Nom : Von dast
Prénom : Mikaël
Titre/Surnom :
Age : Apparent : 24 ans Réel : 66 ans
Groupe : - Origine : Modernis
- Actuellement : Gothic



Description physique : Mika à pas mal changé durant ces dernières années autant physiquement que mentalement d'ailleurs. Mais…Commençons par son physique, sur ces cinquante dernières années notre hybride n'a pas tellement grandis, juste quelques centimètres qui l'amène a mesurer un petit mètre septante. Niveau poids, il à toujours cette carrure légère, qui font de lui un individu plutôt taillé pour la course que pour les bagarres a mains nue. Mais…ce serait sans compter sur ses aptitudes d'hybride qu'il à enfin découvert. Légèrement musclé il en garde pour autant une silhouette bien découpée et des traits fins. Son visage n'est pas efféminé pour autant et ne laisse que rarement les regards indifférent, surtout que ses yeux reflètent bien trop souvent ses émotions ou son passé de sorte qu'on lit assez facilement en lui.

Ses cheveux on viré de couleurs, passant du blanc au brun foncé presque noir, et ses yeux on suivi le mouvement devenant plus sombre, presque auburn. Mais, parfois son regard semble changer de teinte selon son humeur, dans un excès de colère ou lorsqu'il est en proie a une forte émotion. Ils peuvent alors devenir bleu glace ou rouge carmin, mais cela reste exceptionnel. Il suppose ces modifications sont due soit à l'influence de Vaen soit au sang vampirique qui coule dans ses veines. Etant donné qu'il est un peut plus vampire qu'humain suite à la transfusion de sang que son père lui à offert. (non…pas pour noël…)

Que dire de plus, niveau vestimentaire, il à eu un peut de mal a s'habituer a la mode de Gothic et cela se ressent encore dans sa façon de se vêtir, mais bon, il s'y fait. Il possède toujours ses armes a feu et lorsqu'il lui est impossible de faire venir des munition de Modernis, il va jusqu'à faire fondre des balles lui-même. Si non, pour finir il à adopter non pas la rapières, mais…quelques chose d'un peut plus…barbare pourrait dire certain, lui préfère appelé cela une arme de mêlée…la hache ou plutôt deux haches, une dans chaque main, arme qui s'adapte mieux a sa vitesse de déplacement et a son petit gabarits.

Description mentale :
Sur ce plan là également Mikaël à bien changé, nettement moins timide et bien plus sure de lui il en mesure pour autant toujours ses paroles. Plus réfléchis et plus posé, toujours aussi sensible et sentimental, il a toujours tendance a se renfermer sur lui-même. Mais la différence est dans le fait qu'il n'en souffre plus autant qu'avant. Il a aussi gagné en assurance et bien souvent il n'a pas peur d'exprimer ses pensées, enfin, dans les limites de ce qui lui est possible.

Il à également appris a se détacher des être qu'il appréciait, d'abord par nécessité, il s'est rendu compte qu'étouffer quelqu'un parce qu'on avait peur de le perdre n'était peut être pas la meilleur chose a faire.
Il a aussi appris a se montrer plus diplomate que par le passé, ce qui lui a été bien utile, hybride venant de modernis il lui à été difficile de se faire une place à Gothic, aussi bien vis-à-vis des vampires que des humains, sans parler des nobles. Mais le jeune Mikaël a doucement trouver sa place, peut être à cause de son apparence faussement innocente ou de son coté émotionnel, a moins que ce ne soit son courage voire son abnégation sur le champ de bataille…

Histoire :
Issus d'une famille reconstitué dont il n'a que peut de souvenir, Mikael traine dans la rue la plus part de ses journée, dans le seul but de se faire une place dans une bande dont il vénère le chef, âgé d'a peine six ans, il est le parfait petit dealer, son rôle, faire circuler la marchandise, avec son jeune âge et son air innocent et mignon, on considère qu'il ne risque rien, du moins vis-à-vis des flics.
Mais voilà, il n'y a pas que les flics, il y a aussi la mafia et elle ne tarde pas a lui tomber dessus, une fois, puis une seconde fois ou il passe un mauvais quart d'heure…

Vers l'âge de douze ans, sa mère tombe gravement malade et son beau père lui met dans la tête que c'est entièrement sa fautes. Sans repère, l'adolescent dégringole de plus en plus bas. Son beaux père profite de lui, sans qu'il n'arrive a y faire quoi que ce soit. Toujours dans cette bande de petit dealer, qui commence a faire de l'ombre à la mafia locale, il est témoins d'un règlement de compte et en réchappe presque… Seul hic…Il à quatorze ans et est bien plus innocent qu'il ne voudrait le croire. Il se rend compte un peut tard que son beau père n'est autre que le chef de cette mafia.

