Vendredi soir, la pluie ayant cesser de tombé avec détermination sur les pelouse détrempée. Quelques goutes s'accrocahit au feuillage des grand chêne qui bordait le cimetière. Les sépultures toute identiques semblait s'élancer vers les cieux dans le vague espoir d'attirer le regard des cieux vers leurs stele de marbre noir.

Le soleil, lueur atténué derrière les nuage de pluie, s'évertuait à donner un peut d'espoir a ce morne spectacle. Mais cette tentative échouait, tel les rayon du soleil qui allongeait les ombres jusqu'à ce qu'elle se touche pour ne former que l'obscurité naissante de la nuit.

Le silence reconquérait à présent les lieux, les chagrins se perdait dans les fissure de pierre, tel des orvets disparaissant dans la nuit, ne laissant derrière eux que de pâle souvenir que personne ne viendrait plus recueillir. Les fleurs mourante perdaient leurs pétale alors que tel les morts eux même, elle reposait sur les écrins de pierres.
Le temps n'avait plus court, ici ou les mort étaient changé en statue de pierre. Angelots de marbres sculpté d'une main qui avait cesser d'être pour devenir poussière.

Le Funambule s'avançait, ombre parmi les tombes. Son pied se glissant sur l'herbe humide pour un pas de plus vers la nuit qui approchait. Silencieux, deux grelot d'argent rythmait son avancée funèbre, pareil à l'onde de la pluie, les échos cristallin se répercutait dans le silence de pierres.
Bottes hautes d'un brun terreux auquel riait tel deux enfants les grelot d'argent, chemise d'un blanc ivoire devenu d'une transparence fantomatique sur un torse d'une pâleur lunaire. Pantalon d'un rouge carmin et ceinture noir de flanelle qui lui enserrait la taille.

Azrael gardait le regard perdu dans l'obscurité, regard d'un noir de geais dont les pupilles semblaient absente ou perdue dans cette même obscurité. Pas de haut de forme, juste une chevelure de nuit retenue en une tresse légèrement défaite, quelques méchés indisciplinée revenait sur le font de l'hybride, comme pour en accentuer le contraste.

Le son cristallin cessa alors qu'Azrael s'arrêtait pour lever les yeux vers le sommet d'un hêtre, des corbeau se mirent à croasser avant de s'envoler dans une gerbe de gouttelette cristalline. Les volatile firent deux fois le tour du cimetière avant de prendre place devant une tombe, tel un conciliabule de monarche devant une tablée.

Azrael prêta un coup d'œil distrait à un volatil aux plumage nocturne qui utilisait une épaule en guise de taxis. Volatil et épaule continuèrent leurs chemin alors que l'hybride étudiait avec amusement le parfum quelques peut familier qui lui restait dans les narines.

Il paraîtrait que l'odorat soit celui de nos cinq sens dont nous gardons le plus longtemps des souvenirs. Ho pas qu'un individu surmonter d'un chapeau aux couleurs hémoglobine et à la démarche dansante ne se soit gravé dans les souvenirs encombré de Faust. Non, loin de là, ce n'était pas tout les siècles qu'il avait eu l'occasion de rencontrer un confrère si perfectionné dans son Art.

Mais Faust n'était pas vraiment présent actuellement, bien sure, il était là. Ils étaient tout les deux là, mais la partie de la personnalité d'Azrael était actuellement plus présente.

Ce fut peut être la raison pour laquelle il se retourna avec un léger sourire aux lèvres lorsqu'une main se posa sur son épaule. Sourire distant mais qui n'avait rien de hautain ou de féroce, peut être un peut d'interrogation pouvait tout de même se lire dans ce regard nocturne. Azrael n'était pas un être habitué au contacte, Faust l'était d'avantage, même si les contactes n'étaient pas toujours très vivant.

-Très cher Azrael… Je ne me trompe pas c'est bien vous n'est-ce pas?

Azrael posa un doigt contre ses propres lèvre, mais pas un instant il ne sembla se demander qui était son interlocuteur. Peut être était il trop occuper a vérifier - au toucher- sa propre personne et donc sa propre identité. Ce ne fut donc qu'après que son doigt aie glissé sur son menton qu'il répondis d'une voix douce par l'affirmation, dans un " C'est bien moi " des plus simpliste.

-Oh Azrael, que je suis heureux de vous voir! Mais que faites-vous ici?

Un léger sourire se dessina avec un rien de timidité alors que le visage d'une pâleur fantomatique recelait d'une bonté que l'on aurait pus croire visible sur le visage de cet hybride.

- Je me promène, j'aime bien... cet endroit.

L'hybride parcouru les rangées de tombe du regard comme un propriétaire terrien aurait regarder ses plantations. Les iris d'un noir profond revinrent bientôt au vampire.

- Mais vous...Mon ami, vos pas vous aurait il égaré si loin de l'animation d'un cœur qui trépide de ses derniers battements ?

Arael était contant d'avoir retrouver le souvenir de Chapeau carmin, l'esprit de Faust gardait parfois les informations rien que pour lui, comme si l'un et l'autre avaient en plus de leurs façon de faire et de penser, leurs propres souvenirs.

Les doigts de l'hybride jouèrent avec les mèches de cheveux doré qui s'échappait de sous le chapeau. Azrael semblait intéressé par leurs couleurs, intéressé était d'ailleurs un euphémisme. Et tout à les caresser il finis par mettre un bout de mèche entre ses lèvres. Conclusion, ça n'avait qu'un parfum agréable, mais le gout était franchement mdiocre.

Azrael suivi le regard de son vis à vis, ses pupilles sombres se posèrent donc sur un amoncellement de pierres juchée l'une sur les autres de manière suffisamment logique pour tenir dans un équilibre qui semblait déraisonnable mais pourtant durable.

Azrael semblait dubitatif sur l'expression du regard de Monsieur Chapeau carmin Maître en Art et condisciple en funambulisme de passeur d'âme et...de cœur.

-Il se trouve que j'ai perdu mon frère il y a peu de temps et…et je venais lui rendre visite. Voyez-vous, il m'arrive fréquemment de penser à lui en ce moment.

L'hybride regarda de part et d'autre de la maisonnette de pierre a laquelle Monsieur Chapeau Carmin semblait porté tant d'attention. Le regard sombre revins par la suite à l'observation du visage de son complice, avec, il est vrai un rien de suspicion...Si Chapelier avait perdu son frère, comment pouvait il lui rendre visite...

-Mais je suis impoli! Voudriez-vous venir boire quelque chose et me raconter ce que vous devenez ces temps-ci? Cela fait une éternité que nous ne nous sommes pas vu il me semble…..

Chapelier avait retrouvé son sourire et Azrael limita avec bon gout et acquiesce avec bon humeur abandonnant la ses incompréhensions.

Ils se retrouvèrent donc rapidement devant un verre qui ne contenait, apparemment, pas du sang. Azrael sentit légerement le liquide avant de tremper les lèvres dedans. Au vus de son regard, cela lui plaisait, même si ça manquait d'un petit quelques chose.

