~FEVER~
• Nom : Von Tease
• Prénom : Rares sont les élus à le connaître.
• Titre/Surnom : Fever.
• Age véritable ou approximatif : A peu près 150 ans. (Il a arrêté de compter depuis qu'il a trouvé mieux à faire pour s'occuper.)
• Age apparent : 25-26 ans.
• Race : Vampire.
• Groupe : Gothik.
~Description physique~
On ne peut pas le nier, Fever semble avoir été gâté par la Nature. Il sait qu'il a du charme et il n'hésite pas à en user pour charmer ses amants comme ses victimes (qui ne font souvent qu'un). Pendant longtemps, il a porté les cheveux mi-longs que cherchait à lui imposer son père mais il les a un jour coupés en une coiffure ébouriffée et à l'allure savamment négligée. Les traits de son visage sont gracieux bien que clairement masculins. Une mâchoire légèrement carrée surmontée par une bouche aux lèvres pulpeuses qu'il aime humecter pour attiser un peu plus le Désir de ses amants. Il exhibe souvent ses canines sur lesquelles il passe et repasse sa langue rosée et habile.
Son regard azur et pénétrant se fixe souvent sur un point précis et quand c'est le cas, ses pupilles se dilatent légèrement comme s'il venait d'ingurgiter une drogue particulièrement planante. De clair et lumineux, il peut s'assombrir imperceptiblement quand ses instincts vampiriques le dominent totalement.
Si vous laissez votre regard glisser le long de son corps, vous ne rencontrerez que des formes harmonieuses et même franchement délicieuses. Un torse finement musclé bien qu'il n'ait pas des biceps saillants. Trop de muscles tue les muscles.
Deux tétons rosés pointent sur sa peau pâle et semblent nargués ceux qui les admirent, comme pour les défier de venir les caresser.
L'une des particularités de Fever est la chaleur qui émane de son corps. Sa peau est loin d'être brûlante mais il n'empêche qu'elle est anormalement chaude pour quelqu'un de son espèce même si ses mains sont cependant souvent froides.
Ses longues jambes fines sont souvent moulées des pantalons noirs et élégants, bien qu'il puisse aussi se laisser tenter par des couleurs plus claires. Il aime s'essayer à tous les styles vestimentaires bien qu'il ait un faible pour les chemises en soie ou bien toutes simples, du moment qu'il peut les entrouvrir sur son ventre et dévoiler la légère ligne de poils pubiens qui descend vers un endroit magique. Quand il se rend dans une soirée, il lui arrive de mettre une sorte de cape noire assez courte ou bien simplement un long manteau sombre aux boutons argentés.
Il aime se passer une main dans les cheveux pour les ébouriffer, comme s'il venait de passer une nuit de folie. Ce qui arrive à peu près toutes les nuits et même le jour.
Cette description est bien fade par rapport au Fever lui-même. Pour l'apprécier pleinement, il faut le regarder et pourquoi pas...Toucher. N'hésitez pas, il ne mord pas. Ou Presque...
~Description mentale~
En un mot, Fever est Sage. Il est sage si les quatre lettres qui composent ce mot correspondent à Sexy-Aguicheur-Gourmand-Excitant. Alors dans ce cas, il est sage, très sage même. Malgré son éducation isolée et solitaire, le jeune homme est très extraverti pour ne pas dire débauché. Il n'hésite jamais à dire ce qu'il pense, peu importe les conséquences du moment que c'est dit.
On peut dire qu'il est dominé entièrement par la Fièvre, par le Désir ardent qui embrase son corps dès qu'il aperçoit une créature à son goût. C'est un véritable pervers dans l'âme, il est Satyriasis et l'assume complètement. D'un naturel charmeur et séducteur, il aime à savoir qu'il plaît et n'hésite pas à user de son charme pour attirer ses victimes dans ses filets.