Apres être passé entre les mains de ces individus, d'avoir été violé et battus, il ne lui semble plus possible de continuer a vivre…Sauf…Sauf si il pouvait tout recommencer…Tout oublier…et c'est ce qu'il fait.

Mikaël a dix sept ans quand ça vie "recommence", il ne se souviens de rien, pour cause, il s'est fait greffer une puce dans le cerveau, opération délicate et pas fiable a cent pour cent. Mais qui fonctionne pourtant, même si elle lui inflige de grosse migraine de temps a autre et laisse filtrer de temps a autre des informations. Des flashe qui en plus de le traumatiser quelques peut lui inflige une vive douleurs.

A dix sept ans il retrouve son père géniteur qui le prend sous son toit. Chose nouvel pour le jeune homme, quelqu'un semble tenir a lui… Suffisamment pour, même, le sauver de la mort, suite a un incident avec, toujours cette même mafia, Mikael a perdu pas mal de sang et Ulrick lui fait boire tant bien que mal de son propre sang.
Le jeune homme se remet difficilement et de ses blessures et de ce nouveau choc psychologique, mais plus que jamais il tien a son père qui est pour lui…Tout ce qu'il possède et a qui vas tout son amour.
Mais voilà, le Calice de son père à un accident et cela révèle aux yeux du jeune hybride une autre relation, qu'il a dus mal a accepter, par peur d'être rejette, de ne plus être apprécié et enfin de gêné… Il prend doucement ses distances même si il reste a l'écoute du moindre désir de son père.
Mais il essaye en quelques sorte de se protéger, de ne pas se montrer jaloux.


Durant la guerre qui oppose Modernis et Gothic, Mikael reste d'abord discret pour ne pas dire…absent…Totalement absent au point qu'on pourrait se demander si il n'a pas tout simplement disparut de la surface de la planète. Puis…Il refait son apparition, ou plutôt il envois une lettre à son père, l'informant de son retour, même si cette lettre n'explique pas grand-chose elle est bien signée de la main de Mikael.

Et pour finir il se bat au coté des Gothic, non pas au coté des Von dast, mais au coté du peuple de Gothic city, ne voulant prendre une place qu'il n'a pas mérité autrement que par son nom et sa naissance (et encore) il préfère gagner de lui-même et de manière plus juste lui semble t'il le respect des habitant de cette ville. ET c'est ce qu'il fait, non pas avec éclat, non pas avec facilité, mais avec abnégation et…coup de hache, de ceux qui l'ont vu combattre, ils diront certainement qu'il ressemblait à un individu qui se battait avec le désespoir. Ca a toujours été la technique de l'hybride, avoir l'impression de ne rien avoir a perdre permet de pendre tout les risques.
Couvert de sang de la tête au pieds et manquant de s'évanouir souvent a la fin d'un combat, c'est ainsi qu'on le voyais de temps a autre.

Partie détaillée de votre histoire :

Durant la guerre qui opposa Modernis à Gothic, Mikaël se fit d'abord une place au sein des humain de Gothic, éffectivement ceux si virent dans cette guerre l'opportunité de se retourner contre les vampires qui gouvernaient la ville depuis trop longtemps a leurs gout et ne les concideraient, selon leurs point de vue que comme réservoir de nourriture. Il ne fut pas aisé pour le jeune hybride de se faire respecter de ces humains et encore moins apprécier, mais cela finis par arriver. Etant a leurs écoute et les soutenants quelques peut, il arriva a les faire changer d'avis. La population humaine de Gothic qui au départ désirait se retourner contre les vampires finis donc par se battre a leurs coté, certe ils étaient minoritaire par rapport aux vampire, mais sans leurs présence...Il y aurait eu comme un petit ennui allimentaire.