-Alors, mon ami, racontez moi tout!

- Tout ?!

L'hybride s'entailla légèrement le poignet du bout des dents -l'air ravi et amusé - avant d'ajouter quelques goute a son breuvage, le carmin se dilua doucement laissant des trainée plus sombre au milieu du bain d'alcool.
Il bus a nouveau une gorgée fermant les yeux peut être pour mieux apprécier le breuvage, a moins que ce ne fut pour se remémorer les événement dérouler depuis leurs petite sortie dans cette même ville quelques année plus tôt lui semblait-il.

- L'approche de la fin est longue à Gothik...Faust s'ennuie quelques peux, mais il a offert sa parole et restera tant qu'il le faudra sur la place qu'on lui a laissé. Quand à Azrael...Il n'y a pas grand chose a dire, les étoiles brilles et puis s'éteigne, certaine disparaisse en douceur et on finis par les oublier, d'autre devienne si brillante qu'elle finisse par en mourir. le cueilleur d'âme tente d'être là ou il doit être, mais il ne connais pas toujours la route qu'il devrais suivre.

Azrael sembla songeur quelques temps avant de vriller Chapelier du regard, question muette peut être avant de se pencher au dessus de la table vers Chapelier. Peut être l'hybride faisait-il une fixation sur ces mèches de cheveux roux doré ou bien le vampire l'instiguait-il. Quoi qu'il en soit, il attrapa une mèche de cheveux entre ses doigts avant de frôler du bout des doigts la peau froide du vampire.

- Et vous...Ou est donc passé le rouge qui vous allais si bien...L'avez vous perdu lui aussi ? Ou le dissimulez vous tel une vérité qui ne peux être vue que de ceux qui le désire vraiment ?

[ rhhaaa, mais j'adore Aaron.....Sauf que d'ordinaire...c'est plutôt pour mes rp avec Mika... https://www.youtube.com/watch?v=T52EiStR6UQ&feature=related ]

Pendragon n'avait quitté le vampire des yeux et ce fut ce même regard sombre qui scruta le visage de porcelaine pâle lorsque la tête légèrement incliné vers l'arrière le breuvage alcoolisé vint à la rencontre des lèvres de Sir Chapelier.

- [..]c'est ma façon de lui dire adieu

Le visage de l'hybride s'inclina légèrement sur le coté, comme pour mieux apercevoir son voisin de tablée. L'extrémité de ses doigts, presque aussi froid que la peau glacée du vampire, vinrent chercher sur les traits de ce visage offerts ceux qui semblait donné a cette statue de chaire cette expression si triste. Mais pour cela il aurait peut être dus lui arraché lèvre et regard. Et...du moins pour l'instant présent, cela ne semblait être dans les ambitions Azraèlienne.
Car en tant qu'artiste, du néant et du tout, modeleur de vie et donc forcément de mort, l'observation de ce visage semblant taillé dans un bloc d'albâtre et à la fois si pâle qu'il semblait refléter les rayon de la lune, lui était quelques peut agréable.

Un frôlement de doigts se perdit à la commissure d'une lèvre, recueillant peut être une goute d'alcool au saveur de tristesse, mêlé d'une douleur inconnue. Inconnue en tout cas pour l'être au cheveux sombre dont le dextre quitta les purpurines voisines afin de gouter à ce breuvage étrange.

Azrael passa une langue rose sur son propre doigts, son visage exprimait simplicité et perplexité mêlés. L'alcool à parfois un gout amer, était ce ce goût qui rendait Chappelier emprunt de douleur.

Un "a dieu". Recommandait-il l'âme égaré d'un proche à quelqu'un d'autre. Coutume étrange que Pendragon ne semblait vraiment comprendre. Qui aurait donc souhaité voire son âme offerte à qui conque d'autre que lui même. Puis, pourquoi n'avait il pas rencontré ce "perdu" si il était question d'âme recommandé au cieux.
Il y avait ainsi des questions qui ne trouvaient pas toujours réponses et peut être cela était-il préférable pour tout le monde que cela demeure ainsi.

Un sourire naquis aux lèvres de l'hybride, sourire que certains commençait peut être à apprivoiser, mais qui aux yeux de la plus part des bipèdes de cet univers devait toujours ressembler à ce qu'il paraissait être. Une grimace peut rassurante, une mimique propre aux âmes damnées, qui avait une certaine tendance a vous donné froid dans le dos alors que votre cerveau vous incitait à prendre vos jambes à votre cous et ce de la manière la plus discrète afin de ne pas attiré ce regard d'un noir corbeau sur votre pauvre et malheureuse personne.

Le doigt qu'il avait porté à ses lèvres après avoir volé une goute de breuvage, se glissa entre ses dents, un simple frôlement fut nécessaire, les dents étaient aiguisée et coupante à souhait. On était chasseur ou on ne l'était pas !
Et Azrael ou Faust, quelqu'ils soient ne s'étaient jamais fait aux rôle du lapin...Même lorsqu'il s'agissait d'un lapin garou.
Azrael se pencha légèrement vers Chapeau Carmin, dire qu'il le dévisageait était un euphémisme, on aurait plutôt pus croire qu'il s'apprêtait à le mordre, ses yeux sombres scrutant la jugulaire avant de revenir vers de plus vile tentatrices dont la nature romantique lui échappait quelques peut. Pourtant, il ne fit que l'observer avec, certe une grande attention, mais qui ne dérapa pas vers un souper improvisé. Tout au contraire. Le doigts meurtri et ensanglanté quitta sa bouche pour colorer la commissure des lèvres de son compagnon.

Apres tout, il lui avait volé un peut de son nectar au gout légerement amer. Puis cette tristesse mêlé de douleur. Il ne la comprenait pas. Toute explication aurait été veine. Azrael Pendragon n'était pas être à comprendre ce genre de chose, même si parfois la mélancolie pouvait le toucher sans prévenir. Il était semblable à ses échassiers qui baroudaient d'un air guillerait sur le bord des lacs avant de reprendre leur route vers un sud plus lointain. Ils n'avaient pas de carte et pourtant ne se perdaient jamais -ou presque- ne se demandant pas si la météo allait changer ou non, ou si il y aurait suffisamment de sang frais - ou de poissons -. Ils allaient point final.

Faust regarda son compagnon nocturne se délecter, les iris noir corbeau ne quittaient les lèvres voisinent qu'il fixait avec une tel intensité qu'on aurait pus se soucier des pensées qui animaient son être en un tel instant. Peut-être un coup de langue en trop ou de travers aurait causer la mort de quelques personnes en cette nuit, presque, paisible.

Mais le doigts d'Azrael Pendragon fut bientôt libéré et l'hybride y jeta un rapide coup d'œil comme pour évaluer le coup de langue de son compagnon. Après quelques instant un léger sourire s'afficha au coin des lèvres du chasseur, un sourire quelques peut approbateur. Il était sans conteste que si cela ne lui avait pas plus il l'aurait certainement fait savoir d'une manière quelques peut plus démonstratrice.

