Vampires, vampires, vampires_Addiction
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 La fiévre du samedi soir [Fever ]

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Thanatos Vaën Von Nyx
Comte déchu
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Thanatos Vaën Von Nyx

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MessageSujet: La fiévre du samedi soir [Fever ]   La fiévre du samedi soir [Fever ] EmptyLun 31 Jan - 1:00:45

Oh que oui ça faisait du bien .. de se retrouver chez sois .
Gothika. Mon Pays !
Respirer une odeur de pluie, de froid et de sang. Sentir la fraicheur de la journée, le vent soufflant fort derrière moi . Me poussant presque vers cette ville qui m’avait manqué.. Quel Bonheur !
Les rayons du soleil de cette satané Modernis semblaient ne pas sortir des portes de la ville. Puisqu’ici les nuages bas formaient un rempart contre la lumière aveuglante de cet astre qui irritais mes yeux .

Les sous sols d’où je venais d’émerger, sentaient la pourriture, mais jamais telle puanteur ne m’avait parus plus exaltante, et c’est en remerciant mon satané grand père –qu’il brule en enfer- d’avoir fait tant de recherches sur ma ville, et de m’avoir légué malgré lui les plan des passages secret Gothikiens que je m’étais engagé dans les entrailles de Modernis a coté d’une grande épicerie proche du Rampart de la ville.
Je me trouvais dans l’arrière cour d’une demeure de la noblesse … D’après le papier que je tenais entre les mains c’était celle des … Von Tease… Il ya 200 ans.
L’espérance de vie des vampire étant très grande et la noblesse très attaché a l’héritage, c’était certainement encore le cas pour l’instant. Et tout en contournant un arbre centenaire qui me cachait la vue sur ce château, je repensais au seul Von Tease de ma connaissance. Lucius .
100 ans plus tôt, quand l’envie me prenais de me déplacer en personne pour m’occuper de … Financer le pouvoir .. Il m’arrivait d’assister a quelques fêtes, des soirées , des bals …autant dire un rassemblement de Vampires pédant, de notre famille royale , et de quelques humains servant de garde mangé ou de servante … Je n’appréciais point ces soirée. Non pas a cause des regards qu’on me lançais. On me voyait comme un bâtard lâche et chanceux, mais aussi comme un partit convenable pour la nuit, pour une coucherie, et pour sa petite fille. Cette image qu’on avait de moi et que j’entretenais, me faisais plaisir, car voila on ne savais de moi que ce que je voulais bien jouer .
Non ce n’est pas ces regards que je n’appréciais pas. Mais plutôt l’ennuie qui après plus de 80 ans s’était installé dans la monotonie : Avant chaque sauterie je me lavais, revêtais mes vêtement au couleurs sombre, collet monté sans être prétentieux, sortais de ma demeure me dirigeant vers l’adresse indiqué dans la carte que je recevais en empruntant les ruelles plutôt que les toits comme je l’affectais, Jusqu’à trouver une proie, que je vidais de son sang en faisant jouir accessoirement. Boire des nuques offertes dans le bal? Jamais ! Qui sais quel autre vampire a déjà perforé cette pathétique bête. Repus et rassasié je reprenais mon chemin , les bourses pleines .. d’or. Pour rassasié une toute autre envie : Celle du pouvoir.

Ce manoir ne me sembla pas familier maintenant que j’en voyais la façade. Marius n’était pas connus pour ses orgies organisé non. Il était plutôt connus pour sa droiture, et les rares fois que je l’ai entre aperçus dans la cour, il parlais au âgé de la société. Ceux qui ne voulaient pas d’un jeunot tel que moi dans leurs discussions, mais que je savais contrôler grâce a mon argent et généreuses donations.

Ce que je faisais ici ? Eh bien je devais revenir a mon château . Quelques uns de mes plus fervent serveurs s’y trouvaient … Mon armé . Alexiel a qui je devais donner quelques nouvelles . Et quelques paperasse a prendre.

J’avais presque fini de me faufiler entre les stèles de marbre… ou alors était ce des pots de fleurs… que le vent changea de direction . Apportant avec lui une odeur … intéressante… et le son de quelques pas s’approchant. Devrais-je commettre une tuerie pour passer inaperçus ? je devrais me rappeler que les vampires n’étaient pas aussi prévisible que les humains que j’avais laissé, leurs parfum plus difficile a distinguer, et leurs pas plus agile.
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MessageSujet: Re: La fiévre du samedi soir [Fever ]   La fiévre du samedi soir [Fever ] EmptyJeu 10 Fév - 1:41:56

[Voilà mon Vaën, pardon pour le retard j'espère que ça te plaira et que j'ai pas fait trop long >< ♥ ]

Tap.Tap.Tap.

Bordel.

Tap.Tap.Tap.