Par la suite, le batard de von Dast se fit apprécier de quelques nobles, qui a vrai dire l'avait d'abord perçus comme...une tache au milieu de l'arbre généalogique des von Dast. Mais ils ne purent pour finir qu'admettre qu'il était si non utile au moins éfficace. Que ce soit sur le champ de bataille ou par la résolution de petit différent, il tentait toujours de prendre en compte les principes ainsi que les différents de chaqu'un avant de tenter de résoudre un quelconque problêmes.
Bien entendu ce n'était que de petite chose, rien de comparable avec les décision que devait prendre la famille regnante, mais apr ces petites action il finis apr ce faire quelques peut apprécier et reconnaitre.

Il eu aussi d'autre "mission" quelques peut plus discrete, étant originaire de Modernis et n'ayant a pars la couleur particulierment pale de sa peau, que peut de trait qui le ratachait à la gente vampirique, quoi que a bien y regader on pouvait sans peine trouver des ressemblance avec son père. Il fut envoyé dans la ville adverse, pour mener a bien quelques tâches. Etant de la famille "royale", il restait un individu de confiance mais n'avait pas la même "valeur" qu'un fils de pure souche. Ses missions restait totalement secrete et à vrai dire il ne savait même pas si son propre père en était au courant. Il s'agissait pour la plus part du temps de renseignements à dérober, mais il lui arriva aussi de devoir etre amener a supprimer l'une ou l'autre personne et ce pas uniquement à Modernis.

Il n'y a vait de mots pour décrire l'étrange lien qui me liait dorénavent à Vaen, bien que la haine et longtemps étté le seul sentiments que je daignais lui porter, ce derneir semblait doucement s'éfriter pour donner naissance a autre chose de plus complexe que je ne voulais ou pouvais examiner de plus pret de peur de m'y perdre.

Pourtant, les chose changeaient, ou peut etr evait t'elle déja changer et ce depuis ma premiere rencontre avec cet individu imbus de lui même. A ma grande honte...Ou peut etre malgré moi, je n'avais jamais été indifférent a sa présence, la redoutant peut etre pour une autre raison que celle d'avoir la criante d'encore me voire rabaisser par ces parolles si cinglante. C'était peut etre a vrai dire cela que je recherchait chez lui...Cette eprsonnalité qui semblait me mettre face a un mur, il n'ya avait d'autre choix avec lui que de combattre, le combattre lui même. Cet individu que je détestait tant, qui me rabaissait et n'avait aucune pitié envers moi..; Ce regard qui me transperçait sans nul autre sentiments que celui qu'il ressentait pour ça propre personne.

Quoi qu'il en fus. Il me fallut longtemps pour comprendre que cette haine doucement se muait en quelques chose de différent et encore plus longtemps pour que je ne l'admette. Mais lorsqu'il m'avait laissé et était parti je ne sais ou, mon esprit n'avait pus se détacher de lui. Je me surprenait a regarder par la fenetre, a tendre l'oreille et évidemment a m'en vouloir d'un tel comportement de dépendance que je détestait tant et ne supportait pas plus. Il était facile de lui en vouloir pour cette faiblesse. Il était si aisé de le détester, apres tout, ne me traitait il pas comme son chien, comme son esclave...Le pire étant que...maintenant loin de moi je ne parvenais qu'a me sentir inutile...En me soumettant au rang d'esclave, il m'avait donné une raison d'être, une raison que j'avais apres tout toujours chercher a combler.

Pourtant...Je ne pouvais accepter cet amour qui semblait naître en moi, il était impossible, aussi bien parce qu'il était un vampire issu de la noblesse, que parce que je n'était qu'un batard et qui plus est le batard d'un prince. De toute façon, je me l'interdisait, je devais le hair et non l'aimer.

Alors pourquoi...Pourquoi a son retour, j'était rester la a le regarder, ne sachant que dire, restant muet, bien a ma place comme d'ordinaire, mes le ventre tellement serrer a sa simple présence que j'vais l'impression de pouvoir défaillir a tout moment. Certe a cet époque...Je me nourrissait si peux que le simple éffort de me porter sur mes jambes pouvait a tout moment me plonger dans l'obscurité. Mais ça seul presence me donnait la force de gardre les paupiere ouvertes. Je ne comprenait pas ce qu'il m'arrivait et n'essayais plus de le comprendre.