Aucun des individus présent ce soir là ne devaient savoir que c'était bien la première fois que quelqu'un avait autant de pouvoir sur sa personne. Ho, bien sure, le Prinçounet avait bus bien plus d'une ou deux goutes de son sang, mais cela était un pacte et les conditions étaient différentes, étant donné que l'hybride avait d'abord mis fin au jours du Compte. Quand à l'Archange...C'était un vol non consentit ! Et ça...Faust ne le tolérait pas.
Quoi qu'il en fut, l'hybride semblait satisfait. Son doigts retourna une fois de plus entre ses propres lèvres, comme pour une réappropriation de sa personne. Après tout, il était clair qu'il ne pouvait travailler convenablement avec une bave ( salive ?) étrangère à sa personne sur son propre doigts.

Ce fut cet instant que choisi un homme d'une trentaine d'année pour exprimer haut et fort son dégout quand à de tel mœurs.

Azrael pris un air choqué, son doigts toujours entre ses lèvres, comme suspendu à une décision qui lui échappait. Ce dus être son manque de réaction et l'expression presque enfantine qui se lisait sur son visage qui incita quelques autres personnes à laisser entendre le son de leurs voies. Selon les un s'était honteux, selon d'autre c'était grotesque et puis d'un avis presque général "ils" n'avaient qu'a allez faire leurs "cochonneries" ailleurs. Une voix émis même la grotesque idée qu'ils devaient être des vampires et que la Milice ferait bien de faire son travaille "pour une fois".

Faust resta d'un calme qui avait tout à voire avec l'ininterêt de leurs dires, la seul critique qui lui fit quelques peut hausser les sourcils fut les "cochonneries" qui laissa l'hybride quelques peut perplexe.

Puis il se leva, peut être parce que Chappelier semblait désiré faire de même, mais au lieu de se précipiter sur ces bipèdes dans le but de peut être regarder dans le cerveau afin de voir si ils étaient effectivement dépeuplés de tout connections intéressantes. Il posa seulement sa main sur l'épaule de son compagnon, mains aussi légère que le battement d'aile d'un papillon et qui n'était nullement là pour retenir Monsieur Carmin.
Faust se pencha légerement vers le lobe de l'oreille, chassant quelques mèche de cheveux clair d'un petit souffle d'air tiède.

Puis attrapant entre ses dextre le verre dans lequel il avait bus l'alcool, il le brisa avant de lancer l'un des morceaux en direction de l'homme qui avait parlé de cochon et de charcuterie. Il y eu un cris de douleurs suivi d'exclamations, mais plus personne ne les regardaient aprésent avec la même expression sur le visage.
Faust eu un petit sourire, de quoi se plaignais donc ce bipède, il était en vie, et certes, il venait de perdre un œil, mais au moins, le verre avait été préalablement désinfecté, il n'allait même pas en mourir. Il aurait du le remercier de s'en tirer a si bon compte.

Les lèvres Faustienne toujours aux chevet de l'oreille de Maître Chappelier murmurèrent une proposition comme si c'était la première fois qu'il avait l'occasion d'en faire une.

- Voudriez vous n'emmenez autre part ?

Valérian porta à nouveau son verre à ses lèvres tandis que l'autre examinait son doigt. Peut-être avait-il peur qu'il ne l'eut abimé…Quoiqu'il en soit, il ne semblait rien trouver à redire et sourit presque gentiment à son confrère. Le doigt retourna entre les lèvres de son propriétaire et ainsi fut close l'affaire. Mais pas pour tout le monde. Un saoulard commença à s'exprimer sur ce sujet qui ne regardait en rien. De quel droit? Celui de l'alcool? Chapelier fit la moue. L'ivresse n'excuse pas tout. Cependant, il prit le parti de l'ignorer mais alors qu'il allait ouvrir la bouche, une autre voix s'éleva. Et encore une autre. Et là, le flot d'immondice déborda le taux de tolérance de Chapelier. La milice? Oh….Ils allaient payer. Il se leva mais une main se posa sur son épaule. Depuis quand Azrael était raisonnable. Son visage vint vers celui de Valerian, comme pour lui souffler quelque chose. Il entendit un cri de douleur et des injures avant de comprendre que son ami avait rendu un de ces imbéciles borgne. Et le souffle vint. L'emmener autre part? Avec joie….Mais d'abord….Il sourit à Azrael.

-Rasseyez-vous et profitez du spectacle de ce soir. Regardez attentivement, il ne sera représenté qu'une fois…

Sortant sa guitare de sous la table, il la transforma en un coup sec en faux à la lame acérée.

-Oui, je suis un Nocturne….Venez, venez donc vous qui êtes si fiers votre race de rampants. Venez affronter un Dieu.

Tous se turent. Certains avisèrent la sortie mais il était trop tard. Un coup de faux et un bras tomba à terre. Un cri suivit puis le silence…

-Parfait, je viendrais à vous.

Là, Chapelier entama son ballet mortel. Tranchant; faisant saigner, pleurer et crier. Une fois les murs et le sol tapissés de rouge. Valérian, toujours empli de son calme froid, se nettoya les ongles d'un coup de langue expert et, remettant sa veste qui n'avait jamais été aussi rouge en place, il sourit à son ami. L'avait-il aidé? Il n'en savait rien et s'en fichait. Il récupéra son chapeau et tendit la main à Azrael.

-Allons-y, mon ami…Où vous plairait-il d'aller?

Maître Chappelier lui accorda un sourire. Faust ne pus qu'y répondre avec un petit quelques chose n'innovent, dus moins innovent pour lui, depuis quand le ravissement frôlait-il ses lèvres...

-Rasseyez-vous et profitez du spectacle de ce soir. Regardez attentivement, il ne sera représenté qu'une fois…

L'hybride, loin d'être pris au dépourvu par ce début de mise en scène prometteur, haussa d'abord légèrement les sourcils avant de s'installer au mieux. Ce fut donc les pieds sur la table et confortablement assis sur sa chaise qu'il regarda la vampire effectuer son numéros.

-Oui, je suis un Nocturne….Venez, venez donc vous qui êtes si fiers votre race de rampants. Venez affronter un Dieu.

Ça commençait bien, ça commençais même très bien. Un Dieu...cela aussi était intéressant. Azrael ne quitta plus des yeux le Vampire écarlate.

-Parfait, je viendrais à vous.