Malgré son passé plutôt tortueux, il affiche toujours un sourire. Qu'il soit taquin, charmeur, excité ou même calculateur, il l'abandonne rarement. Mais attention à certains d'entre eux, ils n'annoncent jamais rien de bon. La signification de son sourire peut aller de 'Salut toi.' à 'J'ai faim et j'ai décidé que je ferais de toi mon prochain repas.'
Il aime d'ailleurs déposer des marques sur ceux qui partagent son lit, mordre subtilement ou bien plus fortement une peau douce et ferme voilà ce qui peut le faire jouir aussi sûrement qu'une fellation. Le Sang. Voilà son plus grand plaisir. Normal pour un vampire me direz-vous. Mais il ne peut le dissocier du Sexe qui devient alors diablement excitant.
Fever est d'un naturel provocateur et assez dominateur. Il n'aime pas se laisser marcher sur les pieds et a tendance à s'emporter un peu vite. Ses actes dépassent parfois sa pensée. Agir d'abord, réfléchir ensuite.
Mais c'est comme si un Second lui se superposait à celui-là. Un Fever calme et mesuré, presque sombre et ténébreux. Un Fever parfaitement conscient de son passé et de son rang. Un Fever que l'autre s'applique à dissimuler au fond de lui, au risque de devenir une véritable bête sauvage, assoiffée de sang. Et de vengeance. Contre qui ? N'importe qui, le monde entier. Peu importe du moment que coule le Nectar Pourpre.
Je ne vous en dit pas plus sinon ce ne serait pas drôle. Vous voulez le connaître mieux ? Approchez si vous avez des couilles.
• HISTOIRE •
Fever. Fever. Fever.
Vous voulez connaître mon Histoire ? Savoir qui je suis ? C'est pourtant simple, vous me connaissez déjà. Quand un frisson remonte le long de votre nuque, quand une chaleur enivrante embrase vos reins, quand le plaisir vous fait perdre toute notion du temps ou de l'espace. C'est cela la Fièvre. C'est moi.
Mais quand elle me mit au monde, c'est d'une tout autre Fièvre que succomba ma chère mère. La grossesse avait été parfaite : son ventre et sa poitrine avaient pris une jolie rondeur, ses nausées ne l'avaient faite souffrir que pendant une courte période et elle aimait déjà l'enfant qui s'annonçait à venir. Même la Nature semblait propice à accueillir ma venue comme le montrait le vent doux et caressant qui soufflait cette nuit-là, chose plus que rare pendant la Saison des Glaces de Gothik City.
Le travail commença à la tombée de la nuit. La fine et soyeuse chevelure de jais de ma mère collait à son front nacré tandis qu'elle serrait les dents et poussait comme le lui répétaient les sages femmes autour d'elle. Elle se mordait la lèvre inférieure de ses crocs pour retenir des cris de douleur, ma mère a toujours été quelqu'un de très digne. Du moins, c'est ce que l'on m'a dit.
Les esclaves avaient peur de serrer sa main car elle aurait tout aussi bien pu leur arracher.
Mais au bout de quelques nombreuses et intenses heures, son col ne s'ouvrait toujours pas pour me laisser quitter son ventre et une Fièvre presque folle s'emparait d'elle, conférant à sa peau pâle une teinte rosée pareille à celle des humains.
Elle devint si violente que personne n'osait s'approcher d'elle. Ses yeux étaient devenus rouge sang tandis qu'elle hurlait, tout ce qu'elle voulait c'était qu'on la débarrasse de cette chose. De moi.
Mon Père se décida enfin à la rejoindre dans sa chambre. Ses longs cheveux auburn encadraient un visage sur lequel ne transparaissait aucune émotion visible. Une poupée habillée de Satin et d'or. Marius Von Tease. Le nom de notre famille était souillé par les nombreuses relations incestueuses, extra-conjugales et meurtres qui l'avaient engendrée. Pourtant Marius était parvenu à se faire une place à la Cour des Von Dast. Une place dont il espérait profiter encore longtemps jusqu'à rétablir le nom des Van Tease. Et pour cela, il lui fallait un héritier. Il avait besoin de moi.
