Le vampire parcourait la grand rue d'un pas calculé, vêtu d'un pantalon blanc immaculé et d'une chemise du même ivoire il semblait être étranger à se paysage et pourtant semblait parfaitement à l'aise dans cette ville de Modernis.

Asmodée marchait d'un bas détendu et pourtant rapide, fendant la foule qui semblait s’ouvrir sur son chemin, son regard gris bleuté fixant un point bien précis au delà de la foule. Il avait, le matin même, été rendre visite à la Milice de Modernis et se rendait à présent chez un individu qui aurait dus recevoir sa visite depuis longtemps.

Il n'eu aucun mal à trouver le logement du vampire, il s'agissait d'une crêperie, mais cela n'étonna pas outre mesure le vampire qui pénétra dans l'établissement. Il remarqua le jeune homme qui faisait le service, un petit brun au regard vif qui semblait un peut pressé. Mais ce n'était pas lui qu'il cherchait.

Le Maître de Hop avait un léger sourire aux lèvres lorsqu'il pénétra dnas l'appartement de l'étage. Un bruit d'eau lui fit savoir ou se trouvait exactement le vampire et ce même avant qu'il ne prenne le temps de tendre l'oreille.

Il ouvrit donc la porte de la salle de bain d'un coup pied négligent tout en restant planter dans l'ouverture de la porte, nullement gêné par le spectacle qui s'ouvrait à lui.

- Monsieur Morrow, comme on se retrouve.

Le vampire arborait un léger sourire suffisant tout en notant que Monsieur Morrow pourrait toujours essayer de furie par la fenêtre de la salle de bain si l'idée de sortir de sa baignoire totalement nus et accompagné de son canard en plastique lui passait par la tête. Mais cette perspective ne semblait pas gêné le Maître de Hop qui savait pertinemment qu'il réussissait toujours toute entreprise entamée.

O el dan Conel maintien son petit sourire suffisant et ce durant tout le temps que le vampire pris à avoir la plus petite réaction. Ce ne fut qu'après un temps précieux que ce dernier se décida à s’asseoir, ça promettait si il lui fallait autant de temps, uniquement pour prendre la décision de s’asseoir dans son bain.

Certes, el Conel pouvait faire part de patience et même quelques rare fois d'indulgence vis à vis de ses ouailles, et ce même des plus perturbées. Mais, il n'était tout de même loin d'être de ceux qui avait du temps à perdre. Les détenus au cerveau en compotes pour on ne sais quel raison ne figurait pas dans la liste de ses préféré. Cela avait le dont de l'ennuyer, voire même de gâcher sa journée.

hmm... oui... si vous avez une minute, je m'habille et j'arrive... on est plus à une minute près...

Le Maître de Hop ne s'était encore départis de son léger sourire qui mine de rien ne ressemblait que vaguement à une preuve de sa bonne humeur, c'était d'ailleurs plus proche de d'une marque d'autosatisfaction personnel que de tout autre chose.

"A une minute près" ce genre de réfection était évidemment inutile et surfaite et Asmodée ne fit pas le plus petit signe qui aurait pus attester qu'il avait entendu le moindre mot de Gabriel, il ne s'écarta même pas de l'embrasure de la porte.
Mais au moins Monsieur Morrow n'était pas à l'état de légume comme l'avait pourtant laissé pré-sentir son temps de réaction particulièrement lent.

Bon, au moins retournez vous...

Asmodée entrouvris très légèrement les lèvre, comme si il riait de manière silencieuse, mais alors totalement inaudible et un rien moqueuse. Quand à se retourné, il n'en pris pas la peine, ne daignant même pas jeter un coup d'oeil à l’attirail de l'autre qui se bornait à se dissimuler derrière un essuie.

Apparemment Monsieur Morrow était un rien pudique car il se hâta de s'habiller sous l'oeil blaser du Maître de Hop qui ne semblait rien avoir à faire d'autre que d'attendre debout entre la salle de bain et la chambre. Il ne soupira même pas en apercevant les gout vestimentaire du vampire, pourtant c'était...Il hésitait...déplorable.

Que me vaut l'honneur de cette visite?

Asmodée cessa d'inspecter les lieux pour lisser du bout des doigts sa chemise de satin avant de porter le regard vers Gabriel Morrow, un regard gris perlé de bleu qui se voulait jugeur. Son petit sourire, si il en était un, revins faire surface sur ses lèvres, il préférait ce genre de langage, Monsieur Morrow était donc enfin prêt à l'entendre.

- Vous l'ignorez donc ?

Bien entendu Monsieur Morrow l'ignorant cela ne faisait aucun doute, mais ce n'était là qu'une forme de politesse dont il était fervent partisans.
Il ne lui laissa le temps de répondre la moindre chose et enchaîna d'une même voix dont chaque mots semblait être compter, comme si le vampire était avare du moindre souffle passant la barrière de ses lèvres.

- Laissez moi donc vous rafraichire la mémoire. Mais avant, permettez moi de vous invitez à sortir de cette endroit, pas que votre immeuble me déplaise, mais je préférerais un endroit plus intimiste.

Le vampire l'invita du geste à sortir de la chambre. Il avait une idée précise du café dans lequel il voulait entraîner Monsieur Morrow. Un endroit qui devait certainement être tenu par un adepte de Gothik city car il y régnait une ambiance délicatement semblable, pourtant l'endroit en était tout de même différent, il y faisait propre, le service y était irréprochable et les choix varier et surtout, Asmodée avait promis au gérant de lui rendre une visite, il s'agissait en faite d'un ancien détenu auquel il avait rendu la liberté.