C'était beau, très beau, artistique, sanguinaire, un ballet...très coloré aussi et on sais combien Faust apprécie les couleurs, surtout les tons chaud. Après quelques cris et quelques boyaux, après quelques valses et quelques coups de faux, semblant déchiré l'air, tout autant que les corps, Faust s'empara d'une tête qui semblait trainé là pour son seul plaisir.
Il n'y avait rien de tel qu'un cerveau encore fumant. Il suffisait de touiller légèrement avec le bout d'une griffe, puis d'emprunter une paille à l'aubergiste qui passait justement par là. Le pauvre individu était d'une couleur très pâle, du moins jusqu'à ce qu'il se fasse éclaboussé. L'homme eu une réaction étrange, il se mis à hurler. Faust trouvait cela bizarre et pour faire bonne mesure, lui ouvrit le ventre sur toute la hauteur. Cette fois si l'aubergiste hurla vraiment, mais de manière brève avant de s'écrouler en tentant de retenir ses tripes.

Azrael ne finis pas sa collation. Il sembla l'oublier au profit d'un individu dont les goût était effectivement ceux d'un Dieu et qui lui tendait à présent la main. Azrael Pendragon avisa cette paume, avant de décider d'y glisser la sienne, geste étrange mais qui lui sembla convenir, du moins pour cette occasion.

-Allons-y, mon ami…Où vous plairait-il d'aller?

Apparemment, ce n'était une question des plus simple, pourtant l'hybride semblait d'humeur joyeuse, ce qui se traduisis par quelques pirouettes une fois qu'ils eurent quitté l'établissement quelques peux encombré. Une roue, suivi d'un s alto et un tirage de langue dans les règles de l'art lorsqu'il croisèrent un groupe de militant pro-vampire qui s'éloignèrent tout de même du duo avec quelques minent blafarde. Peut-être n'approuvaient t'ils pas la couleur flamboyante qu'avait pris leurs vêtement. Décidément, le gout des un n'était celui des autres...Et certains en manquaient sérieusement.

- Mmh...Au Musé !

Faust souris toujours de ce même air ravi qui aurait provoquer une crise cardiaque à la plus part des habitant de Modernis ayant passé le seuil des 55 ans.
Oui, le Musé, il avait toujours eu l'idée de visité ces pièces remplies de vieux truc. Les momies le fascinaient surtout.

- Ou...

Il fit face à Chapelier et d'un geste rapide, mais non dénué de révérence, il lui emprunta son couvre chef, don t'il lissa le bord avant de le suspendre au dessus de sa propre tête, sans pour autant le poser.

- Me permettriez vous ?

Il était normal qu'un tel amateur de couvre chef demande permission pour se couvrir de celui d'autrui. Surtout et uniquement si il avait du respect pour cette personne. Ce qui était, il est vrai, exceptionnel. Enfin, pas que Faust ne respectait pas autrui, mais disons plustot que le respect qu'il portait à Chappelier était d'une autre nature.

- Ou emmenez moi à un endroit que vous aimez...

Les iris obscures de l'hybride ne quittèrent le visage d'albâtre. Le respiration se fit silencieuse, pour ne pas dire absente alors que le couvre chef était posé avec soin et délicatesse sur la tête du Fou.

Il y avait bien des gens dans ce bas monde pour qui ce geste n'aurait eu la moindre importance. Mais ces personnes là n'auraient certainement pas eu le privilège d'être coiffé de la sorte. Car oui, c'était un privilège et le Fou n'y était pas insensible.

Ce n'était pas un de ces vulgaire chapeau, un de ces pilos dont la ressemblance avec une coque de gland était quelques peut troublante ou un de ces liripipion, dont le nom bien que mignon, n'était autre qu'un turban. Faust avait un jour "emprunté" un tricorne qui pour finir avait servis de pot de fleur à une touffe de marguerite. Mais les hauts de forme avaient sa préférence. Bien sure, il symbolisait encore, dans certain mœurs, une certaine rétractibilité. Il était également une marque de richesse, de dignité et d'un rang social élevé.

Mais au regard d'Azrael, il en était un peut différent, même si il est vrai que son compagnon Nocturne était d'une grande élégance. Elégance dont il ne se défaisait d'ailleurs, même si con couvre chef reposait sur la tête d'autrui.

Une main de glace dans un gant de soie vint se glisser dans la dextre du preneur d'âme; sourire ravis de peut être sentir cette peau si froide au contacte de la sienne. Surprise peut être de ce geste si étrange qui pour la seconde fois était accepter sans réticence. D'ordinaire, les seules mains tenue étaient celles de cadavre encore fumant ou...glacé depuis des lustre mais qui avait cesser d'exister depuis peut.
Rappelons que Faust était loin d'être un ange avec les vampires. Les sang froid avait une certaines tendance aux trépas lorsqu'ils le croisaient.
Même si évidemment, les vampires n'étaient pas les seul à verser leurs sang. Il fallait parfois du changement étant donné que la monotonie était la première conséquence de la mort et donc que brisé la monotonie était un signe de vie.

Chapeau carmin - qui ne portait plus son couvre chef à présent - entraina Faust, et ce jusqu'à l'endroit de son choix. Étrange duo qu'il aurait peut être été difficile de qualifier avec des mots.

C'était un lac, une étendue d'eau, une flaque pour les géant et un miroir pour la lune. Apparemment, il convenait de s'asseoir, étant donné que le Dieu carmin venait de prendre place là ou la terre prenait racine.
Faust sembla hésiter. Le regard d'Azrael Pendragon parcouru la surface sombre et mouvante ou la lune semblaient s'être fait prisonnière. La dame de la nuit était-elle prisonnière de cette cage de verre ?

-La vue vous plait-elle mon ami?

Les lèvres ne se desserrèrent que lorsque le chapeau emprunté eu retrouvé sa place initiale. Alors les yeux sombres de l'hybride semblèrent briller d'avantage, peut être pour la seul raison que les rayons lunaires semblaient prendre plaisir à venir flatter le visages des deux jeune gens - qui avait passé les siècles sans, presque, prendre une ride - Mais peut être était ce de plaisir ou de satisfaction. Quoi qu'il en soit la réponse fut prononcée sans plus de cérémonie et sans quitter le vampire du regard.

- La vue m'est agréable.

Faust s'était assis dans l'herbe avant de s'étendre, le regard perdu dans un océan de météores et de comètes.

- Retrouverait-on Sirius,Régulus ou Bellatrix dans le miroir de dame lune ?

Le Fou ne se donna la peine de redresser la tête pour interroger son ami du regard. Ses yeux étaient posé sur Sirius, juste au dessus de l'horizon, elle faisait partie de la constellation du Grand Chien. Régulus, nommé le cœur du Lionl brillait lui aussi de mille feu, quand à la géante bleue, pourtant moins brillante que ces deux confrèrent, elle n'en portait pas moins un nom digne des amazone, puisqu'elle signifiait guerrière.
Mais tout cela n'était après tout que de petits points brillants dans l'étendue spectrale de la nuit. Et il y avait un être bien plus brillant et bien plus proche en cet instant même. Si proche que les doigts de Faust pouvaient sans difficultés, en se tendant à peine, toucher cette peau douce et froide qui recouvrait chair, muscle et os - et sang.