C'est alors avec un regard froid et presque indifférent qu'il immobilisa celle qui fut sa femme sur le lit et lui déchira la gorge de ses crocs acérés. Il étouffa d'un baiser le cri qui s'échappait des lèvres de sa tendre Lucrèce tandis qu'il lui déchirait habilement le ventre pour en extraire l'enfant.
Il me souleva entre ses mains et je fis mes premiers pas dans ce monde. Dans la douleur, le sang et la fièvre dévorante.
Marius me confia aux sages-femmes présentes avant de prendre le cadavre de ma mère entre ses bras puissants et de disparaître par le balcon. Personne à part lui ne sut jamais ce qu'il en avait fait. Il paraît qu'il l'avait vraiment aimée. Je doute que Marius ait un jour aimé quelqu'un d'autre que lui-même, peut-être l'une de seules choses que nous avons en commun.
Dans ce grand manoir froid et vide, je grandis au milieu des esclaves de mon père mais aucun n'osait m'approcher de trop près. Sur mon passage résonnaient des murmures qui se voulaient discrets : « La Fièvre...La Fièvre...C'est lui qui l'a tuée...Avec la Fièvre... »
La Fièvre, celle qui s'était emparée de ma mère, l'empêchant de me mettre au monde de façon normale était-elle vraiment issue de moi ?
Je crois que c'est presque naturellement que je devins Fever. Tous ceux qui m'approchaient voyaient planer au dessus de moi le spectre de ma mère, un spectre à la gorge tranchée et suppurante, un spectre rouge comme la Fièvre.
Au début de l'adolescence, mon père fit venir des précepteurs vampires dont le regard était aussi froid que le sien. Ils m'apprirent tout ce que je fus en mesure d'apprendre, tout ce qui me servirait en tant qu'unique héritier des Von Tease. Sans m'en rendre compte, je devenais un homme. Mon corps changeait tout comme mes besoins, mes sens. Je n'avais jamais été confronté à des personnes de mon âge et, le jour où mon Père se décida à m'emmener avec lui à la Cour, je découvris ce qu'était le plaisir d'être mêlé à d'autres individus.
Surtout quand lesdits individus étaient aussi troublants. J'étais fasciné par cette assemblée composée de personnes à la peau nacrée, ferme et à l'aspect aussi douce que de la soie. Les seuls marques trahissant de l'âge plus avancé de certains convives étaient de petites rides quasiment imperceptibles au coin de leurs yeux ou de leurs lèvres, ainsi qu'un regard fixe et dur.
Alors que mon père était occupé à saluer bien bas les convives aux rangs plus élevés que le sien, je me plaçais dans un coin de salle de bal et j'observais avidement tous ces corps sensuels se mêler les uns aux autres.
Jusqu'à ce qu'un soir, un homme s'avance vers moi. Je ne connaissais pas son nom, je ne m'en rappelle déjà plus. Tout ce dont je me souviens, c'est de son regard vert d'eau qui m'hypnotisait pas son intensité et tout ce que je pouvais y lire. Il m'entraîna derrière l'une des lourdes tentures pourpres qui encadraient les grands vitraux de la salle et me fit découvrir les plaisirs procurés par des baisers passionnés et des attouchements maladroits.
J'étais si jeune, j'étais excité. Le soir même, je découvris l'extase. Alors que je venais de me déverser en lui, l'homme m'attira contre son torse et m'incita à lui ouvrir la gorge pour venir m'y abreuver. J'eus un second orgasme qui parcourut mon corps de façon fulgurante, se répandant même dans mes veines qui s'enflammaient de plaisir.