- Voyez-vous Monsieur Morrow vous êtes de ces rares individus qui pourait se glorifier de ne pas être à leurs place, c'est a dire, si vous voulez bien vous donnez la peine de vous en souvenir, derriere les murs. J'ai trouvé bon, de vous permettre de ne pas y être et ce durant un temps, que vous serez certainement d'accord de qualifier de long.
Mais dans ce monde, assassiner les gens et permettre à un dangereux criminel de retrouver sa liberté est un acte punis d'emprisonnement.

Pourquoi fallait-il qu'ils sortent? Ne pouvaient-ils pas rester ici pour parler... entre la fenêtre de sa cuisine où il manquait les vitres et la porte de sa salle de bain complètement défoncée? Bon certes c'était pas des plus accueillant mais bon... Soupirant légèrement Gaby mit une paire de converse et suivit le vampire à l'extérieur, demandant à Nioon de ranger la cuisine au passage, après tout il ne savait pas vraiment pour combien de temps il en aurait... Celui-ci sembla comprendre et dans un soupir à fendre l'âme pris la direction de la cuisine, pas en meilleurs état que lorsqu'il l'avait laissée... Ils arrivèrent bientôt au bar mentionné et Asmodée lui expliqua qu'il avait vraiment vu juste... il était dans la merde... Le vampire le croirait-il seulement si il lui disait qu'il avait perdu la mémoire la veille et qu'il avait oublier près d'un an et demi de sa vie... et qu'il avait semble t-il été possédé tout ce temps? Il pouvait toujours tenter, au pire il croirait qu'il se foutait de sa gueule... qu'est ce qui pouvait être pire?

Hm ... Il semblerait que vous ayez attendu un peu trop longtemps... J'ai ... comment dire... perdu la mémoire hier, et si on ne m'avait pas expliquer rapidement ce que j'avais fait pendant un an et demi, je ne saurais même pas pourquoi vous êtes là... Apparemment l'évasion d'Azraël fait partit d'un amas de conneries qui se sont accumulées pendant cette dernière année... Pas que je n'apprécie pas Azraël loin de là... mais j'ai moi même du mal à comprendre comment j'ai pu l'aider à s'évader... comme beaucoup d'autre chose... D'après ce que j'ai cru comprendre il est possible que j'ai été possédé... enfin c'est pas comme si je m'en souvenais...

Il cessa son blabla, cherchant à déterminer si le vampire en face de lui était en train de se foutre de sa gueule parce qu'il le prenait vraiment pour le dernier des abrutis à sortir de telles énormités, ou si il essayait d'envisager la possibilité que ça soit vrai... Question qu'il eut vraiment du mal à résoudre étant donné qu'il avait de mal à décrypter certaines émotions et qu'il ne connaissait vraiment pas assez Asmodée pour dire ce qu'il pouvait penser à ce moment même... Dans tous les cas il était dans la merde et ça, ça ne changerait pas... Enfin il pouvait toujours espérer ne pas rester trop longtemps à HOP... qui sait il serait peut être sympa et compréhensif...


[Ton bar d'ancien détenu style Gothik city ça me fait penser à l'ancien bar de Faust XD]

:>o<: sympas et compréhensif...MDR ]


Les deux vampires avaient pris place à une petite table du bar, un peut à l'écart pour ne pas être déranger par les autres clients.

O el dans Conel avait écouté le fugitif avec attention mais avec une expression détaché, le moindre sourire ne s'était fait apercevoir sur son visage et son regard gris vert n'avait quitté celui de son vis à vis, semblant jauger son état mentale actuelle avec beaucoup de professionnalisme.

Asmodée ne devait être pressé de donner son avis puisqu'il fit un petit signe au barman qui s'empressa de venir prendre leurs commande.
Le Barman, un vampire d'une trentaine d'année d'apparence, d'un physique bien soigné et assez agréable au regard avait bien entendu reconnu le Maître de HOP et ce fut avec un sourire sincère mais teinté de crainte qu'il le salua, lui donnant du Monsieur O el dan Conel à tout bout de champ.

- Marius.

Le Maître de Hop scruta le vampire aux cheveux couleur de nuit durant un moment qui sembla certainement interminable au vampire qui sembla frissonné sous le regard de son aîné.

- Nous prendrons deux coupes de champagne.

Le barman aquiesca et sembla faire un effort suprême pour ne pas filer a toute vitesse. Une fois Marisu derrière son comptoirs, Asmodée posa a nouveau son regard sur celui qui lui faisait face.

- Voyez vous Monsieur Morrow, Marius est un des trop rare détenu de HOP à avoir retrouver une vie normale. Bien entendu les vampire sont plus nombreux à être réhabiliter dans la vie de tout les jours, voyez cela comme un point positif pour vous.

Les deux coupes de champagne leurs fut apporté et Marius après un coup d'oeil discret mais inquiet en direction de Gabriel disparut à nouveau.

Asmodée frôla la coupe de champagne du bout de ses doigts fin, mais ne la porta pas à la bouche.

