J'avais les paupières closes, il me semblait que plus d'une fois je m'étais éveillé durant les dernieres heures - les derniers jours - mais pour chaques fois ressombré dans un semi sommeil ou fatigue et douleurs se disputait la place. Je n'avais aucune conscience d'ou je me trouvait et encore en ce moment même alors que pour la première fois je prenais conscience des bandage qui m'entourait le torse ou de la couche confortable sur laquel je me trouvait, je n'vais nul idée de l'endroit ou je me situais.

Mon odororat peut etre m'en aprendrait plus. Une douce odeur de fleur, me semblait il, mais celle qui me frapap en premier lieu fut celle d'un etre qui m'était bien plus chère que tout autre.

*****

La douleur était fulgurante et à peine avais je repris conscience que la seul chose à laquel je pus penser - outre avalé le sang qui me coulait dans la gorge - était qu'elle puisse cesser. J'ouvris a nouveau les yeux, ma vision était toujours trouble mais semblait s'améliorer, j'apperçus quelqu'un debout à mes cotés.

La tête me tournait, des lumière vives semblait chahuter devant mes yeux, chaqu'une de mes respiration était une vértiable torture, comme si quelques chose à l'intérieur de mois se déchirait. J'aurais hurler si j'en avait eu la force, mais la seul chose que je pouvais faire était boire ce liquide poisseux pour ne pas m'étouffer. Mes sens était aux suplice, je percevait un bourdonnement désagréable, comme une voix, mais déformé.

J'aurais voulu fermer les yeux et échapper a cet enfer. Mais je ne le pouvait aps, je ne le pouvait plus. Ce sang qui coulais dans ma gorge et que j'adorais tant d'ordinaire me donnais de l'énergie. Suffisemment d'enregie pour me rendre compte de l'endroit ou je me trouvais.
Un endroit ou nous n'aurions jamais dus etre.

Je clignais des yeux essayant veinement d'en chasser les zones d'ombre et de lumière aussi vifs que des soleils. J'étais attaché, me débattre ne servait a rien. Vaen semblait sur le point de défaillir, il s'était entailler le bras sur presque tout la hauteur. Je ne sais pourquoi, mais je réussis a sourir. Peut etre parce que j'avais tant désiré le voire une derniere fois que cela me rendait tout simplement heureux.

Non ! C'était trop con, ça ne pouvait pas finir comme ça, je ne le tolèrerait pas.

Etais ce ce qu'on appelle le segond souffle ou bien les quelques gorgée que mon amant m'avait offert m'avait redonner un peut d'énergie. Pour ma part, je pense que c'était un peut de tout cela mêlé à son regard, ce regard qu'il me portait et pour lequel j'aurais certainement tout donné et tou fait.

Je tatonna et par miracle trouva ce que je cherhcait, un bout de verre, certainement celui avec lequel ils s'était entaillé car il était légerment poisseux. Il le fut encore plus lorsque j'eu finis de hacher les bande de cuirs qui enserrait mon corps.

Ce simple exercice m'avais déja causer quelques douleur, je transpirait à grosse goute et ne pouvait même pas savoir ou était Vaen, mon monde semblait s'être réduit à une bules avec un champs de vision de dix centimetre autour de ma personne. J'aurais été seul à m'agiter dans cette obscurité que ça n'aurait rien changer, sauf, ma détermination. Je savait qu'il était là et je savait qu'il n'allais pas bien. Avait il seulement été un jour aussi mal ? La vision que j'eu comme réponse n'avait rien d'agréable. Mais une fois de plus cela me fouetta le sang et me permis de trouver le courage de descendre de ce que certain s'accordait àa ppeler un lit. Pour ma part "table de torture " aurait été un choix plus judicieux.

