillant ses phalanges, tout en plongeant mon regard dans le sien. Enfin je les relâchas, mordillant sa paume tel un animal affamé. Ce que j'étais en quelques sortes.

Je l'enserra un peut plus lorsque sa main parcouru une fois de plus la courbe de mes reins, des frissons délicieusement électrisant remontant le long de mon échine jusqu'à ma nuque. Je laissa échapper un gémissement rauque alors que je rejetais la tête en arriéré, lui offrant mon coup, alors que ses doigts me pénétraient. Son nom du m'échapper avant que je n'attrape entre mes lèvre un de ses divins téton que je mordilla avant dans lécher le pourtour tout en gémissant à chaque mouvement de ses phalanges.

Je quittais un instant ma prise pour lui murmurer à l'oreille un ordre qui ressemblait presque à une supplique. Prend moi, maintenant...s'il te plait

J'avais besoin de lui, tant j'en avais envie, ma verge me semblait presque douloureuse et je ne pouvait plus dominer mes mouvement de bassin ou mes lèvres qui ne voulais que parcourir son corps, le mordre ou le lécher, le faire mien, le marquer comme tel. Il devait m'appartenir et je voulais être sien.

Je sentait la chaire contre mes doigts. Peau satiné a l'odeur si délicieuse.
Dans la fièvre qui me consumais, sous mes caresses fébriles, quand sur ma langue se sentait la texture de son sang , tout ce qui me faisait perdre la tête c'était son parfum . Tandis que je ne savais plus ce que je faisais, ma langue léchais tout son être , mes dents se nichaient sans grande douceur la ou la chaire ce faisait la plus tendre , mon esprit embrumé voulais atteindre un dessin qu'il ne se rappelais plus. Jusqu'à ce que Mon Mikaël le prononce a haute voix : "Prend moi, maintenant...s'il te plait".
Mon membre irrigué me rappela a la réalité , je compris alors que c'est cette partie de moi qui me faisait autant mal. Sa virilité caressais la mienne alors que mon bassin ondulais inconsciemment contre lui.
Passant ! Mes envies devenaient trop primitives pour que je puisse les analyser, le sang battait a mes tempes, brouillait ma vue , ne me permettant de voir que ses yeux , ses lèvres , sa peau et la masse brune de sa chevelure indiscipliné. Rien d'autre ne comptait . Rien d'autre a part accéder a sa requête.

Mes doigts ayant reçu le plus beau des traitement, avaient quitté sa bouche pour titiller son intimité , j'aurais pu (et souhaité) le sodomiser a sec, le brutaliser, le violenté ... et il aurais aimé ... il aurais jouis, et moi en lui ...
Cependant je voulais répéter mon geste encore, toute la nuit, et plus longtemps ... Je devais donc faire un minimum attention a mon Amant!

Sentant les cuisses de mon amour se resserrer contre mes hanches, je le pénétrais d'un doigt, suivis de l'autre , effectuant un léger va et viens, me délectant de sa chaleur et du frisson qui lui parcouru tout le corps. Les vibrations que mon nom provoquais dans sa gorge, quel bonheur de sentir ses paroles avant de les entendre, ses gémissement roulent dans sa gorge avant que son souffle ne se perde sur ma peau .

Une dernière morsure, un dernier filet de sang léché, juste un dernier baisé embrasant mes sens . Le gémissement de trop, et le peu de contrôle que j’avais sur mon corps me quitta… je ne remarquais plus que je retirais mes doigts de lui, utilisant ainsi ma main pour me libérer de l’emprise de ses jambes. Quelque peut désarçonné par cette chaleur qui me quittais soudain, alors même que c’était le résultat de mes actions , et sans arrêter de le toucher , je remontais mes paumes jusqu’à ses épaules , caressant chaque parcelle de peau que mon épiderme rencontrais, les cicatrices qui me rappelaient la force de cet étre qui me faisait face , et qui a présent me tournais le dos .
Je l’avais retourné , le tenant par la nuque , mes griffes titillant ses plaies encore a vif, glissant sur le liquide carmin que je voyais a peine, tant mes yeux étaient étrécis. Raffermissant ma prise je l’obligeais a se pencher en avant, l’attirant par son bas ventre affin que le bois de l’arbre n’aie pas plus de contact avec lui que moi… Rien d’autre que moi ne l’aurait !
C’est maintenant que je l’aurais.

Mon corps était brulant de désir, chaque parcelles de ma peau me semblait irradier de plaisir alors que je sentais le bout de sa langue parcourire mon coups comme pour y prélever quelques goutes de sang. J'entrouvris les lèvres, prononçant une fois de plus ce nom, tel un soupir de plasir alors qu'il me mordillait le cou avec un plaisir partager.

Ses mains caressant ma peau eurent le don de me faire tourner les sens, Je me retrouva bientot le dos tout contre son torse, ma respiration hachée par l'impatience de ce qui allait suivre, mais aussi....

Un cris finissant dans un gémissement d'extase mêlé de douleur échappa à mes lèvres alors qu'une de ses griffes allait maltraité une des blessures qui devaient orné mon dos. Nul autre que lui n'aurait jamais le don de me procurer tant de plaisir et de douleur à la fois. Je dus attraper une de ses mains à moi que celle-ci ne se porta à porter de mes lèvres car bientôt, sur ma langue se mélangea le parfum de mon sang et du sien. L'un chaud, l'autre froid, je lècha le doigts qui s'était imprudemment égaré à porté de dents.

Le plaisir du sang et de la chaire, de son sang, de nos chaire, ses bras m'avait enserrer un peut plus, comme si il craignait que je m'évade.

- Haa...Vaen...

Pure plaisir que celui de le sentir me pénétrer, enfin....Une sorte de soulagement qui me fit suffoquer un court instant avant que je ne me morde les lèvres. Si il y avait été en douceur, presque de manière lancinante, jusque maintennat, si il m'avait préparer comme il l'avait fait. Alors que nos pratiques coutumières étaient plutot à l'inverse. Il semblait à présent décider à y aller avec un peut plus de vigueur. Et il n'en manquait pas.

Je hahanais en frissonnant alors qu'il me pénétrait à nouveau et ne pus que me cambrer violement sous ce nouvel assaut. J'avais la délicieuse impression de bruler de l'intérieure alors que mes hanche accompagnais ses coups de reins. D'abord lent et douloureux ce vas et viens se fit plus profond, plus rapide alors que nous perdions un peut plus la tête au profit de l'extase.

Je sentis ses corcs dans mon coup offert avant qu'un fillet de sang chaud ne se fasse sentir.

J'en voulais plus toujours plus alors que je criais son nom à la nuit avec un plaisir non dissimulé. Il était mien !

Des perles de sueur devaient se former sur mon corps, son torse au contacte de ma peau, ce frotement, cette caresse, ma respiration hachée. Un hoquet, un gémissement m'échappa alors qu'il se retirait. Un bref instant je perçu ce vide en moi. Un bref instant qui suffit à encore hatiser mon désir.

- Haan..han

Il s'enfonça violemment en moi alors que ces griffes pénétrait tout aussi brusquement le peau de mes épaules. Je sentit la brulure de ses ongles mêlé au plaisir que cela me prucurait, mais le plaisir qui grimpait par vague succéssive le long de rein anhilait tout mes autres sens, non loin de me submerger.

Mon dos se cambrant à chaqu'une de ses poussées, je n'en pouvait plus de gémir, de mordre mes lèvre, d'accompagner chaqu'un de ses mouvements. Son nom me revevant à chaque fois aux lèvre.

- Vaeen...