- Je puis admettre que vous n'ayez aucun souvenir de l'évasion à laquel vous avez participé. Mais comme vous devez en être conscient l'oubli n'altère pas les faits. Les homme qui sont mort ne reviennent pas à la vie et Azraël ne regagnera pas la prison. Et même si il le faisait ça ne changerait rien à vos fait.

- Regrêtez vous d'être venu en aide à cet individu ? Et regrètez vous d'avoir tuer pour parvenir à faire fuir ce fugitif ?
Asmodée jeta un coup d'oeil vers le bar, surprenant le regard de Marius qui les fixait, ce dernier détourna immédiatement le regard non sans grimacer un court instant comme si on venait de lui écraser le pied.

Le vampire se passa la main dans les cheveux, profitant peut etre de ce court intermède en dehors des murs de Hop.

- Comprenez bien Monsieur Morrow, il y à peut etre beaucoup de "on dit" qui court à mon sujet. Mais chaqu'un de mes détenu sont pour moi unique, je connais chaqu'un de leurs dossier dans le moindre détaille, chaqu'un d'eux reçois ma visite une fois tout les deux jours et je tente de réhabiliter le plus grand nombre d'entre eux. Vous ne semblez ni idiot ni fou, si non je ne vous parlerais de la sorte. Mais vous devez savoir, que passer vingt ans entre les murs de Hop n'est pas sans risque. Si vous semblez équilibrer il n'en est de même pour chaqu'un de mes locataires.

Mais il existe peut etre une autre solution.

Le regard du vampire se fit un peut plus sombre alors que son visage exprimait, pour la première fois depuis le début de leurs rencontre, une légère peine alors que Gabriel demandait si il pouvait regretter.

Il y à certes une différence. La même que celle qu'il existe entre un individu conscient de ses actes et de ses choix. Lorsque vous laissez consciemment un renard rentrer dans le poulailler vous n'êtes pas étonné de voire des cadavres de poules par après. Lorsque vous laisser évadé un dangereux assassin, il en est de même. Il ne faut pas minimiser les faits.
D'une certaine façon vous êtes responsable de tout les meurtres que Azrael Pendragon à pus perpétré depuis sa fuite de Hop. Et vous aurez toute les preuves que nous somme en mesure de vous fournir quand à vos fait et gestes lors de cette évasion.

O el Adalian était réellement affecté voire un homme minimiser les faits lui était toujours difficile. Lui qui mettait son existence à la contribution de la justesse et ce depuis plus de 400 ans, cette même justice lui était toujours aussi chère.

Mais peut être vaudrait-il mieux m'enfermer après tout... de toute façon quelle aurait été cette solution miracle?

Asmodée parut quelques peut surpris, mais repris bientôt toute son indifférence vis à vis de Moniseur Morrow, il l’examina un long moment en silence puis glissant ses doigts autours de la coupe il l'apporta à ses lève avant d'en prélever quelques goûtes. Il reposa la coupe, alors que son regard gris bleuté se reposait sur le visage du vampire.

Il laissa entendre un très léger soupire qui ressemblait à de la résignation.

- J'ai croisé, en me rendant chez vous un certaine individu qui ne vous êtes pas inconnu.

- Travaillez à mon service durant deux ans et demi et j’effacerai votre fichier ainsi que la peine qui pèse sur vous. Mais, je vous préviens avant que vous ne disiez la moindre chose. Je n'admet qu'une honnêteté à toute épreuve.

Et puis pourquoi cette proposition? Suis je mieux que les personnes que vous enfermez d'habitude

Asmodée laissa apparaître un léger sourire qui avait un petit quelques chose d'indulgent.

- Je n'aime pas le terme enfermer, pour moi, ceux qui sont un Hop me sont en quelques sorte remis, comme si on me les confiait. Mais soit. Il n'y a pas de mieux ou de moins bien, ce n'est pas la question. Je ne peux me permettre d'avoir ce genre de jugement.
Mais vous pouvez m'être utile et il me semble que ce serait peut être préférable pour vous

Une fois de plus le vampire scruta son vis à vis avec attention. Il avait déjà vu des personne détruite par leurs passage à Hop et ce n'était jamais agréable de voire un homme détruit. Certe ou pouvait, avant d'y mettre les pieds, voire l'endroit comme un lieu de retraite. Mais entendre les homme hurler et ce même en pleine nuit n'avait au fil des ans rien de très joyeux. On pouvait être porteur d'espoir et essayer de donner a cet endroit une note de joie. Comme Asmodée semblait le deviner dans le regard de Gabriel. Mais cette sensibilité là avait tôt fait de dépérir au fil des ans. Sans parler du fait que Monsieur Morrow avait, selon ses information, une vie publique et familiale, ses enfant l'& attendrait il durant vingt ans, ses amis se souviendraient il encore de lui. Que manquerait il durant vingt ans, le mariage de sa fille ? Le décès d'un ami proche qui aurait pus avoir besoin de lui ?
Non, Asmodée préférait lui offrir une chance. Si seulement le vampire pouvait en saisir le prix.

Il soupira avant de se pencher légèrement vers Gabriel.

- Il s'agit de Mikael et il s'agira principalement d'un travaille de...J'aimerais que vous le suiviez que vous l'espionniez pour mon compte, mais aussi que vous soyez prêt à venir à son secours en cas d’extrême urgence. Ce n'est pas un travaille évident car je désire qu'il ne s’aperçoive de rien. Vous travailleriez sous une fausse identité.