Je me laissa donc plus ou moins glissé, du moins tel était mon idée pour me retrouver debout ou assis. La réalité fut plus brutal, je tomba, mes jambes ne me soutenaient pas le moins du monde et le choc m'extirpa un gémissement de douleur alors qu'une fois de plus un filet de sang se répandit sur le sol.

Il me falut, me semble t'il une éternité pour reprendre mes esprits et quand ce fut fait ce fut pour entendre un léger rire.

- Je ne t'aiderai pas, si tu dois mourir ici et bien tampis !

Il continua sur ce même ton, mais je ne l'entendis guère, je continua mon chemin a quatre pate, aussi pitoyable cela pouvait il paraitre, c'était toujours mieux que rien, ramassant la poche de sang qui trainait par terre au passage.

**

Je ne parvenais aps a comprendre la raison pour laquel je continuait encore a avancer. Vaen semblait toujours aussi mal, parfois il reprenait contacte avace la réalité - réalité qui m'échappait -. Nous n'échangions pas le moindre mots, peut etre parce que ni l'un ni l'autre n'en avions vraiment le courage. la seul chose qui comtait a mes yeux était qu'il reste en vie et que nous quitions enfin cette ville maudite.

Le couloir me sembla interminable, mais les outerrains furent bien pire. Je ne comptais plus les fois ou je m'écroulait avec mon fardeau, ni les douleurs que cela nous occasionnait. Je comprs lors d'une de ces chute que je devait avoir un morceau de je ne sais quoi, enfoncer dans mon torse et que cela devait quelques peut endomager mon poumon ou quelques chose du genre. Je crachait du sang a chaque choc et respirer m'était difficile.

La poche de sang, ne suffit évidemment aps a grand chose, même si une fois écoulée entre les levres de mon amant il sembla allez un peut mieux quelques temps.

**

Vaen était allongé à coté de moi, les étoiles semblait briller dans le ciel, mais peut etre était ce les lumière de la ville, je n'en savait plus rien, cela n'avait d'ailleurs pas la moindre importance. Je chercha sa main a taton, la trouvant apres quelques segonde, elle était fraiche, comme d'ordinaire, peut etre plus froide ou plus chaude, je ne savait pas.

- Je t'aime mon amour...- Je repris mon souffle - Je t'ai toujours aimé et sache que si tout s'arretait maintenant, je ne regretterais rien des années...que nous avons partagé.

Je toussa, reprenans mon souffle une fois de plus, le gout de mon propre sang mêlé a celui de mon amour obscurcissant mes pensée autant que me les révèlants, tout en laissant sur ma langue un délicieux gout de nuits passées.

C'était lui qui avait fait le dernier bout de chemin et qui nous avait sortit des sous sols. Mais je ne trouvait plus la force de me redresser pour continuer. Je n'vais même pas la force de me redresser pour croiser son regard.

**

Il faisait froid, terriblement froid, je frissonnais silencieusement, se froid s'insinuant en moi tel la mort. Mais combien de temps prendrait elle encore pour venir. Je sentait dans ma paume celle de mon amour, il n'y avait que lui pour avoir cette peau si douce. Mais il faisait froid, un froid aiguillonant qui m'obligeais à froncer les sourcils, à plisser les levres, à cerhcer un peut de chaleur ou il n'y en avait pas.

La nuit, toujours la nuit, mais la ou se trouvaient des lumière la derniere foisne se trouvait plus que des gouttes d'eau qui doucement envahissait le ciels avant d'envahir la terre.

...

Je marchaits dans les rues, inconscient du danger, le torse nus et trempé, de nombreuse plaie apparente et saignants d'un fin filet rougeatre. Vaen appuyé sur mon épaule, je n'vait trouvé la froce de le prendre sur mon dos, je me serait écrouler sous le poid.

Je marchait, tremblant de tout mon corps, les levres bleuie le visage certainement aussi pâle que celui de n'importe quel vampire.

- Mikael ?