Et ce jusqu'a ce que Gabriel se mis définitivement en ménage avec mon père, cela...Cela me donna peut etr ela force de tout quiter et de me retrouver. J'avais crus qu'en servant Vaen, j'aurait pus trouver cet équilibre et quelques jours peut etre l'vais je trouver. Le servant, le détestant et l'aimant tout autant en silence.
Mais...Peut etre ma jalousie, peut etre la peur que Gabriel prenne la place que je pensais avoir aquis dans le coeur d'Ulrick, tout cela me poussa a partir. Puis...Aussi...une vengeance plus personnel qu'il me falait regler seul si je voulais un jour pouvoir me regardre en face.

Je disparut donc de la circulation. Cela fut pénible, aussi bien...parce que je craignais de ne jamais revoir ceux qui quelques temps avait été ma famille que parce que je craignais de perdre tut ce que j'vais aquis, allant au dela d'un danger,qui me rongeais de sa peur aussi surement que l'acide.

Mais tout semble passé, tout sauf peut etre cet amour qui avait germé doucement dans mes veines.

Je revis Vaen, peut etre par hasard, peut etre...le destin a moins que l'un et l'autre sachions pertinemment que nous serions tout deux présent sur ce maudit champs de bataille. Le temps avait passé, je l'vais revu a son insu, ne me résolvant pourtant pas avraiment me montrer. Ne sachant si ce soir la a la fenetre de son chateau, il m'avait réellement vu ou non. Est ce que notre regard c'étaient croisé, ou n'étais ce que le fruit de mon imagination...En tout cas ce regard m'accompagna durant plusieurs nuit...Ou je ne reva que de lui d'ailleurs...

Notre rencontre sur ce champs de bataille se fit au milieu de la cohue, le visage couvert de sang, mes deux hache a la main, taillant les corps dans une legere transe a peine controlée. Ce gout du sang comme seul oxygene, je n'avais pas besoin de respirer, pas besoin de voire, pas besoin d'être réellement en vie pour m'adonner a cette danse funestre. Pas tout afait moi, pas tout a fait autre, rapide et d'une triste éfficacité; la cause m'importait elle encore...Il suffisait de se laisser glisser, de se laisser aller, guidé semble t'il uniquement par la main de la mort. Je la semmais et avec éfficacité, donnant jusqu'a mes derniere ressource et impossible a arrter, comme si une fois le premier sang verser je ne pouvait trouver le repos qu'une fois à la limite de ressource. Je m'évanouissait souvent en fin de combat, ne prenant pas de repos, ne me nourissant que du sang de quelques victimes, finissant comme ceux que je laissait derriere moi, étendu sur le sol baigné de sang.

Mon regard semblait quelques instant avoir apperçus une silhouette connue, mais dans mon état je n'était pas capable de raisonné fort clairement. Ce ne fut que la nuit venue, ou seul quelques irréductible combattant restait a titiller les soldat de modernis, que je le vis a nouveau, se tenant la comme si il l'avait toujours été. Je m'étais approché, j'étais peut etre fou, surement l'étais je, une hache dans chaque main, la chemise légerement déchirée, je n'avais rien de comparable avec lui, des meches de cheveux collé sur mon front, plusieurs entailles laisant coulé un peut de mon sang, alors que celui qui recouvrait mes vetement et mon visage ne devait pas etre le miens. Cela n'avait pas d'importance, pas plus que le sol jonché de cadavre.
Pourquoi mes levres avait elles éffleurer les siennes, je n'en savait rien, peut etre voué a leurs volonté propre, ne me demandait elle plus mon avis sur des question que je n'était pour finir pas apte a débattre en cette nuit étrange.

Pourquoi m'étais je retrouvé plus tard allongé dans un lit qui n'était nullment le mien, je ne pouvait le dire, peut etre...Etais je plus blesser que je ne désirais l'accepter, en tout cas, il n'étai pas loin, son parfum me parvenait. Torse nu, un bandage m'enserrant le flanc, je n'avais eu aucun mal a le retrouver, debout a regarder par la fenetre, le soleil se lever sur un monde de flamme. Je l'avais enserrer dans mes bras le prenant sans douceur par le taille, collant mon corp au sien. Je ne lui demanda pas son avis, pourtant son regard aurait dus me faire reculer.