Je vous laisse réfléchir quelques instant, vous en saurez plus en cas de réponse positive.

Le froncement de sourcil de Monsieur Morrow ne surpris pas vraiment le vampire, ce dernier s'attendait à de l'étonnement ou au moins à de la curiosité. Car il était certain qu'il n'était pas du genre à faire preuve d'indulgence ou à permettre à quiconque d'avoir une seconde chance. Ce qu'il offrait pourtant à Gabriel sans même que ce dernier lui en face la demande, les raisons était simples, mais il n'en avait encore énoncé la moindre.

Et je peux savoir en quoi sa vie vous regarde? J'ai déjà trahi une bonne partie de ma famille et de mes amis cette année d'après ce qu'on m'a dit mais sachez que si je peux me rattraper de ce côté là je le ferais, il est hors de question que je le trahisse sans raison valable...

Le début de cette phrase ne fit pas vraiment grimacer le vampire, mais il n'avait l'habitude qu'on lui parle de cette manière sans en ressentir les quelques désagrément. Jusqu'à présent Asmodée avait fait preuve de politesse et même d’amabilité, comme si il parlait à un égale, ce qu'il voulait conservé, pour l'instant, comme point de vue.
O el Conel pris donc une légere inspiration, comme pour rejeter toute pensée superflue hors de son esprit.

Son regard gris bleuté laissait comprendre qu'il se fichait quelques peut des trahison que son cadet aurait pus engendré durant cette année passée, tant que celle-ci n'engendrait de heurt aux lois gouvernant le monde.

Il laissa délibérément Gabriel continuer de parler, devinant que sa proposition l'intriguait suffisamment pour qu'il ne laisse le sujet totalement en suspens.
Le vampire trouvait le point de vue de Monsieur Morrow intéressant et se surprenait même à commencer à ressentir un vague sentiments d’intérêt pour ce jeune vampire.

Et puis qu'est ce qui vous fait croire que je vais faire exactement ce que vous dites...

Si Gabriel arborait un léger sourire il n'était pas le seul. A cette question le vampire avait également souris, un sourire bref mais amusé. Monsieur Morrow n'était certainement pas le premier à lui poser cette question. Mais la plus part de ceux qui la posait ne la posait qu'une fois.

El Conel se pencha légèrement par dessus la table sa main se posant avec douceur sur l'avant bras de Gabriel alors que ses pupille ne quittait ces vis à vis.

- Il y à un mot qu'on appelle "confiance". J''en fait parfois usage.

J'ai fais quelques recherche sur vous et ce que j'ai trouvé m'a permis de croire que vous êtes un individu qui fait ce qu'il dis. Je ne dirais pas que vous êtes fidèle aux autres, mais vous êtes fidèle à vous même et étrangement je ne pense pas que vous êtes quelqu'un qui mens de manières volontaire et à long terme.

Quoi qu'il en soit. Si je me permet de vous demander de faire quelques chose, c'est que je vous accorde la confiance d'un résultat dans les possibilité de ce que j'attend de vous.

Le vampire retira doucement sa main la laissant glisser sur la peau fraîche de Gabriel comme si ce geste était des plus anodin.

- Quand à votre point de vue. Pourquoi trouvez vous que cette façon d'agir relève de la trahison ? Un ange gardien est-il un traître ?

Le vampire se permis un léger sourire discret avant de pencher légèrement la tête de coté attendant une réponse.

Le vampire perçus le petit frémissement alors qu'il retirait sa main du bras de Gabriel, il ne s'en offusqua nullement. D'autre aurait retirer leurs mains au plus vite, fuillait ce contacte comme on fuit le contacte de l'acier brûlant sur sa paume.


Vous êtes sérieux là? Même moi je suis plus sur de pouvoir me faire confiance... Ca fait deux fois dans ma vie que je perds la mémoire, comment je fais si ça recommence alors que je suis en "mission"? Et puis en quoi Mika aurait besoin d'un ange gardien? Je peux comprendre qu'il a des hobby ayant un rapport avec l'hémoglobine assez conséquent... mais il m'a semblé qu'il savait se défendre...

Asmodée esquissa un sourire amusé, le point de vue de son cadet l'amusait, ce qui était rare, le vampire se laissait rarement distraire, mais le contraste entre le ton employé et le contexte était divertissant.
Pourtant il ne se défit pas de son sérieux son regard restant impassible et son sourire s’effaçant aussi rapidement qu'il était discrètement apparut.

- Monsieur Morrow, je vous ai dis que je vous en dirais plus si vous étiez prêt à acceptez. Comprenez que je ne puis parler de certaine choses a des individus qui risque de se retirer d'un projet que je tien à garder confidentielle et ce pour le plus grand bien de tous.

Je vous dirais juste que certaine personne doive pouvoir mêmes protéger d'elle même. Vous devriez savoir ce qu'il en est étant donné vos expérience. Et si je fais appelle a vous c'est aussi parce que je crois savoir que vous tenez un tant soit peut à cette hybride. Vous savez peut être aussi qu'il à quelques soucis avec la Milice. Et que je suis moi même dans l'incapacité de le protéger pour les deux raison qu'il me déteste et secondement que j'ai trop affaire à la Milice pour me permettre de lui être ouvertement défavorable.