Je manqua de le heurter, levant le regard vers lui, je ne pus le reconnaitre, mais ça voix m'avait un jour été familière, un de ces nombreuse indic que je fréquentait a une certaine époque à Modernis, alors que je travaillait déja contre l'ex gouvernuer aux ordre de mon chère et tendre.

Ce fut la dernière chose que je perçus de cette nuit là.

******

Le vent se mis a souffler, apportant dans la tante ou nous reposions un peut de fraicheur et malgré les drap qui me recouvrait je me mis a trembler a nouveau. Pourtant, rien n'aurait pus me retenir de rejoindre mon amant, je ne me risqua pas a me lever, a quoi bon, nos couche n'était séparé que de quelques metre. Je rampa jusqu'a lui, me blotissant a ses coté avant de caresser son visage du bout des doigts.

un sourire beat flotta sur mes lèvres quand la fraîcheur de la nuit vint froisser les drap sous lequel j'étais entendus. La brise apporta avec elle l'odeur de mon aimé , et peut être même réussit elle a l'emmener lui même a mes coté , car je sentit sa chaleur , et la douceur de ses mains , quand il toucha ma joue avec une caresse plus douce que le battement d'un papillon .
J'étais bien , heureux, et me sentais enveloppé d'un romantisme mièvre. Mais cela n'aurais pas pu mieux tomber .
-Bonsoir Mon amour .
***
Je tombais a genoux sans m'en rendre compte, le défilement du paysage qui m'approchais du sol fut zappé et je ne ressentit du choc que la souffrance en elle même . Comment aurais je pu faire autrement, alors que mon esprit semblais seulement connecté a mes terminaisons nerveuses , comme pour me torturer un peu plus a chaque douleur.
Par intermittences j’étais arrivé a garder les yeux ouverts , un esprit assez lucide pour comprendre ou j’étais . A vrais dire , j’étais conscient, le sang qui me restais irriguais mon cerveau mais point les autres membres de ma personne. C’étais donc compréhensible que mes pas se fassent trébuchant , puisque mes yeux ne voyais point les quelques pierres heurté par les doigts de mes pieds .
A bien y penser , je ne sais si cette situation étais bénéfique puisque j’arrivais a comprendre ce que je faisais ou au contraire cauchemardesque puisque j’arrivais a distinguer a moindre douleur .

Je n’avais pas eu la présence d’esprit de me demandais ce qui me permettais de marcher , ou et comment . je marchais juste , bercé par une odeur agréable qui venais me distraire de cette souffrance. Je savais juste que la peau que je touchais étais celle de mon aimé , et puisque je marchais encore , cela voulais dire qu’il m’accompagnais la ou j’allais . Peut m’importais la destination , vu qu’il serais la, s’il se passais quelque chose , on aviseras… Une force surhumaine naitra en moi ou en lui , il y auras toujours l’un de nous deux pour défendre l’autre , ou sinon … On mourras ensemble .
Quel belle fin .
Certains instant , je pus garder les yeux assez ouvert pour voir des flash de lumière, entendre le sons de pas dans une flaque d’eau, ou sur du béton , humer les relent de sang de rats , ou de détritus humains , rien d’assez fort pour que j’arrive a me localiser , ou peut être pas assez de forces pour le faire .
Puis plus rien .
Jusqu’à mon réveil … quelques heures auparavant .
JE n’avais alors cessé de me remémorer ce qui m’avais amené ici .
Ou ici ?
Sous ce qui semblais être une tante , étendus a même le sol , sur une couchette en plumes … Fine mais assez touffue pour m’isoler de la froideur des sols . Cette constatation me fit plaisir , car je savais les hybrides aussi sensibles que les humains , et le miens étais d’après l’odeur a quelques mètre de la .
La parfum que je sentais m’étais inconnus , il me rappelais furtivement Gabriel , et je sus très vite la raison . Non pas qu’il soit dans les parages … mais les émanations qui me chatouillaient les narines étaient celles de fleures au senteurs plus étrange qu’a l’ordinaire . Fouillant dans ma mémoire , je distinguais la présences d’arnica, d’Euphrasia minima … c’est avec une grimace que je me rendis compte que les quelques conversations que j’eu avec le catin du roi étais encore dans mon esprit.
Gothika me manquais .