• « Oui ? »

Plus qu'une question, c'était un ordre que je formulai. Un ordre à entrer pour affronter ma colère d'être réveillé alors que la lumière du jour n'avait même pas encore atteint les franges du tapis au pied de mon lit. Mon bras vint couvrir mes yeux que je n'avais pas besoin d'ouvrir pour reconnaître la personne qui venait d'entrouvrir la porte de ma chambre pour s'y glisser à pas hésitants. Une légère odeur de sueur et de savon bon marché me parvint, accompagnée par celle de la cendre de la cheminée du Grand Salon en bas de l'escalier et je pus alors dire sans un doute que c'était le jeune Francisco qui se tenait anxieusement devant le seuil.

Un sourire amusé aux lèvres, je laissai planer un long silence, attendant de voir s'il allait oser s'adresser à moi sans que je l'y invite.

« Je...Maître... » murmura-t-il d'une petite voix.

• « Hum ? »

« C'est...Le matin... »

Je perçus un froissement de tissu et je pus clairement l'imaginer en train de tordre entre ses doigts noueux un pan de son tablier défraîchi. Je me redressai en position assise dans le lit et repoussai le drap en soie qui avait épousé les formes de mon corps, particulièrement celle de mon érection matinale. Je me levai et m'étirai longuement avant de planter mon regard sur le jeune humain qui se refusait à regarder en direction de mon corps nu. Tellement naïf et innocent. J'aurais pu le croquer en une seconde. Mais il s'occupait bien de la cheminée et ça devenait de plus en plus difficile de trouver de bons serviteurs de nos jours. Surtout depuis que Gothik City n'est était plus la même.

Je passai tout près de lui au moment de quitter la pièce et le rythme effréné des battements de son coeur accompagna mes pas comme une mélodie. Je me rendis dans la salle de bains et commençai à me faire couler un long bain chaud avant d'inspecter mon reflet dans le grand miroir ancré au mur. Tsss...Cette catin blonde avait essayé de me marquer hier soir. Il est vrai que j'ai passé un agréable moment entre ses cuisses fermes et souples mais qu'il ne s'imagine pas une seconde que je lui appartiens. Je grognai légèrement en voyant une petite marque rouge sur ma jugulaire et je l'effaçai avec un peu de salive déposée sur mon doigt.

Je posai mes mains à plat sur mes joues et fermai les yeux en sentant la chaleur de ma propre peau sur mes doigts. Une chaleur si différente des corps de glace que j'étreignais chaque nuit. Une chaleur qui me dévorait et inscrivait sur mes traits la seule et même chose : « J'ai faim. » Toujours. Une faim que rien ne peut apaiser. Une faim qui naît au coeur des entrailles et se répand dans tout le corps. Notamment dans mon bas-ventre.

Je me détournai du miroir et plongeai dans l'eau chaude dans laquelle je me prélassais pendant quelques longues minutes avant d'en sortir et de revenir dans mes appartements. Une longue traînée humide retraçait ma route mais je n'y pris pas garde et me séchai à l'aide d'une serviette propre posée sur mon lit qui venait tout juste d'être refait. Je me dirigeai alors vers ma penderie dans laquelle je pris un pantalon noir coupé parfaitement ainsi qu'une chemise en soie rouge près du corps dont je repliais élégamment les manches jusqu'à mes coudes. Une écharpe et un long manteau noirs vinrent compléter ma tenue et je me penchai pour enfiler mes bottes noires à l'intérieur desquelles je dissimulai quelques armes blanches.
On n'est jamais assez prudent. Un Fever averti vaut bien tous les vampires de cette ville.

Mes pas résonnaient à peine dans le couloir tandis que je me dirigeais vers la porte d'entrée, jetant de brefs regard aux anciennes tapisseries qui recouvraient en grande partie les murs de ma vieille demeure. Je n'y revenais que pour dormir, elle était trop déserte et silencieuse à mon goût. Et j'avais surtout l'impression de voir, dans chacune des pièces, le souvenir de mon père me narguer de ses crocs encore humides de mon sang.

J'ouvrai en grand les portes principales et le vent glacé vint immédiatement ébouriffer mes cheveux mouillés et traverser mes vêtements qui l'accueillaient volontiers. Même cet air quasiment polaire ne parvenait pas à me donner froid. Il glissait sur ma peau, la faisait frissonner pendant un bref instant et repartait, vaincu par ma Chaleur, ma Fièvre.
Glissant mes mains dans mes poches, je fis quelques pas à travers le petit jardin, entre les stèles de marbre dans lesquelles étaient sculptées des plantes voluptueuses mais imaginaires. Un bruit presque imperceptible me parvint et je m'immobilisai, l'oreille aux aguets.