Avait-il rêvé où ça faisait deux fois déjà qu'il souriait? Pas sur.. quoi qu'il était certains d'avoir toute sa tête alors peut être que ça pourrait être vrai... Ses arguments étaient pourtant assez convaincants, au moins il ne prenait pas ça à la légère... Peut être avait-il un réel intérêt pour Mika? Mais le pourquoi restait flou...

Même si je n'en ai aucun souvenir, ça ne m'étonnerait pas qu'il ne soit pas ami avec la milice... enfin pas comme si un hybride ou un vampire pouvait être ami avec elle... Mais j'ai du mal à saisir ce que ça vous apporterez de l'aider...

Il regarda un peu dans le coin en haut à droite puis à gauche, faisant mine de réfléchir, une moue sur le visage puis porta son indexe à ses lèvres et l'enleva rapidement ...

Mais je crois de toute manière qu'on a pas le choix et qu'on devrait finir cette discussion ailleurs... dans une prison par exemple... enfin dans un bureau...

D'ailleurs en parlant de choix, deux miliciens entrèrent à se moment là dans le bar et lui lancèrent un regard mauvais auquel il leur renvoya un grand sourire ironique...

Vous en faites pas messieurs on vient déjà de m'arrêter!

Il se tourna vers Asmodée et lui tendit les poignets...

Alors vous me passez les menottes que ça fasse plus réaliste ou on se contente d'un "suivez moi vous êtes en état d'arrestation"?

Il avait pété un câble? Non... Juste envie de jouer... ça pourrait être marrant après tout non? Et puis n'a ton pas déjà dit qu'il voulait jouer les chieurs? Non ? Bah il faut le dire! L'ancien Gaby revenait au galop... peut être en pire! A moins que ça ne soit une intoxication à la chantilly ou à la pâte à crêpe... qui sait ce qu'il avait pu avaler de comestible cette dernière année après tout...

[Réflexion à moi même : je regarde trop Dr House]

Décidément Monsieur Morrow n'était pas quelqu'un de si facile à convaincre que cela, il y avait pourtant d'énorme point positifs qui aurait dus l'influencer à approuver cet arrangement. Mais non, il semblait toujours aussi incertain quand à son choix. Mais Asmodée ne voulait pas pousser les chose, de peur, peut être de voire le vampire se retrancher et lui infliger un non catégorique. Patience donc.

El Conel ne répondis pas lorsque le jeune vampire lui demanda en quelques sorte quel était son avantage à protéger Mikael. Il ne lui donnerais certainement pas cette information, pas maintenant en tout cas. C'était trop confidentiel pour être si facilement révélé et Asmodée était de ses gens qui ne faisait confiance qu'à eu même.

Il laissa donc le temps au vampire de réfléchir.

Mais je crois de toute manière qu'on a pas le choix et qu'on devrait finir cette discussion ailleurs... dans une prison par exemple... enfin dans un bureau...

Asmodée ne voyait en quoi il n'avait pas le choix et en parlant de choix il trouvait cet endroit idéale pour ce genre de conversation, si non bien sure il ne l'aurait choisi. L'idée de Gabriel d'aller à HOP, car ce ne pouvait être que de cela dont il parlait, ne lui convenait pas du tout. Il n'avait aucune envie de refaire ce long trajet dans l'autre sens. Et avait de plus en plus de mal à comprendre les étrange motivation de ce vampire.

Le visage d'O el Connel s'assombris quelques peut en apercevant les membre de la Milice qui faisaient irruption dans l'auberge revêtu de leurs uniforme. D'ailleurs cette venue ne passa pas totalement inaperçus et les bruits de conversation se firent soudains plus discrets.
Mais le vampire n'était nullement intimidé et fit bien savoir aux nouveau venu qu'ils auraient mieux fait de choisir un autre endroit pour prendre leurs déjeuner.

Le duo de vampire n'était pas non plus passé inaperçus, car si le visage de Gabriel était connu depuis quelques temps des Miliciens, ils leurs avait été interdit de l'arrêter jusque la ce qui n'avait pas plus à tout les membres de la Milice qui voyait en ce vampire uun individu des plus dangereux. Non pas dangereux par actions, mais plutôt pour le fait que justement, il ne semblait représenter aucun danger, que du contraire, il se mêlait à la population et avait même une bonne image vis a vis de la population de Modernis. D'une certaine façon, son influence et sa gentillesse était encore plus dangereux. Cela donnait une très mauvaise image à la Milice qui décrivait les vampires comme des être malfaisant.

Mais les quelques Miliciens ne se laissèrent pas emporter par l'envie irrésistible de faire ravaler le sourire à ce vampire de Gabriel. Leurs regard s'étaient posé un court instant sur l'individu qui l'accompagnait et ils avaient rejoint le bar d'une humeur un peut plus mauvaise que précédemment.

Alors vous me passez les menottes que ça fasse plus réaliste ou on se contente d'un "suivez moi vous êtes en état d'arrestation"?

Asmodée regarda un court instant les poignets tendu de Gabriel, semblant hésiter, sons regard glissa à nouveau vers les milicien assis sur un tabouret devant le bar et qui ne ratait rien de la scène. Ceux la les tiendrait à l'oeil et ce jusqu’à ce qu'ils disparaisse de la ville ou du moins se fonde parmi les habitants. Mais être le centre de l'attention de tous, n'était pas étranger à asmodée et il se fichait pas mal qu'on l'espionne il en avait tellement l(habitude que cela ne l'amusait même plus. Et il se doutait bien que la Milice lui faisait tout autant confiance que lui même.