Je refermai la plaie de son cou à l'aide d'un coup de langue humide et le fixai, encore haletant de ce que je venais de vivre. Son regard de jade semblait vouloir me dévorer tout entier et son sourire qui laissait entrevoir ses crocs était plein de promesses. Je le quittai et me rajustai tant bien que mal pour rejoindre mon père qui m'accueillit près de notre calèche d'un regard froid et clairement désapprobateur. Sur le coup, je ne compris pas. Mais une fois au Manoir, quand je croisai mon reflet je réalisai que la débauche s'inscrivait sur mon visage. L'homme n'y avait pas été de main morte.
Depuis ce jour, Marius ne me proposa plus de l'accompagner à la Cour mais je m'y rendais par mes propres moyens. Si souvent que la plupart des courtisans ne tardèrent pas à me connaître. Fever. C'est le seul nom que je ne leur ai jamais donné. Mon corps chaud tellement inhabituel pour un vampire leur plaisir, les fascinait. Je devins rapidement un amant expérimenté et surtout, doué.
Il faut que je 'travaillais' beaucoup pour m'améliorer. Rien ne vient tout seul...ou presque.
Un jour où je rentrais justement de l'une de ces nuits de débauche, l'Aurore se levant tout juste sur le paysage purifié par la neige de Gothik City, quelques bruits en provenance de la chambre de mon père attirèrent mon attention alors que j'étais occupé à regagner mes propres appartements.
La porte était mal fermée et un rai de lumière filtrait en dessous, comme une invitation à satisfaire ma curiosité dévorante. Je poussais doucement le battant et écarquillai les yeux à la vue de la scène qui s'offrait à moi. Mon Père. Ses longs cheveux toujours parfaitement en ordre étaient ébouriffés par ses mouvements, tombant en partie sur son visage de nacre où même le plaisir se lisait à peine . C'était la première fois que je voyais sa peau nue, si ce n'est celle de son visage ou de ses mains.
Mais ce sur quoi se focalisait surtout mon regard était ses puissants mouvements de va-et-vient alors qu'il pénétrait brusquement l'un de nos esclaves mâles, Leorio. Celui-ci portait l'une des robes finement brodées de ma défunte mère, relevées jusqu'à son bassin pour laisser libre accès à son fessier parfaitement bombé et accueillant.
Marius se retourna et ses yeux croisèrent les miens, me défiant. Il amorça encore quelques mouvements qui arrachaient des cris rauques à Leorio avant de se déverser en lui. Mon père se redressa sur le lit, repoussant distraitement le corps de l'esclave épuisé et il s'avança vers moi sans même prendre la peine de se couvrir.
Malgré moi, je reculais d'un pas mais ses bras m'encerclèrent et il me plaqua contre la porte qui se ferma sur le coup. Son souffle rauque caressait ma bouche et je le vis se mordre la langue à l'aide de ses crocs pour laisser couler un mince filet carmin.
Ses lèvres happèrent les miennes et je réprimais un gémissement quand ma langue entra en contact avec son sang. Tellement différent de ceux que j'avais pu goûter auparavant. Un goût enivrant et familier, qui me faisait tourner la tête. Il me relâcha et fondit sur ma gorge qu'il perça de ses canines pour dérober quelques goulées de mon nectar.
Son front se posa tout contre le mien et en cet instant, il fut plus proche de moi qu'il ne l'avait jamais été. Sa voix grave retentit contre mes lèvres :
«Maintenant, nous partageons vraiment le même sang. Et les même vices. Nous ne sommes pas si différents. Mon fils. »Il prononça ces derniers mots de manière presque caressante avant de se détacher de mon corps et de rejoindre la salle de bains adjacente à sa chambre sans un regard en arrière. Je penchais la tête en arrière et fermais les yeux en soupirant.