Les étoiles laisserent place à une vision tout aussi brillantes. Le regard du vampire qui se portait sur sa personne. La proximité entre leurs corps était telle que leurs parfum semblaient à présent se mêler. Il y avait l'odeur de l'eau, aussi, toute proche, clapotant sur la rive telle une berceuse fantomatique. Le gazouillis de quelques moustique, qui avisé, ne venait les déranger. Et même...le chant de l'herbe caressée par la paume invisible du vent, à cela une autre mélodie se mêla, une voix aquiline qui ne pouvait qu'attrier l'attention de l'hybride dont le regard se perdait avec attention sur un visage à présent si proche qu'il pouvait en déterminer avec exactitude les moindre traits, les moindre facettes.

-Vous plairait-il de cheminer avec moi jusqu'à la City? Cela fait longtemps que je souhaite y retourner mais…j'apprécierais de ne pas être seul là-bas.

Faust pencha légèrement la tête de coté, peut être juste pour mieux admirer son compagnon, car oui, il avait une certaine admiration pour Chapeau carmin. Peut être était ce aussi pour que toute son attention soit diriger vers le dieu nocturne. Gothik...

L'hybride acquiesça de manière presque imperceptible, mais son regard se fit un instant plus brillant, peut être durant le court laps de temps durant lequel il anticipa avec approbation cette virée aux Pays des morts. Enfin...des presque tous morts.

Une main d'une fraicheur glaciale glissa sur l'épaule de Pendragon, semblant requérir son attention. Son attention fut donc capté pour ne plus se détourner des doigts qui se joignèrent au sien.

-Je suis navré de vous faire un tel affront mais j'aimerais rester un peu ainsi…mon cher Azrael…

Azrael resta silencieux, mais dans les instants qui suivirent ses doigts se refermèrent à leurs tour sur la main qui avait saisi la sienne. Étrangement, cet état passif ne le dérangeait pas, pour la première fois de son existence peut être...

- Je ne pense pas que ce soit un affront...

Un petit sourire se dessina sur ses lèvres et peut être parce qu'une brise aventureuse venait de lui faire parvenir le doux parfum de celui qui reposait sur lui, l'hybride fit quelques chose d'étrange. Du moins étrange pour lui. Etrange au point qu'il se demanda avec interrogation ce qu'il éprouvait a ce geste. Si du moins il s'agissait d'un geste.

Ses lèvres s'étaient juste posé sur la chevelure du vampire pour y déposer un baiser. Juste une offrande d'un genre nouveau...

[et....merdeeeee, j'avais....presque fini...une réponse qui me plaisait....
Bon...je ne saurai pas réécrire la même chose...dsl...on va dire que c'est la volonté du Grand Faust...re désolé]

Il fallut quelques long moment pour que l'hybride quitte du regard la chevelure sur laquel il avait posé ce que certain qualifierait de baiser et pour lequel Faust n'avait pas encore trouver de mot adéquat. Il semblait que le vent s'était calmé et que même le silence qui régnait à présent dans la clairière était propice aux questions. a moins que le vent n'ai suspendu son envol pour prêter regard à l'étrange duo qui fainéantait dans l'herbe plutôt que de massacrer une population qui en avait bien besoin.

Mais les songes Faustien n'en était pas là. Il avait abandonner son dernier repas de mauvaise grâce mais à présent son esprit était accaparé par quelques choses et pour être plus précis, par un être qui valait bien quelques siècles de petits déjeuner.

Après quelques regard perplexe sur cette chevelure qui avait été témoin de son étrange élan de.... De quelques chose pour lequel Faust n'avait le moindre nom. Les paupières se fermèrent. Oh, il ne fallait pas croire que Morphée avait enfin gagner son terrible combat contre Faust. Non, ce ne serait certainement pas cette nuit que ce grand échalat emporterais le coeur Faustien dans son repères de rêves et de cauchemar. Non, ce n'était le sommeil qui provoquait ce très léger frémissement qui parcourait par vague successive le corps allongé et presque inerte de l'hybride.

C'était plutôt cette caresse étrange, d'abord, ce ne semblait être qu'un souffle sur la peau de l'hybride. Peut être a un des endroit ou il était le plus sensible. Cette région ou nul crocs ne s'étaient encore aventuré.
Puis ce fut une sensation casi électrisante. Pourtant Faust resta presque impassible, il lui semblait peut être sentir la menace de quelques canines affutées sous ces lippes soyeuse qui semblait s'éterniser non loin de sa jugulaire.

Quelques chose semblait peut être s'agiter là au fin fond des entrailles de l'hybride car son immobilité fut taillis par un frisson remontant le long de son échine. ses paupières se rouvrirent pour laisser apercevoir un iris obscur mais d'une lueur inquiétante comme si la malice y avait bien pris corps.

Il n'y eu pourtant nul déchirure, nul goutte de sang. Les lèvres soyeuse finirent par s'envoler comme elles étaient venue. Ou presque.
Étais ce du regret ou une simple interrogation qui se lisait à présent dans le regard obscur. Les lèvres Faustiennes s'arquèrent dans un imperceptible sourire alors que la tête du dieu Carmin reposait sur son torse, presque offerte...

Il y eu encore trois battements de coeur, les dernière en date avaient été quelques peut frénétique lorsque les lèvres troublantes avaient pris place sur la peau d'albâtre, mais à présent il semblaient calmé, presque irréfutable.
C'était un tambourinement presque agaçant aux oreilles d'Azrael qui aimait autant oublié sa présence ridicule et inutile.

Une fois de plus la langue passa, tel un funambule un rien pressé d'en venir a bout, sur les lèvres fines dont la courbe se perdait dans un demi sourire. Langue savourant un repas auquel elle semblait n'avoir pus goûter que les prémices sans avoir pus vraiment se repaître de la moindre goutte.

Nouveau sourire à la nuit obscure. Non, il ne l'aurait pas tué. C'était amusant. Non pas comme on s'amuse d'une proie. Mais comme on se joue d'un démon. La notion d'égale n'avait peut être pas de valeur, mais elle devait avoir un goût subtile qui manquait déjà au palais du Fou.

Les doigts se séparent, tel des serpents abandonnant leurs proies pour mieux venir se perdre sur le visage. Détaillant d'abord avec une grande délicatesse la courbes d'une arcade sourcilière, redessinant le sourcil avant de glisser le long de la joue jusqu'à se perdre à la commissure des lèvres. Doigts s'éternisant, indécis avant de caresser les lèvres, douce lèvres dissimulant la mort.

Puis le doigts disparut. La patience est peut être la vertus du chasseur, mais Faust n'était pas en chasse. Un coup de rein, une jambe qui glisse, un léger appuis sur un coude et Faust se retrouvait à califourchon sur le vampire. Un sourire qu'on parvenait à deviner et qui devait être quelques peux taquin et amusé se dissimulait derrière son expression quelques peut calculatrice et..;selon les avis...affamé.