Il se leva néanmoins, se penchant une nouvelle fois vers Gabriel, se fichant que d'autre puisse entendre ce qu'il lui disait.

- Si j'étais vous j'aurais préféré être arrêter par la Milice. Il est certain qu'elle vous aurait torturer, mais ne pensez pas avoir un meilleur traitement vis à vis de moi même. Bien des détenu de Hop donnerais le reste de temps qu'il le reste a vivre pour figurer sur la liste des occupant des prison de la Milice de Modernis.
Il vous reste encore une petite chance....

Il jeta un bref coup d'oeil aux Miliciens qui semblaient presque exulter, attendant que Gabriel face sont choix tel des chiens affamé devant une carcasse offerte.

Si Asmodée mentait ou si il se jouait des autres il le cachait parfaitement bien à tel point qu'il devenait difficile de savoir si c'était la des menace vis à vis de Gabriel ou seulement un avertissement ou encore si il s'amusait de la réaction de la Milice.

Il n'attendis pas la réponse de la part du vampire et dans un bruissement de soie il sortit de l'établissement.

Le vampire ne jeta même pas un coup d'oeil à Gabriel alors que ce dernier le rejoignait. Comme quoi les menottes était vraiment la chose la plus futile qu'il soit, surtout pour un vampire.

Ils ne firent que quelques pas avant que Gabriel ne pose une nouvelle fois une question, mais cette fois c'était plutôt sur leurs destinations actuel. Asmodéee lui lança un petit regard de reproche, comme si le sujet n'avait pas besoin d'être abordé, puis il sortit une clé de sa poche, une unique clé sans la moindre inscription, mais on devinait qu'il devait s’agir d'une clé d’hôtel.

C'est pas pour dire mais c'est pas avec aussi peu d'information que je vais l'effectuer cette mission...

Asmodée ne se donna la peine de répondre immédiatement et ce ne fut que quelques minutes plus tard, alors qu'il s'engageait dans une rue un peut plus tranquille que les précédente qu'il repris la parole.

- Et que voudriez vous savoir exactement Monsieur Morrow ?

Il y avait dans l'intonation de cette question une note d'amusement, même si seul le regard gris bleuté laissait apercevoir cette même moquerie - concevez là qu'il ne s'agissait nullement de moquerie méchante, mais plus de l'amusement poli -

Ils arrivèrent bientôt devant les porte d'un hôtel de luxe ou le majeur d'homme accueil les deux vampire de manière discrète mais des plus polies comme si il s'agissait la de deux personne des plus distinguée, ce qui n'était pas tout à fait faux.
Il y avait bien des ascenseur, mais ce fut par l'escalier de marbre blanc qu'Asmodée rejoignis le deuxième étage. Il ne prenait jamais l’ascenseur d'ailleurs.

El Conel s'arrêta devant la chambre numéros dix huit, qui s'avéra en fait être une suite des plus luxueuse, apparemment le vampire devait y venir fréquemment, parce que malgré que l'endroit était d'une propreté impeccable on sentait que le vampire y était particulièrement à l'aise. Les murs étaient orné de quelques tableaux, un petit salon donnait sur un balcon, la sale de bain était une pure merveille avec une baignoire qui ressemblait plus à une piscine et le lit donnait affreusement envie de s'étendre dessus. Plusieurs vase étaient orné de lys qui figurait parmi les fleurs favorites du vampire et leurs parfum entêtant embaumait l'air.

Asmodée pris place dans un des fauteuils de salon et laissa entendre un léger soupire alors qu'il laissait sa tête s'incliné sur le dossier tout en fermant les paupière.

- J’espère que l'endroit vous conviens pour parler, les murs sont insonorisés et l'endroit m'appartient. Je conçois votre déception de ne pas retourner à Hop, mais le trajet me semble trop long et peut être inutile. Puis ceci n'est il pas une prison dorée ?

Dites moi.

Il r'ouvris les paupière pour poser une regard attentif sur Gabriel.

- Vous connaissez quelques peut Vaen von Nyx si je ne m'abuse. Vous ne devez pas particulièrement le porter dans votre coeur. Dites moi un peut ce qu'il en est.

O el Conel regarda le vampire s’installer avec non chalance dans le divan et durant tout le temps du court exposé, dont le sujet principale était la relation peut chaleureuse qui unissait l'ex-comte de Gothik avec l'ex-conseillé, il ne quita du regard ce dernier.
Semblant à peine écouter ces paroles, ce qui n'était pas le cas, il braqua son regard gris bleuté sur le visage de Gabriel, s'amusant d'y voire naître l’esquisse d'un sourire au coin de ses lèvres.

Lorsque Monsieur Morrow lui demanda ce qui l’intéressait il ne répondis pas mais haussa juste un sourcil avant de croiser les jambes, s'enfonçant un peut plus dans son fauteuil de velours carmin.

Par ou commencer...Il pencha légèrement la tête de côté alors que Gabriel devait se ressentir un bien être apaisant, certainement dûs au confort de cette suite et du divan particulièrement moelleux dans lequel il reposait. Asmodée poussa un peut plus loin la chose, allant jusqu'a faire naître un voile de chaleur au niveau du bas ventre de son vis à vis. Mais il en resta là. Il désirait juste légèrement titiller Gabriel. Peut être pour la simple raison qu'il le trouvait assez artistique. Effectivement le vampire était assez sensible à l'art et cette éclairage, ce léger rayon de soleil qui venait lécher la chevelure du vampire, ces ombres qui dansait sur son torse, cela lui plaisait tout simplement.