Notre relation a peut etre commencé ainsi, en silence. Etrangement, je savais que j'étais a lui, que je ferais ce qu'il m'ordonnerais de faire, mais non de cette façon soumie, non en temps qu'esclave. Certain me nommaient le chien de von dast. Je préferait l'appellation de bras droit. Le chien de Vaen...cela me faisait rire...Mais oui, si il m'envoyais au combat tel son chien de chasse, je le ferais sans même me retourner. La confiance...oui surement, l'abnégation, certainement aussi...Il était sure que je l'aimais. D'un amour qui n'avait besoin de preuve ou de question.

Certe, nous ne nous voyions pas tres souvent, parfois juste pour une nuit, loin des regard des autres, mais cette nuit me suffisait, je n'en demandais pas plus, aps que je n'en désirais pas plus. Mais son regard me suffisait.

Notre relation demeurait jusqu'a present secrete, nuit volée, lui a ses préocupation politique, moi au maintien des frontiere et a la gestion de notre chere cheptel d'humain Gotik.

Pouvoir spécial : Embrasement (+1)

Arme(s) : Deux haches, un révolver et une dague à longue lames dissimulée dans sa botte.

L'hybride sembla prendre ses quartier au château de Gothik apres la guerre qui déchira les deux nations. Sa relation, d'abord discrète avec le Comte Vaen Nyx finis par être dévoiler au grand jour et si il eu une constante dans la vie de l'hybride Von dast se fut bien les sentiments qu'il éprouvait pour ce vampire pourtant d'assez mauvais caractères.

Le décès de Comte Ulrick III sembla ébranlé, une fois de plus, le coté émotionnel du jeune homme qui sembla se refermer une fois de plus au monde et a ses joies. Il faut dire que Mikael avait toujours eu une vision de l'existence assez passionné mais également assez fragile. Son enfance bien que passée depuis longtemps l'avait marqué au fer rouge. Et inconsciemment, il se sentait responsable de la disparition de cet être qui lui avait été si précieux, mais aussi sur lequel il s'était reposé.

Quand a sa vie de château, c'était autre chose, il ne la vivait pas très bien et ne restait que pour la présence de Vaen. Il se sentait également responsable des habitant de Gothik. S'étant beaucoup investit lors de la guerre, il avait finis par éprouver un attachement pour ce peuple. il faut aussi préciser qu'il n'avait aucune confiance pour ceux qui vivait a Modernis. Ce peuple l'avait trahis à bien des égards.

Pourtant, il changeait quelques peut, malgré qu'il s'accrochait désespérément à ce train train journalier qui le tuait pourtant a petit feu. Il se sentait changer. Il ne parvenait plus a faire croire en son bonheur, il ne parvenait plus a se faire croire qu'il parviendrait a supporter cette monotonie. Cette existence ne lui convenait pas le moins du monde, il ne se sentait vivant que dans l'action, alors la vie de château et sa paperasse incessante, non, il ne pouvait plus.

Surtout depuis qu'un jeune imprudent lui avait révélé qu'il n'était aps obliger dans s'enfermer dans son craquant de mensonges personnel.

Des idées étrange lui passait depuis quelques temps dans le cerveau au point qu'il se demandait si il ne perdait aps tout simplement la tête. Il se faisait peur a lui même, imaginant tué Thanatos, peut etre dans le seul but de se libérer du seul être qui le reliait encore à ce monde. Il était éperdu de liberté et se trouvait malgré lui pieds et point lié par la seul chose qu'il ne pourrait détruire, l'amour qu'il ressentait pour Vaen.

De là il pensa mettre fin a ses jours et il était vrai qu'il failli accessoirement en venir au main avec Thanatos. Bien entendu son amant refusa tout nette de le tuer, par contre il l'envoya à Modernis dans le but de préparer la rébellion qui devait bientôt opposé les deux nations.
L'hybride s'en sentit a la fois reconnaissant et affecté. Il ne refuserait aucun ordre de Vaen et attendait depuis trop longtemps l'action de laquel on l'avait privé. Mais se voire congédié de la sorte lui brisait le coeur, même si il savait que la seul personne a qui il pouvait en vouloir était lui même.

Le pêle-mêle :

* Mikael rencontre à nouveau son père, qui n'est à priori pas si mort que cela
* Rencontre avec son jumeau Melo auquel il remet un portrait de son père
* Rencontre avec Faust auquel il remet des consignes pour la gestion de la ville de Gothik durant la guerre qui va avoir lieu est entre autre à l'origine de la distribution de la fortune des coffres du château.