-Bonsoir Mon amour

Je le regarda avec douceur, mes doigts, comme suspendu a quelques centimètre de sa nuque. Un sourire flottait sur mes lèvres, comme sur les siennes. Nous étions en vie et ensemble, quarais je pus espérer de plus ? Rien me semblait-il. Et non, je n'espérais rien de plus. J'étais dans un état d'épuisement total et pourtant je me sentais étrangement bien. Un peut comme après une longue maladie suivis d'une convalescence, lorsque le corps se remet doucement et ne vous permet pas encore de reprendre votre existence. Il y a parfois des moment perdu ainsi, ou le simple fait de voire les étoiles ou de sentir le doux souffle du vents sur votre peau peux vous faire savoir que l'existence est merveilleuse.

- Bonsoir mon Ange,

Je ne pouvais détacher mon regard de son visage, je n'en avait d'ailleurs aucune envie, pourquoi me serais je empêcher de m'offrir ce plaisir. Mes doigts se rappropriaient sa nuque que je caressait avec douceur du bout des doigts suivant les lignes épuré de son cou.

Un souffle de vent vint jouer avec la toile de la tante que nous occupions, faisant battre les battant alors qu'un souffle nocturne s'engouffrait dans notre cocon. L'espace était assez confortable bien que simplicime, des tapis recouvrait le sol, l'isolant de la fraicheur de la terre tout en permettant un certain confort. Un baquet d'eau reposait dans un coin, a coté duquel se trouvait des bandages propres et quelques bols contenant des plantes séchées. Je connaissait inconsciemment ce style de logement précaire, ayant fait partie d'un groupe de Traders durant quelques année et en ayant fréquenter par la suite. Mais mon esprit n'était pas à ce genre de préoccupation. Non, il était plutôt apaiser et concentré sur celui qui reposait à mes cotés.

Mon regard d'un bleu océan se perdit un instant sur le dessin de ses lèvres, dessin attrayant. Je souris d'avantage avant de laisser mon regard descendre doucement sur son torse, j'avais doucement fait descendre la couverture qui me dissimulait son torse. Laissant mes doigts doucement toucher le bandage qui recouvrait sa peau d'ordinaire pâle.

Je le regarda avec une certaine interrogation mêlé de crainte. Je ne l'avais peut être vu qu'une fois porter ce genre de pansement. Il était effectivement rare que les vampires aient besoin de cela et il était peut être encore plus rare que mon Amant mette ce genre de fioriture, même si en avait besoin.

Je ne lui demanda son avis avant de retirer avec précaution le bandage qui barrait son torse. Il était mien et personne d'autre que moi ne le guérirait mieux. Et même si je savait ces pensées peut véridicites, j'en était pourtant convaincu. l n'avait besoin que de moi et je n'avais besoin que de lui- dans une certaine mesure, mais soit -

- Souffres tu encore ?

Je posais un baiser à la naissance de ses clavicules avant de m'étendre a nouveau sur les couvertures. Je n'en aurais rien montré, mais ces simples gestes m'épuisait plus que je ne l'aurais désiré. Je termina ainsi de lui ôter son bandage.

