Hem...je pense que je dois avoir la plus longue page d'absence et d'excuse d'absence, qui n'est d'ailleurs pas du tout à jour...mais étant absente c'est...normal (du moins selon ma vision des choses)
Bon excuses brèves à la population, prière de ne pas me lancer d'orange, de tomate pourries et surtout pas de pommes de terres pour me faire remarquer que j'ai exploser mon record de jours d'absences et surtout, qu'il est très mal éduqué de ne pas donner de nouvelles.
Mettez ça sur le dos de Faust, qui ne possède qu'une éducation qu'on ne peu comprendre tout à fait, même si on le voudrait bien. Moi même je m'en étonne encore chaque jour. Les révélations de l’existence d'une manière de penser autre sont si étrange qu'il me faut au moins cinq minute pour qu'une certaines lumière vienne illuminer mon esprit qui ne cesse de s'embrouiller dans ses propre pensées. ( si vous ne comprenez pas cette phrase, j'en suis navré, mais comme vous aurez pus le remarquer, les neurones, le cerveau et les pensées divers n'ont pas profiter de mon absence pour se forger à une certaine logique)
Bon, je chavire totalement dans mon motif d'excuse qui n'en sont pas.
Et comme écrire me manque. Je vais vous raconter l'histoire de petit.... Non ce sera pour une autre fois celle là. Mais sachez que j'utilise mon temps (pas libre) pour travailler durement. Boulot, saxo, éco (nomie) Et bientôt les fêtes qui se profile à l'horizon porteuse de nombreuses heure sup....géniale...
Ha oui, et grande révélation de la semaine, que je dois absolument partager avec tout individu humain ou non.
La petit phrase "je suis respectable" (il me faut toujours dix minute pour m'en souvenir comme si les terme même prenait plaisir à m'échapper...
ET Faust et Mika on cas en prendre de la graine. Savez vous qu'il n'est pas nécessaire de souffrir pour avoir du plaisir. Non, bon j'entend déjà les esprit mal tourné...même si nous savons qu'il n'y en à pas ici. Mais franchement, moi c'était une révélation ! (raison pour laquelle j'en fait grand cas) Comme si le bonheur, le plaisir, la joie devait bien avoir un rpix et que plus on souffrait, plus on avait une certaine chance de connaitre, comprendre ce plaisir. Ou c'était plutôt dans l'autre sens. Comme si, on était redevable d'une petite minute de bonheur, comme si en cultivant la souffrance on avait par la suite droit au plaisir.
Mouis bon, explication étrange eut être peu ou certaine illogique...mais qui m'a tout de même valut d'apprendre que j'avais apparemment (pas tt a fait convaincu) assez souffert et que j'vais donc à présent droit d'avoir du plaisir jusqu'à la fin de ma vie...si c'est pas génial ça !!!
Et sur ces bonne parole, je vais m'arrêter, si non je vais réussir (exploit commun) à faire un roman fleuve avec...une simple absence.
Ha oui ;-) bonsoir à tous, et au plus vite ;-)
Moi