Quoi qu'il en fut, le pouvoir qu'il possédait était extrêmement rare, si pas unique et il le manipulait avec tacte et discrétion. Lui même l'utilisait en cet instant avec tant de parcimonie ne s'en rednait pas vraiment compte, cela était si naturel.

- Je ne désire rien savoir de plus. Je me doutais que vous n’étiez pas en excellent terme avec Monsieur Von Nyx, mais je voulais l'entendre de vos lèvres, on est jamais mieux servis que par ces dernière, ne trouvez vous pas ?

Je ne sais que vous dire de plus précis concernant cette mission. Je possède certaines information qui me laisserais croire qu'il pourrait arriver quelques chose de fâcheux à l'hybride Mikael Von dast. Vous n'êtes peut être pas sans savoir que la Milice le recherche activement. Elle connait également le lien qui lie cet hybride à l'ex-comte de Gothik.

Asmodée se leva d'un mouvement fluide mais brusque comme si quelques chose le dérangeais ou plutôt l'énervais. Mais ce mouvement d'humeur passa aussi rapidement qu'il n'en était venu. Il fit quelques pas jusqu'à aller s'asseoir sur le dossier du divan ou Gabriel reposait, le surplombant d'une bonne hauteur.

- Il va arriver quelques chose à l'hybride, une chose dont je ne puis vous parler. Mais cette chose aura comme répercutions le fait que le jeune Von dast s'éloigne de Monsieur Von Nyx. Mais Mikale n'en souffrira nullement. Votre mission sera alors de le suivre. De me rapporter de manières très globale ce qu'il fait. Je ne veux pas connaitre ces fait et geste mais uniquement si il prenait contacte avec la Milice ou si il se rapprochait de l'un ou l'autre groupement. Il faudra aussi que vous veiller de pret ou de loin à sa survie. Je ne veux pas qu'il lui arrive quelques chose de fâcheux et encore moins que la Milice mette la main dessus.

Il fit une petite pose attendant que le vampire se prononce.

La vue est meilleure?

Asmodée ne répondis que par un sourire énigmatique alors que son regard caressait un court instant le visage de Gabriel avant de remonté vers ses cheveux et sa main abandonnée non loin de lui.

Mais cette distraction fut rapidement chassée de ses pensées et lorsqu'il eu finsi ses explications il n'eu plus qu'a admirer avec ennuis le haussement de sourcil de Monsieur Morrow. A cette seule vue, Asmodée se permis un très léger soupire qui serait certainement passé inaperçus aux oreille d'un humain, mais non d'un vampire. Il se repris pourtant tout aussi rapidement s'obligeant à être patient et compréhensif quand aux questions que pourrait encore formuler Monsieur Morrow.

Il m'avait semblé comprendre qu'il avait quelques connaissances dans la mafia et puis comment pourrait-il s'éloigner de Vaen alors qu'il l'aime à la folie! Et d'ailleurs comment vous pouvez savoir ce genre de choses alors qu'elles ne se sont pas encore passées? Mika me parlait encore de Vaen avec des étoiles plein les yeux tout à l'heure c'est pour dire... Vous êtes devin ou quoi?

Ce fit à O el Conel de légèrement froncer les sourcil alors que Gabriel énonçait avec tant de ferveur le lien qui unissait l'hybride et le vampire. Ainsi ces deux la tenaient tant l'un à l'autre. Le vampire resta quelques instant silencieux, semblant pensif alors que son regard gris bleuté se faisait un peut plus lointain. Pour finir un sourire amusé se dessina sur ses lèvres alors qu'il pensait à Vaen von Nyx et à ses manière hautaine et détachées, un vampire de la bourgeoisie qui ne conçois pas que quelques chose ou quelqu'un puisse lui résister ou lui manquer de respect. Comment ces deux la pouvait il donc s'aime ? Le cas était amusant.

Et puis vous voulez que je le suive comment? Il est pas idiot, et il est surtout entrainé pour la guerre, toujours sur ses gardes, même si je suis son ami il verra forcément qu'il y a un truc...

Asmodée inclina légèrement la tête pour mieux pouvoir regarder le vampire qui était toujours allongé. La commissure de ses lèvres furent effleuré par l'esquisse d'un sourire, légèrement triste, un peut pensif, puis ce sourire se fit plus franc alors que ses yeux ne quittaient toujours pas ceux de Gabriel.

Sa voix était douce, presque sereine, son timbre n'était pas plus dense que le murmure du vent et il se pencha légèrement vers le jeune vampire, lui effleurant la main du bout des doigts, comme si ce geste anodin, n'était présent que pour affirmer ce que ces lèvres disaient.

- Il s'avère que oui, d'une certaine façon et dans certains cas, je suis devins. Cela n'a rien d'enviable croyez moi. Et vous comprendrez par là, également, qu'il m'est difficile de vous offrir toute les informations que vous pourrez désirer.

Le vampire se redressa et le frêle contacte qui s'était maintenu entre leurs doigts seça par la même occasion. La douce chaleur que Gabriel avait dus ressentir durant ce court instant cessa de même alors qu'Asmodée reprenait la parole.