Faust avait semblé trouvé la vue agréable, le visage de Chapelier se découpant à merveille sur les herbes sombres de la rive, qui formait à présent un oreiller, bien différent du précédent, au Dieu Carmin. C'était peut être le contraste de cette peau claire avec l'environnement, peut être semblait-elle briller ou étais ce un jeux de lumière ou de l'esprit puisque tout est jeux d'esprit.

Quoi qu'il puisse en être Faust le regardait avec une certaine envie dans le regard, envie qui rendait peut être son regard un peut plus brillant que d'ordianire. Malice ou gourmandise, cela fut quelques peut balayé pour donner place à une expression à la fois étonnée et joueuse lorsqu'une main aventureuse vins se glisser dans son dos.
Le chasseur ne résista pas lorsque la main le guida. Ses prunelles ne semblait n'avoir rien de mieux à faire que de fixé le vampire avec une étrange envie.
L'envie n'était pas un sentiments nouveau pour Faust. Il était le genre d'être qui avait pour habitude de satisfaire toute ses envie aussi exubérantes soit-elle avec une méthodologie propre au esprit saint. Mais, ces envies ne l'avait jamais entraîner vers certaine pente que d'autre connaissait déjà depuis des décennies.
Le regard sombre de l'hybride était donc troublé et à la fois ravie de ce nouveau jeux dont il ne connaissait pas les règles. Ce qui ne l'empêchait pas pour autant de le pratiquer avec un naturel qui lui était propre.

***

-Veuillez me pardonner ce nouvel affront.

Faust inclina légèrement la tête de coté, restant ainsi un instant, totalement immobile, le regard presque lointain, même si il n'avait quitté le visage qui reposait a nouveau sur son oreiller d'herbe. Enfin, une langue rapide et terriblement agile passa sur ses lèvre, comme pour se délecter de cette saveur nouvelle dont il venait de faire fugacement la nouvel. Rencontre qui semblait laisser l'hybride rêveur et à la fois terriblement sur ses gardes. Comme un prédateur venant de faire la connaissance avec une proie aussi dangereuse que lui- même et au goût particulièrement exquis.

Un étrange sourire vins planer sur ses lèvre alors qu'il fixait, presque, avec étonnement la dent parfaitement effilée qui mordillait la purpurine. Les lèvres de Chappelier venait peut-être de prendre une autre dimension dans l'esprit Faustien et cette langue qui un court -trop court ?- instant avait caresser la sienne d'une étrange et malicieuse façon, lui semblait avoir un goût de trop peu.

La langue de l'hybride disparut aussi vivement qu'elle n'était apparue, emportant avec elle quelques saveurs défendues.

- Tsssss..ssss

Les lèvres Faustienne venaient d'émettre un étrange sifflement qui se mêla au murmure du grelot qu'il portait au poignet, le vent devait s'en mêler également puisque ses cheveux s'agitèrent de manière désordonnée autour de son visage, mèche de cheveux noir qui entre les doigts de Carmin avaient du prendre plus de bon temps que ce qui leurs avaient été réservé durant toute leurs longue existence.

Faust passait peut-être pour un individu pour le moins dangereux, mais aussi instable et quelques peu déranger, le genre de tueur qui n'avait ni code de conduite ni maîtrise de lui même. Faust lui-même devait connaître les racontages sur sa personne, même si jusqu'à aujourd'hui personne ne lui avait ouvertement fait pare de son point de vue.

Agissant peut-être à la façon de ce tueur que certain décrivait comme un monstre. Le joker pencha la tête de l'autre coté, son sourire venait de prendre une expression différente, mais l'envie n'en était toujours pas effacé. Faust n'était de ces gens qui dissimulait ses désirs, ses envies ou ses besoins.

Ses doigts s'agitèrent un très court instant comme cherchant la matière. Et la matière se déchira. Elle n'eut que cette possibilité lorsque les serres de faust se refermèrent sur le tissu du vêtement, la chemise fut quelques peut abîmée, déchirée était le terme exacte. Mais cela n'avait la moindre importance. Certe ce n'était pas une technique délicate, mais le résultat était celui escompté...ou presque.

Une peau pâle, des courbes parfaites, un torse musclé sans pour autant qu'il ne le soit trop et un goût envoûtant. Du moins, c'est ce qu'en pensa Faust lorsque sa langue se posa avec circonspection sur le torse révélé de son Carmin.

Faust redressa légèrement la tête, apparemment pour la seul raison d''admirer la tache d'humidité que sa langue venait de laissé sur la peau pâle. Mais cela, bien que lui semblant amusant n'était pas suffisant. Il approcha a nouveau son visage du torse de Chapelier.
Ses mains, toute à leur affaire, étaient-elles venue chercher leur nouvelle jumelle. Emprisonnement ou confidence, ce n'étaient pas à elle d'en choisir la réponse.

Une langue agile et perspicace semblait chercher sur cette peau le meilleur nectar. Nouvelle découverte d'un univers inconnu et dont chaque parcelle semblait une source d'étonnement et de contraste. Salé, froid, c'était certes une généralité, mais les arôme était différent, sauvage et à la fois dompté. Présage d'une île cachée.

Les doigts se refermèrent plus sauvagement, mais sans contrainte pourtant. Là ou la langue, espion de ces nouvel saveur c'était arrêté. Deux pouces au-dessus du nombril, la dents aiguisée s'enfonça. Faust mordait avec une envie non dissimulée mais également avec une douceur qu'il n'avait jamais accordé jusque là. Morsure sauvage par son fait d'être, mais teinté de douceur et d'une étrange passion qu'on pouvait peut être apparenté à la nature même de ces deux être.

Pour la segonde fois au cours de ces 24 dernières heures le Fou se vis privé du nectar pourpre. Il fut repousser et se retrouva à son tour plaqué contre l'herbe fraiche de la prairie avec comme seul consolation le petit rire amusé de son compagnon.
Le visage de Faust exprimait à la fois une excitation contenue. Il n'avait encore jamais eu l'occasion de s'essayer à un tel jeux, il faut dire, les partenaires n'était que trop peux nombreux et les inconscients qui auraient voulu s'y risquer aurait certainement disparut. Mais il se mêlait à ce regard sombre et brillant un petit quelques chose qui devait signifier que le Fou ne se voyait que rarement privé d'un repas, même si dans ce cas-ci il s'agissait plus d'un amusa bouche au nectar incomparable, raison de plus pour être quelques peux vexcé.

- A mon tour très cher Azrael…Laissez-moi-vous faire quelque peu plaisir…

Le Fou, qui n'était pas très grand de taille par rapport à son compagnon nocturne, fixa se dernier avec un rien d'impatienSe penchant sur son ami, ce. Ce demandant peut-être ce que cela signifiait. Ce qui lui aurait plus s'était de plonger sa langue dans ce liquide froid et savoureux. C'était de sentir le sang sur sa langue et peut être de gouté une fois de plus à celle du Dieux Carmin, si du moions ce dernier le voulait bien.