Personne ne venait jamais ici et si cela avait été un humain, j'aurais senti son odeur et ses pas bruyants sans aucune difficulté. Mais la présence intruse était plus...Subtile. Je jetai un regard circulaire autour du jardin et il n'y avait qu'un seul coin dissimulé à ma vue par quelques plantes grimpantes. Je contournai le jardin à pas lents, scrutant et écoutant le moindre témoignage sur l'identité de l'intrus.
Je surgis alors brusquement entre les stèles, le regard braqué sur l'inconnu et les bras levés pour me défendre contre toute attaque éventuelle. Je fus légèrement déstabilisé quand mon regard se posa sur une silhouette qui ne m'était pas inconnue mais que je n'avais pas revue depuis de nombreuses années. « Le Fuyard, le Déserteur », voilà la façon dont on le nommait à la Cour. Mais je me souviens qu'il avait un nom.

Thanatos Vaën Von Nyx.

Je dissimulai mon léger trouble et pris un air neutre quoiqu'un peu irrité :

• « Qu'est-ce que vous faites ici ?»

J'esquissai un petit sourire amusé et reculai d'un pas pour maintenir ma garde. Il était bien plus expérimenté et puissant que moi, il valait mieux rester prudent.

• « Vous avez retrouvé le chemin vers Gothic City à travers mon jardin ? »

Une mèche humide s'attarda sur mon oeil et je la repoussai distraitement pour ne pas le lâcher des yeux une seconde. La moindre inattention pourrait m'être fatale. Et puis...Il était toujours aussi beau. Ce n'est pas le moment de penser à ça, Fever!
Ma méfiance guide mes gestes mais mon esprit lui me ramène à ses soirées durant lesquelles je guettais ses déplacements, espérant pouvoir l'aborder seul. Eh bien nous y voilà, seul à seul, mais pas dans les conditions idéales.
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MessageSujet: Re: La fiévre du samedi soir [Fever ]   La fiévre du samedi soir [Fever ] EmptyVen 25 Fév - 22:18:49

Entrer dans ce jardin n'était finalement pas une si bonne idée... Mais soit . Maintenant que j'y étais, autant en tirer le plus de profit possible .

La fragrance que je sentait n'était vraiment pas celle d'un humain. Je la humais a plein poumons, distinguant le parfum de pureté , de propreté de ... noblesse.
Oui Oui de noblesse !
Dans mon rang, avec mon expérience, et surtout ma paranoïa teinté de prudence, j'avais appris à différencier grâce a l'odorat, la Classe sociale , en plus de la race, et du sexe .
C'est assez simple au fond : Un esclave des bas fonds, mal entretenus , sent le sang acre, la terre, la sueur.... alors qu'un aubergiste sens en plus de tout ça l'alcool bon marché . Un bourgeois sentirais fort le propre , quelques effluves artificiels aussi ... Mais les nobles ...
Les ayant beaucoup fréquenté, je m'y connaissais : Cet hautaine distinction était perceptible même a mon organe olfactif. L'odeur de la virilité masculine musqué d'un vampire au sang bleu me chatouillais les narines . Avant qu'il n'apparaisse devant moi.
Hum . Le frisson qui me parcouru ne laissa pas de doute , mais il était assez imperceptible pour que même le nouveau venus ne s’aperçoive de mon … trouble . Il y a bien quelques décennies que plus personne a part mon Mika ne m’avait autant paru intéressant. Mais certainement pas pour les mêmes raisons …
Dans ses yeux clairs, une insolence bien trop familière. Une allure arrogante. Des habits aussi décontracté qu’onéreux. La commissure de ses lèvres marqua un plis narquois… Du moins c’est ce que je croyais, avant que je ne remarque ses mains relevé en position défensive. Oh oui j’oubliais … j’étais sur une propriétés privé.
• « Qu'est-ce que vous faites ici ?»
Sa voix était profonde , Virile … Qu’étais je entrain de faire ? était ce mon retour a la vie Gothikienne qui me faisais bonder , et mon esprit quelque peu pragmatique qui rapportait ça sur le premier être rencontré ? Le premier vampire … Diablement séduisant certe … J’avais presque l’impression de me regarder , plus jeune , dans un lointains souvenir.
• « Vous avez retrouvé le chemin vers Gothic City à travers mon jardin ? »
Son sourire se fit carnassier. C’est alors en passant ma langue sur mes lèvres que je lui répondis
• « Votre jardin ? »
Remarquant son recul , j’approchais d’un pas , affin que la distance qui nous séparait ne soit jamais augmenté.
• « Si mes souvenir sont encore bon , cette ville est encore mienne .»
Je passais mes doigts dans mes cheveux en voyant les siens mouillé batailler sur son front , puis remis mes mains dans les poches de ce « jean » Modernisien . Je l’avais pris avec le pull qui allait avec, noir, simple , dans une boutique appartenant a mon dernier repas . Et si ce n’est les quelques taches de boue qui le maculais, rien n’entachais mon accoutrement …
Quel bonheur que de revenir chez sois !
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