- Vous pourrez suivre l'hybride sans le moindre mal, car il ne vous reconnaître pas. Vous vous ferez passer pour un Traders, pour tout vous dire, et vous vous efforcerez de faire connaissance avec lui.

Ne me posez pas plus de question sur la raison pour laquelle il ne vous reconnaîtra pas. Je peux seulement vous affirmer que ce sera ainsi.

Asmodée regarda avec amusement le vampire se dandiner quelques peut sur le divan avant de décider de se croiser les jambes. Gabriel était touchant...Du moins certain aurait pus le caractérisé ainsi vu la situation. Mais Asmodée ne faisait que lui accorder un petit sourire poli et distant, espérant peut -être avoir répondu a ses questions.

Et qu'est ce que le devin à vu pour cette soirée?

Le regard gris perlé de bleu se fit plus péremptoire alors que le sourire faisait place à une expression plus grave et que les paupières se plissaient légèrement. Comme si cette question était interprété comme une petite moquerie, qu'évidemment le vampire n'aurait jamais pus apprécier ou même accepter.

El Conel ne déssera pas les lèvres, ne mimant même pas le fait qu'il avait aperçus les mimiques séductrice du jeune vampire allongé devant lui.

J'imagine que je vais pas commencer dès ce soir.... d'ailleurs il faudra me dire quand ça commencera ... Mais en attendant... besoin d'autre chose pendant que vous m'avez sous la main?

Asmodée, statue de marbres, sembla enfin reprendre vie alors qu'il était rester d'une parfaite immobilité, que même un ouragan n'aurait pus déplanter de sa posture d'observateur.
Dans un rapide bruissement de tissu il quitta son siège improvisé tout en laissant entendre un rire aquilin teinté d'un amusement certains.

- Je ne vous savais aussi intrépide ou imprudent Monsieur Morrow que pour demander au maître de Hop ce qu'il désirait faire de votre personne.

Si il s'était éloigné de lui durant le temps de ces paroles, il ne lui fit pas moins face en arrivant à leurs terme, un sourire étrange flottant sur ses lèvre et laissant apercevoir la pointe de ses canines.

- Le devin que je suis n'a pas été jusqu’à apercevoir l'étendue de vos talents de divertisseur, mais je suis sure que vous pourrez improviser. Montrez vous dignes de votre renom, pour un individu capable de faire sortir un prisonnier des murs de ma propre prison, vous devez bien être capable de m'étonné à nouveau.

Sur ces paroles le vampire alla reprendre place dans le fauteuil qu'il avait quitter quelques instant plus tôt, s'instalant confortablement et croisant les jambes, il semblait à présent attendre la suite des évènement tel un apôtre dans une sale de cinéma.

Asmodée espérait être quelques peut divertis. Il fut quelques peut étonné, étonné de voire Gabriel se lever pour s'approcher de lui. Et un peut plus étonné de le voire prendre place sur ses genoux. Pourtant il ne fit rien pour le chasser, ne se bornant qu'a le regarder faire sans bronché, comme si cela n'avait pas plus d’importance que de regarder la pluie tomber.

Il ne quitta le regard du vampire alors que ce dernier se permettait de lui frôler le visage du bout des doigts.

Hm... les vilains garçons ont droit à des corrections non?
Il parait que j'ai été très vilain cette année...

Un sourire amusé naquis sur le visage de l'aîné, son regard parcouru Gabriel de haut en bas, détaillant son t-shirt à tête de mort qu'il trouvait toujours de très mauvais gout, puis son bas ventre, pour enfin franchir le cap de la ceinture, ses jambes croisée et ce jusqu’à ses pieds, pour enfin revenir à son regard bleuté.

- Pensez vous que c'est un droit ou une nécessité de corriger les vilains garçon ?

C'était clairement une nécessite, mais Gabriel semblait plutôt le vivre comme un privilège, ce qui n'était peut etre pas plus désagréable. Mais Asmodée ne désirait de réponse, qu'en aurait il fait d'ailleurs.

- Et quel correction vous semble à la hauteur de vos méfaits ?

La mains du vampire se tendis vers le visage du jeune vampire, ses doigts se tendant mais ne frôlant la peau du menton de Gabriel qu'avec une tel légèreté qu'il n'aurait pus s'agir que de la caresse du vent, ses doigts remontèrent doucement épousant le des sien de sa mâchoire, la naissance de sa joue avant d'éviter le lobe délicat de son oreille.

Son expression était toujours neutre et pas le moindre sourire ne se laissât apercevoir.

Les doigts du vampires se mêlèrent bientôt au cheveux de Gabriel avant de les tirer quelques peut durement en arrière. Alors seulement il se permis de sourire délicatement alors qu'un de ses sourcils se levait dans une interrogation muette.
Il se pencha légèrement vers le vampire et ce jusqu'a ce que son souffle caresse le cou découvert de Gabriel.

- Peut-être devrais je vous arracher la carotide, cela serait rapide et radicale, vos méfaits prendrait fin et votre correction n'en serait que plus brève

Son murmure pris fin un court instant alors que du bout de sa langue il venait à caresser la ligne délicate de cette même carotide.

- A moins que vous ne préféreriez un traitement plus langoureux et qui n' en serait que plus douloureux. Mas sachez que la mort viens frapper a toute les portes, surtout celle qui lui demeure fermée. On n'échappe pas à son destins, pas même en prenant une vois tangente mon Gabriel.