Il eu bien droit aux lèvre de Chapeau Carmin, mais un si bref moment que cela le laissa un rien frustré. Faust n'était par nature, pas quelqu'un d'extremement patient, du moins il pouvait l'être, mais uniquement si cela l'arrangeais et en cette instant même il était bien trop exciter pour faire preuve de patience. Les lèvre de Chapelier n'avait laisser sur les sienne qu'un léger voile de senteur exotique, même pas de quoi se pourlecher les babines.

Faust hoqueta lorsque la langue de Chapelier humecta le Grelot. D'abord son regard se fit aussi noire qu'une nuit sans la moindre étoile et ses dents se firent bien visible alors qu'il semblait presque sourire. Mais si c'était un sourire il ne signifiait pas pour autant que Chapelier n'avait pas signer son arret de mort en osant touché a Son Grelot.
Ce Grelot en l'occurence était celui d'un compagnon qui lui avait été précieux à sa façon. Un énnemis qui pour finir ne lui avait laisser que son âme et...oui aussi un peut de cerveau mais pour ce dernier la digestion était achevée deouis une cinquantaine d'année.
Quand au sang assez frais qui avait recouvert le grelot noire, il devait s'agir de celui de cette hybride qui logeais chez l'Archange ou du snag de celui là même. Faust avais déja oublié qu'il avait à moitié tué ce vampire, mais même si il s'en était souvenu, il ne l'aurais nulement regrèté. On ne volait pas du sang à Faust sans en connaitre son chatiment. Et encore, l'archange pouvait se sentir heureux que son heure ne soit venue en même temps que e souffle de la colère dinive.

Si l'hybride avait hoqueté de surprise lorsque la langue indisciplinée de Chapelier avait fleurté avec son Grelot, Il ne pus qu'émèttre un gémissement lorsque ce dernier le goba à moitié. Le Fou semblait à moitié paralisé
et sa respiration s'était faite plus sacadée, personne n'avait jamais du se permettre une telle intimitée avec lui et son âme en était toute chamboulée.

Il perçus la caresse de deux levres sur la peaume de sa main qui lui semblait à présent aussi brulante que son propune sre corps alors que ses pensées semblait à peine regagner leurs place, Faust ne svait exactement ce qui venait de se passer, mais son coprs semblait tremblant un peut comme les rares fois ou il avait été en manque de sang. A l'exception prêt qu'il ne ressentait pas cette fatigue suffocante mais une soiffe fièvreuse.

Et ce n'était le traitement que Chapelier lui réservait qui était pour arranger les choses. Les ongles de l'hybride s'enfonçaient dans la terre humide aux fure et à mesure qu'il sentait une étrange chaleur émaner de lui même semblant le dévorer de l'intérieur. Sa peau lui semblait brulante et à la fois chaque caresse, chaque coup de langue, chaque égratignure que son compagnon lui infligeait lui semblait plus présente, amplifié par cette perception nouvelle.

Les lèvre entrouverte du chasseur laisserent entendre un gémissement entre désir et grognement.

Le corps de l'hybride frissona sous le contacte de cette mains qui semblait descendre toujours plus bas. Et lorsqu'elle s'arrêta les paupières du Fou s'ouvrirent à nouveau. Ce fut imminant, le coup parti avant même que le cris que Faust avait entravers de la gorge ne pus etre audible.

Il plaqua, pour la deuxième fois de la soirée, Chapelier dans l'herbe, mais cette fois si ce ne fut pas avec douceur ou délicatesse. Faust avait le regard noire qui brulait étrangement du'n feu qui semblait déja avoir consomer la moitié de son être. Sa peau aussi pâle que la nuit brillait d'une excitation qui l'avait submerger et même ses lèvres rougies semblait en proie au vif désir qui l'avait parcouru.

Il ne resta cette fois, à califourchon sur le Dieu Carmin, qu'un bref instant avant de plonger vers le cou à la peau douce et tendre sous laquel nageait un calme courant sanguin dans lequel il aurait tôt fait de plonger ses dents.
Il n'y avait pas à s'y méprendre, si il s'agissait ici d'un jeux amoureux, il risquait d'être violent et sanglant.

[ Haa, je comprend même pas comment j'ai fais pour rester si longtemps sans répondre à ce rp...Mille excuses, je suis vraiment désolé...J'étais...Euh...bha j'avais plein de truc à penser, très peut de temps et quand j'ai pensé enfin pouvoir revenir je suis tombé malade..;tout en continuant à travailler parce que ma collègue est également malade..;Et donc j'étais un peut trop naze le soir pour faire autre chose que dormir. Désolé... ]

Avait-il ressentit la brûlure glacée de la colère ? Certainement. Une colère animée par cette main qui lui semblait encore sentir s'insinuer entre ses cuisses. Caresse ? Non ! Que ce mot signifiait-il dans un tel contexte. Ce n'était qu'une main, qui n'avait, certes, rien a faire à cette endroit même ou elle semblait animé une brûlure. Brûlure qui ne semblait se décider entre tendre vers le désir angélique ou démoniaque. C'était..." perturbant" - même si ce mot, encore un, n'était pas connu de l'âme Faustienne - ce qui animait un peut plus cet étrange incompréhension et cette colère.

Les dents acéré de l'hybride pénétrèrent la chair, entaillant la peau si fine avant de trouver le nectar. Tel la peau d'un fruit entaillé libérant son jus. Le liquide carmin envahis la bouche, caressant la langue d'un délice glacé avant de couler avec volupté dans la gorge du Fou.
Colère ? Non, il ne pouvait y avoir de colère. Azrael pouvait parfois se montrer d'humeur extrêmement changeante, mais cette fois, cette fois il avait tout bonnement oublier le sentiment qui l'animait encore un instant plus tôt.
Il avait goûte bien des breuvage dans sa vie, quelques un était exceptionnel, la majorité était consommable. Même si évidemment, en consommateur averti, il se faisait souvent difficile.
Mais ce qui coulait juteusement sur sa langue en cette instant même. C'était différent.

Faust sentit la main de son compagnon se posé sur sa chevelure comme pour l'encourager à le mordre d'avantage. Jamais au grand jamais personne n'avait agis de la sorte envers lui. Il n'était peut être pas le genre d'individu qu'on poussait à la consommation. Et peut être à juste cause étant donné que ce geste ne pus que l'inciter à mordre d'avantage.
La mort ? Tuer ce vampire ? Grand Satan, l'hybride n'y pensais guère, mais passe-t-il à la mort au sens stricte lorsqu'il abandonnait la dépouille d'une de ces victimes, une de celle qui n'avait pas pus l'amuser suffisamment longtemps que pour rester quelques seconde de plus en vie...Évidemment que non.

Un gémissement parvins à ces oreilles, mais ce n'était pas un gémissement de douleur. Cette être était étrange, étrange et délicieux.

Encore quelques gouttes, quelques délicieuses gouttes de sang alors que son propre nom était prononcé.