Et durant cette année

Mikael se retrouva donc à Modernis, d'apparence, rien avait changé, il avait fréquenter la ville a différent moment et pour divers occasion qui tournait pourtant toujours autour d'un point comment, affaiblir le gouvernement de Modernis et favoriser les réseaux de vampires.

Quand a lui même, il était d'apparence toujours le même, il portait ses haches a sa ceinture et deux flingue d'un calibre tout a fait bien pendaient au coté de ses armes favorites.

Et bien qu'étant ici en mission pour un Vaen qui avait préféré l'éloigner momentanément ou de manière plus longue du château et de lui, l'hybride ressentait uen certaine excitation. Puis, oui, il avait tout de même fort changer. Pas d'apparence certes, mais il devenait doucement mais inexorablement quelqu un d'autre. Il ne vivait plus a travers les autres ou pour autrui, mais pour lui même. On aurait pus appeler ça de l'égoïsme, mais il n'était aps vraiment quelqu'un d'égoïste. peut etre apprenait il seulement a voir du respect pour lui même. Ce qu'il n'avait jamais eu.

Il était peut etre temps de vivre pour soit.

Et on l'y aida. Ou plutôt les évènement l'y aidère quelques peut.

Sa mission était simple et a la fois délicate, comme il les aimait, celle qui demandait sang froid et détermination. Prendre contacte avec quelques mafieux de la ville, s'infiltrer parmi eux et finir par savoir lesquels d'entre eux s'opposait au gouvernement en place afin de s'en faire des alliés lors du soulèvement de Gothik contre la milice de la ville. Oui, c'était le plan de base. Et comme tout plan de base, il se déroule au mieux jusqu'à ce qu'il dérape.

Et pour déraper il dérapa en beauté. Il avait entendu qu'un groupe qui se faisait appelé "Fly" se réunissait non loin d'une décharge et avait décidé de les rencontré a ce même endroit. ce n'était aps un group des mieux organisé pour cause il n'avait rien de gros dangereux ou de gens super organiser, c'était plutôt de jeunes idéaliste mais qui n'en demeurait pas moins utile. Certains d'entre eux était bien placés pour avoir des information intéressante quand à l'organisation de la milice.
Mais soit, cette nuit là fut un véritable carnage au lieu d'être une gentille réunion. Mika ne comprend pas tout de suite ce qui s'était passé, mais le résultat était là, il se retrouva avec un nombre de cadavre considérable sur les bras. Ceux du gang qu'il n'avait pas tué mais qui s'étaient fait lapider par la milice qui semblait tout aussi bien renseigner que lui même sur l'endroit du rendez vous.
Puis sur les cadavres de la milice, car un Mikael énerver c'est jamais très amusant a voir a ses trousse, surtout que l'hybride devenait un rien enrager une fois qu'il commençait à hacher de l'humain.

Soit, il en suivi que la milice avait une forte envie de vengeance et que les gangs le croyaient à l'origine de l'extermination des "Fly". Mais Mikael ne compris peut etre pas assez rapidement qu'il était temps de regagner Gothik, ou peut etre était il un peut trop shooter à l'hémoglobine que pour se calmer. Après tout il se sentait vivre et ce genre de vie empli de risque lui plaisait bien plus que le reste, ou était ce peut etre pour ne aps penser à Vaen qu'il préférait risquer sa vie dans ce quartier de Modernis ou il avait passé son enfance.

On entendis donc parler durant une bonne semaine d'un hybride qui semblait, selon les journaux, décimé la plus part de la ville, semblant choisir ses cibles parmi la milice et les gangs pro-vampire (évidement, les journaux écrivaient ce qu'on leurs laissaient écrire ) Le tout sembla prendre fin dans l'incendie d'un bâtiment de la milice qui servait de prison.

Le calme sembla revenir quelques jours apres et on ne parla plus de l'hybride quia avait du périr dans le carnage avec la plus part des détenus et des gardiens. On en fit pas mention non plus des haut gradé qui avait été emprisonné, par inadvertance dans uen des cellules.

Je laissa mes pat se perdre parmis les ruelles. Le silence semblait totale, pourtant il ne l'était pas, je percevais le miaulement d'un chat dans une rue voisine. Le feulement du vent parmis les feuilles et le son de mes propres pas comme éffleurant le pavé.