- Souffres tu encore ?
Il avait prononcé ces quelques mots avec un souffle saccadé .
-Non
Répondis-je… ou pas.
J’avais encore les yeux fermé savourant tout ce qui m’entourais , un bien être éphémère mais que je me plaisais a délecter.
C’était si rare, que c’en était presque dérangeant. Petit a petit je percevais les senteurs environnante plus précisément que d’habitude, il y avait des hommes a l’extérieurs… des vampires mâles , quelques femelles aussi , peut être une demi-douzaine … , une odeur agréable , d’autres beaucoup moins Le vent soufflais par intermittences, quelque peu violent des fois , puis plus doux , une brise fraiche … serions-nous en hauteur ?
Les sons aussi me parvenaient amplifié, ceux des pas discret de quelques biches egaré , l’agitation des vampires dehors étais minimum, a croire … qu’il dormaient ou se reposaient …
Seul la respiration et les battement de cœur de mon Mikael prouvaient une quelconque présence vivante dans les parages … hormis les faons ou autre animaux de compagnie.
Cela paraissais un bon prétexte pour ouvrir les yeux … a part que mes yeux ne voulurent pas s’ouvrir . ou plutôt … il étaient ouvert mais je ne voyais qu’un voile noir … voyais je encore ?
Je n’en savais la raison mais malgré cette cécité plus que flagrante, je n’arrivais a réagir plus que ça … je n’avais aucun sentiment de ceux que j’aurais du ressentir : Pas de peur, de rage , de colère, et même étant impuissant pas de honte , ni de panique… A bien y repenser, me retrouver quelques part avec des vampires dans les parages n’étais pas pour me rassurer cependant mon cœur continuais a battre normalement, diffusant dans mes veines du sang qui m’irriguais tout le corps, mes extrémité nerveuses me faisais ressentir les caresses de mon amant mais mon cerveau refusait de traiter une autre information que ce soit …

-Vous êtes réveillé a ce que je vois .
C’étais une voix feminine , mais la non plus pas de réponse habituelle, mon poil ne se herissa pas, et mes poings restérent ouvert , paume sur mon torse , l’autre sous le flan de Mikaël … Elle continua sur cette même voix douce et mielleuse qui aurais du me répugner .
-Oh pardonnez moi …
Qu’aurions nous a lui pardonner ? et que m’arrivait il pourquoi je ne répondais rien ?
-… je dois vraiment l’examiner !
Examiner qui ?
Mes cordes vocales refusèrent de vibrer et aucun son ne sortit d’entre mes lèvres.
Il y eu quelque remue ménage sous la tente, en me concentrant j’arriver a visualiser assez ce qui m’entourais .

Une jeune femme d’environs une vingtaine d’année, un métre soixant dix, une allure elancé, et un corps fin s’étais accroupis sous le tissus de la tente , ses cheveux étaient attaché avec un ruban a la base du crâne, et ses prunelles bleu brillaient d’une douce intelligeance. On ne pouvais prétendre a sa beauté , elle ne l’étais point , la bouche large , le nez arqué, les yeux trop proches, et le visage rond … Cependant , une auras de bienveillance l’entourais , a croire que tout ce qui la caractérisais étais dans sa personne non sa personne .
Elle tenais dans ses mains un bol sculpté a même le bois contenant une mixture brune a grumeau vert, une sorte de pâte a l’odeur ecoeurante. Elle portais une robe longue , rouge sombre, et a la ceinture qui lui barrais la taillé étais attaché quelques bources en tissus d’où émanaient des fragrances bizarre ….
Elle eu un sourir qui illumina ses yeux , n’eu l’air ni choqué , ni géné d’entrer sur deux jeune hommes dans la même couche.
-Il a subis beaucoup de dommages, j’ai bien cru que je ne pourrais pas le ranimé, cependant les vampires sont connus pour être coriaces
Sa voix étais douce, continuant de parler en s’affairant , a appliqué cet angon sur les yeux maintenat fermé par ses soin d’un Thanatos toujours étendus …
-Les hybrides de Modernis sont les pires
Commenta elle en passant a l’étal de cette même créme en dessous des bandages de vaën
-… Il aiment faire souffrir les gens de notre espéce , en leurs infligeant les pires sevices …
D’un geste vif elle sortit de sa bourse une poudre argenté qu’elle dilua dans l’eau que contenais l’un des recipiant metalique a coté de la couche du malade …. Cette fois elle s’assit a ses coté , lui releva la tête et le fit boir , en continuant ses paroles .
-… Votre ami a été empoisonné pour que ses cellules cessent de se régénérer , il l’ont éxposé a la chaleur non ?
Elle n’attendis pas de reponse , il semblais qu’elle n’en avais pas besoin.
-… c’est une de leurs methodes favorites , j’ai reussis a extraire la balle qu’il avais au torse , cependant avec toute ce sang perdus il n’arriveras pas a reprendre force de suite … Alors je lui ai fait boir de mon breuvage miracle …
Elle semblais entretenir une conversation amicale , parlant de ses prouesses avec une connaissances …
-… Il ne sent plus rien de mal… ni la douleur, ni la frayeur, colére ou autre , cette partie de son cerveau est endormis a present ….
Elle remis le verre par terre , puis pris un bandage noir qu’elle mis sur les yeux de vaën.
-… Voila ! je reviendrais le voir plus tard
Dit elle s’appretant a partir