Une traction lui fit quelques peut lâcher prise, un choix s'était fait. Et il avait choisi de garder sa chevelure, quittant, non sans un dernier coup de langue la plaie qui semblait déjà se cicatriser, ne laissant que quelques marque un peut plus pâle.
Faust inclinant légerment la tête de coté fixait son "repas" avec approbation, ses lèvres était encore couverte de sang et la goute qui en perla fut adroitement récupérer. Il aurait d'ailleurs s'agit d'un sacrilège si il en avait été autrement - pas de perte, soucis d'économie...-
Les yeux sombre au regard de chasseur se fixèrent sur la langue de Valérian alors que ce dernier récupérait une infime partie de son propre sang. C'était joli cette langue rosée avec cette goutte de sang qui s'y perdait déjà.
La langue n'en resta pas là, elle vint lui rendre visite, mêlant aux flagrance de sang celle plus subtile de sa propre chaire. Le Fou aimait ça, il aimait lorsque la langue de Chapelier venait rejoindre la sienne pour une danse entre funambule, cela lui donnait des frisson dans le dos, des frisson agréable et grisant un peut comme lorsqu'il sentait une vie quitté ce monde, une vie si fragile que ses griffes envoyait tout droit vers les cieux. C'était éphémère et divin.

Azrael ne fit pas de manière cette fois, lorsque son corps dénudé se retrouva sur l'herbe, l'endroit était confortable et son Chapelier s'occupait de lui. Le doux goût du sang emplissait encore sa bouche tandis que celle du Nocturne s'employait à le faire frissonner à coup de langue. C'était agréable, ça chatouillait un peut, ça le faisait frissonné et il ne pus s'empêcher de se tortiller un court moment alors que des ondes chatouillante remontait depuis son nombril.
Puis, la dame de glace, froide et humide se mis à descendre encore un peut. Le contraste était étrange entre cette langue si froide et la chaleur qui s'en dégageait.

Faust était aussi immobile que le lui permettait les étranges désirs qui naissait dans son corps. Ces désirs auquel il n'avait rien demander et qui ne s'était jamais manifesté.
Les coups de langue cessèrent et Faust releva un rien la tête, juste assez pour voire ce qui animait cette..."pause".

-Mes gestes vous déplaisent-ils ou me donnez-vous le droit de poursuivre à ma guise?

Il aurait fallu bien des années pour analyser ce qui lui arrivait. Il ne lui arrivait d'ailleurs jamais rien qu'il n'eut escompter d'avance. Même si tout évènement était en soit un mystère et une surprise. Mais là...
L'hybride resta silencieux, il avait les lèvre rougie d'un désir incompris et son regard toujours aussi sombre semblait briller d'incompréhension et d'amusement partager. Il y avait...Oui, il "le" regardait depuis qu'il l'avait aperçus. Il y avait ce "truc" dont il ne connaissait nulement le nom. Qui se retrouvait à demi dresser entre ses cuisses et...c'était...étrange.

Mais Azrael le quitta des yeux après quelques instant après tout, ça ne semblait pas si préoccupant que ça. Puis, il y avait autre chose qui lui était bien plus préoccupant. Son corps semblait en demande d'autre caresse, comme si il avait besoin de sang, une envie pressante presque vitale.

- Poursuivez !

Ce n'était pas une supplique mais loin d'être une ordre. C'était une demande accompagné d'un sourire. Oui, il voulait a nouveau sentir ces étrange caresse que Chapelier faisait avec tant de savoir faire que ça le rendait un rien..."excité".

Jusqu'à maintenant il était resté, presque" parfaitement immobile, mais le visage de Chapelier lui semblait si lumineux, si presque iréel, qu'il voulu peut être se convaincre de sa présence et avant que le vampire ne s'en retourne ou non, à ses occupations, il parcouru du bout du doigt le tracé de ses lèvres jusqu'à la naissance de son cou....joli cou...

C'était...Comment dire ? Exquis. Froid et à la fois brûlant, cette morsure glacée, ce contacte électrisant. L'hybride se mordit la lèvre, ce qui ne l'empêcha pas de gémir tout en enfonçant ses griffes, non pas dans la peau d'albâtre, mais dans la terre meuble du sol. Comme si il avait penser à épargner le dos de son compagnon.

"Appréciez-vous, tendre ami?"

*tendre ami* Ce devait être lui-même étant donné que Maître Chapelier ne semblait s'adresser à l'herbe qui les entourait ou encore au reflet lunaire qui se mirait dans le miroir de l'eau.

Et pour seul réponse l'hybride se combra légerment, son corps lui semblait comme électriser, mais c'était un courant aussi agréable que brûlants. Il en voulait encore de ces étrange frisson qui lui remontait l'échine, de cette langue sur ce membre dresser et ce toute en commençant à lorgner le même endroit qui semblait tendre le cuir du pantalon de son Dieux Carmin.


Mais dans ce monde cruel, qui n'est pas spécialement fait pour les gens qui partage certains type de sentiments "amoureux" ou partage en tout bon sentiments, un certain goût la mise à mort, l'art et l'émancipation de la douleur en tout harmonies. Il existe une certaine injustice. Injustice qui vins mettre, précocement, fin à cette découverte sensorielle.

Cette fin ce fit sentir, avec une certaine violence et de manière assez désagréable et ce, sous la forme d'une espèce de fléchette d'environ cinq centimètre de long qui eu la désobligeante idée d'aller s'enfoncer à deux centimètre de la pointe de l'épaule droite de Maître carmin (précision, du tire n'est ce pas ?!)

Azrael Pendragon qui grimaçait déjà, suite peut être au manque de caresse, ou encore à cause de l'odeur désagréable qu'émettait une cinquantaines d'intrus dans leur décors féerique, grimaça un peux plus lorsque la même fléchette vins prendre place, sans la moindre permission, dans la chaire laiteuse de son torse.

Avant même de recevoire la douleur, il laissa entendre le doux son de sa voie, qui ressemblait plutôt à un cris de mécontentement qu'a tout autre chose.

Les jolie fléchette portaient distinctement les trois lettres blanches H.O.P. comme nom de fabrique. C'était de très jolis joujoux fabriqué à Cyber, elle contenait un espèce de liquide, ce qui les faisaient ressembler à des seringue de gros calibre. La "tête" ressemblait vaguement à un poulpe cyber, dont la pointe s'enfonçait doucement dans le corps de manière à libéré le liquide qui s'attaquait directement au terminaison nerveuse en causant de micro explosion. C'était loin d'être indolore...au cas ou on aurait espérer.

Et l'hybride, qui avait déjà tâter de cette technologie, ne semblait pas ravie de se retrouver a nouveau pris pour cible de ce petit gadget.
Il se tortillait à présent, tout en arrachant les têtes d'épingles.

Son regard croisa un bref instant celui de Chapelier, mais on ne pouvait lire dans ses yeux sombres qu'une étrange folie.