Le silence regnait pourtant, un silence lourd, peusant et pourtant il m'éffleurait à peine. Il me semblait que j'aurais pus m'arreter au milieu de cette ville, au milieu de cette rue, le temps aurait continuer a tourné et je serait rester là, tel une statue de poussiere qui aurait finis par s'éffriter, par disparaitre. Rien n'est immuable, rien ne persiste, tout finis par disparaitre, tel les souvenirs qui se gome sous la masses des pensées qui nous anime.

Le temps ne paraissait pourtant n'être qu'une chimere a nos coeurs, mais le temps nous rattrape, nous dépasse et nous fait oublié ce qu' un moment nous semblait si important.

Rien, voila a quoi se résumait notre univers, un Rien empli de tant de choses futile auquel nous donnions une importance. Nous fatiguions nous a donner un nom a des choses inomable, des choses que nous aurions dus laisser dans l'oubli. Qu'est ce qui avait réelement de l'importance, quels étaient ces rares choses qui mértait plus qu'un simple coup d'oeil.

Mes pat se perdaient dans le brouilalrd de la nuit, comme, dans le brouillard de mes pensée, m'était je toujours égaré a penser. M'étais je égaré a aimer ? Mon âme et mon coeur me disait qu'il n'en était rien, mais la réalité est elle se qu'on pense ou se qu'on ressent, ou est elle autre ? Et si oui, comment la trouver au dela de nous même.

La lune aurait pus éclairer ma route si les nuage d'un mois d'octobre ne l'avait dissimuler aux yeux égaré cherchant un peut de lumière dans leurs exisance.

Oh, non, ne croyez pas que ce regard est emprunt de tristesse. Ne croyer pas que mes paroles sont pour les âmes douloureuse. Il n'y a pas d'espoir sans ombre, pas de lumière sans obscurité. Peut-être mon âme cherche t'elle à retrouver un chemin connu, celui qui m'est familier, peut etre mon coeur rôde t'il sans fin vers cet état d'esprit empli d'incertitude. Peut être que je préfere seulement marcher dans les brumes que de me bruler les ailes à un soleil trop radieux.

Oui, je prefere la nuit, mais une nuit étoilée.

Tristes ? Pourquoi le serais-je ? Mélancolique ?

Non, pourquoi chercher, alors que je suis juste moi. Je souris. Je sais que c'est moi qui cherche, qui cherche a me définir. Qui suis je ? Que suis je ? cette question m'a souvent obsédé, je me perd dans mes question plus que dans mes réponse. J'ai pourtant appris que j'étais se que je désirais etre et qu'il ne falais aps toujours aller chercher bien loin, mais juste accepter...Juste accepter, c'est déja tellement.

Aurais-je été différent ? A quel point ce qui nous arrive change notre destin ? Qui peut donc avoir de réponse a ces questions ? Et en quoi ses réponses nous avanceront elle ? Peut etre en rien, peut etre en regret. Pourquoi croire que les malheur qui nous sont arrivé , nous ont fait changer en mal ? Ho, non, je ne maudis pas mon histoire. Peut etre..Oui, il m'arrive de lui en etre reconnaissante, a mon histoire, a mon vécu. Elle m'a apporter ce que je suis devenu, celui que je suis aujourd'hui. Mais toujours se doute, toujours ses peurs, ses pensées qui me ramene, qui m'entraine vers les doutes, vers les craintes, les pensée noire, poisseuse, emprunt de dégout, je ne peux m'en défaire, elle me font baisser les yeux, elles me font craindre, craindre de ne relever la tete. craindre de ne pas etre ce que je suis.

Pourquoi toujours ces chanson triste, pourquoi ce désir d'ombre et de vent, de mer déchainer, de cris d'oiseaux, de rue déserte. Pourquoi cette solitude et ce brouillard, parce que je les connais ? Pourquoi cette tristesse immense devant la beauté, devant le monde qui s'éveille, comme si tout pouvait m'être arraché, comme si tout était faux et pourtant bien réelle ?

Ou allons nous ? Ou est cette liberté qui me brule les veines, cette liberté qui me fait sourire alors que le vent se leve. Suis je seul ? Je voudrais croire que non et j'entend bien ces voix qui m'affirme qu'elles sont présente. Mais lorsque les paupières closes, on regarde au dedans...Y a t'il plus que le néant de mon etre..