Je m'étais à nouveau allongé a ses cotés, fermant les yeux quelques instant, attendant sa réponse tout en savourant le calme qui nous entourait. Calme étrange, bienfaiteur, comme si la douleur en était apaisée. Je ne désirais pourtant laissé à ma conscience le loisir d'explorer les dégâts corporel qui m'avait été infligé. Les bandages qui entourait mon torse étaient légèrement taché de sang, mais aussi d'un onguent dont je pouvait percevoir les bienfaits, mes plaies ne me brulaient plus et la douleur en était atténuée.

Je rouvris les paupières, me tournant vers mon amant sans pour autant cesser de caresser sa peau si douce et si fraiche, elle m'avait tant manqué. Il m'avait tant manqué.

Je restait perplexe devant l'expression de son visage et tel un fantôme aux intentions félonne, l'angoisse me saisi. Pas de réponse, pas de réaction...Du moins, pas le genre de réaction qui était propre à mon amant.
Je tentais déjà de me raisonner avant de craindre quoi que ce soit avant de jeter un coup d'œil vers l'entrée de la tante, des pas approchaient.

-Vous êtes réveillé a ce que je vois .

Je n'émis le moindre son a cette remarque, ni a celle qui suivi d'ailleurs, me bornant a tenté de garder une expression neutre qui ne donnerais pas l'impression a mon hôte que je ressentait une vive animosité a son égard. Animosité, non pas parce qu'elle était une femme, mais parce qu'elle semblait être notre "infirmière" et que cela stipulait bien évidemment qu'elle avait du prendre soin de nous. Je détestais me sentir redevable, mais je détestait encore plus me sentir impuissant vis a vis de quiconque, sauf évidemment par apport a celui qui reposait a mes coté et dont le manque de réaction m'inquiétait de plus en plus. Il restait paisible alors que d'ordinaire, il ne l'aurait été.

-… je dois vraiment l’examiner !

Je la dévisageais cette fois avec insistance, mon regard ayant viré à un bleu nocturne. Elle n'était aps ce genre de femme auquels certains homme aurait tout donné pour seulement pouvoir l'enlacer. Mais je devais avoué qu'il émanait de sa personne quelques chose de positif et de rassurant...Du moins qui se voulait rassurant.

Je finis par légèrement hoché la tête - même si mon accord ne lui était nullement nécessaire et qu'elle s'en serait certainement bien passé - mais ne lui laissa pas ma place pour autant et elle fit le tour sous mon regard attentif. Non, je ne lui faisait pas confiance, je ne faisait d'ailleurs confiance à personne.

Je jetais un regard inquisiteur sur le bol qu'elle tenait, mais la seul chose que je pus en tirer est le fait que ce breuvage semblait pour le moins écœurant, il y flottait quelques plantes dont je ne pus identifier que la bardane qui était reconnue pour ses vertus calmantes.