Marius venait de m'embrasser, un baiser ensanglanté à la manière des amants. Je portais ma main à mon entrejambe et marmonnai :
« Merde, je bande.... »
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Après cela, mon père fit comme si rien de tout cela n'avait eu lieu. Il ne m'évitait pas mais il n'était pas plus proche de moi pour autant. Dès que je croisais son regard, je pouvais le sentir me plaquer contre le mur et m'embrasser avec plus de passion qu'aucun autre homme auparavant.
Et j'avais l'impression qu'il s'en amusait, il s'amusait de mon trouble.
Je ne comprenais pas pourquoi il a fait ça et aujourd'hui encore, je ne comprends pas. Y avait-il seulement une signification à tout cela ? Cela fera bientôt 50 ans qu'il a disparu de ma vie. Je suis un Van Tease, j'aurais pu aisément le retrouver. Mais je suis sûr que cela lui aurait fait trop plaisir que je parte à sa recherche.
Quand je repense au goût de son sang, à ce mince filet qu'il m'a laissé goûter, je ne peux m'empêcher d'être assailli par un manque dévorant, un besoin d'en avoir plus au point d'en avoir presque mal. Cela ne dure jamais très longtemps, mais bien assez pour me donner envie de le poursuivre.
Je devins alors chef de la famille Von Tease. Un Manoir et plusieurs terres à mon nom, une place toute nouvelle à la Cour. Je suis bien plus extraverti que mon père en public, lui se contentait d'une politesse respectueuse et froide là où moi j'assouvis mes désirs charnels avec bon nombre de mes conquêtes. Toutes masculines. On dirait que le nom des Van Tease s'éteindra avec moi. J'abhorre l'hypocrisie sous toutes ses formes, je n'ai pas l'intention de prendre une femme. Ou un homme.
Je passe la plupart de mes nuits dans ces grandes soirées mondaines, parfois masquées pour pimenter ce jeu de l'Attirance où le perdant comme le vainqueur seront pleinement satisfaits. A la Cour, je suis à la recherche de Désir, de pouvoir. Un pouvoir nouveau, fort, affirmé. Tout ce que semble incarner celui qu'on nomme le nouveau maître de Gothik City.
Thanatos Vaën Von Nyx. Il est souvent présent mais il est rarement seul. Et c'est seul que je veux l'approcher et qui sait...Le faire mien pour quelques heures. Lui transmettre cette Fièvre brûlante qui me suit depuis mes premiers instants.
« Dans ce monde, la seule chose invariable, la dernière valeur sûre, c'est le Sexe. »Je ne sais plus lequel de mes amants m'a dit ça. Mais je me souviens que c'était après une nuit de folie. C'est tout ce qu'il y a à retenir, non ? Dans notre univers de glace, là où la jeunesse éternelle semble être Reine, là où chaque sentiment peut-être feint, là où personne n'aime autre que lui-même.
Là où la Fièvre a toutes les chances d'asseoir sa Domination.
• Pouvoir spécial :♥ Attirance ♥ Vous possédez une odeur délicieuse qui attire vampires, hybrides ou humains il s'agit la d'une envie, d'une attraction sexuelle, plus que sentimentale. Ce pouvoir agit constamment, un coup il n'y aurait pas trop d'attraction et celui d'après plusieurs personnes dans une même pièce seront attirées. /!\ différent de Séduction, qui est un pouvoir très facilement contrôlable !
• Arme(s) : Fever aime beaucoup les combats au corps à corps, le contact de ses membres qui se touchent et s'effleurent, cherchant à percer les défenses de l'autre de manière presque intime. Comme une danse sensuelle, presque charnelle. Malgré tout, il a toujours sur lui sa Dague Triskel qu'il a baptisé du doux nom d'Eris. Car il espère bien qu'elle sème la discorde partout où ses fines lames se poseront.
Il aime aussi user d'un long fouet en cuir, idéal pour les combats contre des adversaires possédant des lames plus grandes que les siennes. Contre les armes qui crachent le feu, il compte sur sa vitesse et son instinct. Peut-être même sur son sourire.
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