-Il a subis beaucoup de dommages, j’ai bien cru que je ne pourrais pas le ranimé, cependant les vampires sont connus pour être coriaces

Ces paroles me firent un tels chocs que je resta sans réaction, mes doigts qui jusque là se perdaient sur les lignes de la paumes de mon bien aimé, cessèrent toute caresse. Une corde semblait enserrer ma gorge au point de m'empêcher de respirer.
Bien sure je n'étais pas stupide, je savait qu'on était passé très prêt de la mort cette fois et qu'on avait eu beaucoup de chance de s'en tirer. A vrai dire, je n'avais pas encore eu le temps d'y réfléchir et n'aurais pas désirer y réfléchir tout de suite, profitant plutôt du calme et de ma faiblesse pour rester tranquillement allongé au coté de mon vampire.

Entendre une autre faire une tel révélation, m'expliquer que Thanatos Vaen von Nyx avait failli mourir, sans montrer plus d'émotion que cela m'était aussi pénible a supporter que le morceau de métal qui s'était enfoncé dans ma poitrine et que j'avais dus supporter jusqu'à mon arrivée en ce lieu.

La torture qu'elle me réservait par la suite n'était pas plus agréable. Encore suffoqué par ces mots, je la regardait impuissant passé ses mains sur le corps de mon amour. J'entendis mes propre dents grincer l'une sur l'autre alors que je tentais de me convaincre qu'elle était médecins et qu'elle était plus utile à mon chère Vaen que moi même.

-Les hybrides de Modernis sont les pires… Il aiment faire souffrir les gens de notre espéce , en leurs infligeant les pires sevices …

Je ravala ma rage afin de lui répondre d'un ton glacial que je m'employais pourtant a rendre neutre sans beaucoups de résultat.

- Ce n'était pas un hybride...Le seul hybride de Modernis qui l'ai accompagné c'était moi..

Ma voix me paraissait faible mais colérique. Je détestais les jugement préconçus, que désirait elle me faire comprendre en prenant en exemple les hybrides...
Je détournait le regard alors qu'elle portait un liquide aux lèvres de mon amour. Ne m'étais je pas promis...Non, je voulais juste être le seul dont il ai pus avoir besoin, je me rendais bien compte a présent de ma vanité. J'aurais dus être reconnaissant, j'aurais dus être heureux...Je n'y parvenais pas.

-… Votre ami a été empoisonné pour que ses cellules cessent de se régénérer , il l’ont éxposé a la chaleur non ?

Je n'eus même pas besoin d'acquiescer, la demoiselle semblait poser la question par simple plaisir d'y répondre par elle même.

-… c’est une de leurs méthodes favorites , j’ai réussis a extraire la balle qu’il avais au torse , cependant avec toute ce sang perdus il n’arriveras pas a reprendre force de suite … Alors je lui ai fait boir de mon breuvage miracle …

Prenait-elle aussi plaisir a énoncer les douleurs qu'il avait subit ?

-… Il ne sent plus rien de mal… ni la douleur, ni la frayeur, colère ou autre , cette partie de son cerveau est endormis a présent …voila ! je reviendrais le voir plus tard

Je resta quelques seconde silencieux avant de parvenir à me sentir capable de parler sans hurler.

- Merci,

Je tournais le dos à la demoiselle à présent et avant même d'entendre ces pas disparaitre hors de la tante, je sentit une larme ruisseler sur ma joue. Je ferma doucement les yeux, tentant de me calmer, de me rassurer et parvins a remettre tout cela a plus tard.

Je me pencha vers Vaen, glissa ma main dans la sienne et l'embrassait avec douceur. J'avais besoin de son parfum sur mes lèvres, j'avais besoin de sentir qu'il était là, j'avais besoin de me rassurer - et me fichais pas mal de savoir si la demoiselle vampire était encore la ou non.