Ha ! Que faire de sa journée, de sa nuit, de son après midi, quand on est le Comte de Gothik...?

Seul, abandonner de tous, adorés des plus fou, détester des plus ou moins censé...

Non, ce genre de pensée ne frôlait pas l'esprit Faustien qui se repaissait des plaisirs simple de la vie. L'hybride ne se demandait pas que faire de ses journée et encore moins de ses nuits.

Dés l'aube naissante il était en pleine activité. Et pour ne pas changer a ses bonnes habitudes Faust déambulait d'un pas bondissant à travers les couloir du château.

L'endroit avait bien changer depuis le début de son Faustien règne. Le Château s'était réellement métamorphoser pour devenir le palais ou l'hybride logeait. Les tapisseries s'étaient vu décrocher pour ne pas dire arracher des murs, il est vrai qu'a force de jouer à tarzan...Puis quelques pièce avaient succomber sous les flammes, mais cela ne les rendaient nullement inutilisable. Au regard de Faust, l'endroit avait un air nettement plus amicale depuis que la suie et les cendre s'était répandu sur le sol. Les tables ou les von dast se réunissait par le passé pour festoyer avait quelques peut perdu de leurs lustre. Les chaises et l'argenterie avait disparut dans les bras surchargés de quelques voleur. L'habitude était donc apparut dans les mœurs de s'asseoir à même la table. Il n'était d'ailleurs pas rare de voire Faust y faire un petit numéros de tripes et de tête. Et le seul serviteur qui restait dans le château s'était habitué a décrocher les tripes et intestins du lustre. - serviteur qui se sentait trop redevable envers la famille régnante des Von dast que pour penser abandonner les lieux, le pauvre individu avait eu quelques belles frayeurs depuis l'arrivée du nouveau "comte".

Bon, on passera la nouvel peinture de quelques endroit ainsi que l'amalgame d'affaires que Faust semblait affectionner. Effectivement, l'hybride semblait plus matériel qu'il en serait parut au premier coup d'œil et gare a celui qui se risquait dans ses appartements du château. Faust avait installé ses quartier dans les prison du château. Prison qui de toute façon n'hébergeais plus que lui.

Donc en cette matinée, Azrael Pendragon, Comte de Gothik chantonnait dans les couloirs, une petite comptine déchirante et amusante, parlant d'un garçonnet auquel on aurait couper les mains pour le punir de son déli. La chansonnette finissait par un petit rire aigus. Après quelques pas de danse l'hybride sauta par la fenêtre pour atterrir dans un jardin qui jadis avait ressembler a autre chose qu'une jungle mêlé d'un sanctuaire.

Pendragon était vêtu de son chapeau de Fou fétiche, qui grelotait joyeusement à chaqu'un de ses mouvements, il se rendit compte avec un air ravis qu'il venait d'écraser un chat qui continuait de miauler avec une voix étrangement plaintive. A croire qu'il souffrait... Faust se pencha donc vers l'animal agonisant, fronçant légerment les sourcil. La gueule de l'animal s'ouvrait et se fermait dans une étrange mécanique de survie. A croire qu'il désirait dire quelques chose, mais non...seul un léger bruit de sifflement se faisait entendre. Apres donc quelques réflexion, une griffes unique s'enfonça dans le corps de la bête, ainsi, elle n'aurait plus a chercher l'oxygène avec tant d'acharnement.

Faust, quitta donc la demeure familiale vêtu d'un simple "pantalon" si du moins se nom pouvait convenir pour le vêtement de tissus qui semblait avoir connu des jours plus resplendissant. Ses mèches de cheveux noir sur son visage d'un blanc neige semblait une offense à la nuit alors que ses pieds nus frôlait le pavé plus qu'il ne le touchait. Cabriolant, le torse dévêtu il finis par s'arrêter, il lui semblait avoir oublier quelques chose, voire perdu...Mais quoi donc ? L'image fugitive d'un être au nom d'archange lui effleura l'esprit avant qu'il ne se souvienne qu'il n'avait pas arborer les entrailles du félin comme il était a son habitude de le faire.

Non...Il était sure qu'il lui faudrait bientôt changer d'air et aller visiter d'autre garde manger, Gothik, certes le divertissait toujours autant. Mais d'autre âmes plus belles demandaient a s élever vers les cieux pour leurs dernière voyage. Son aide était indispensable, lui messager des derniers soupirs.

Ulrick était fier d'avoir retrouvé son pouvoir de séduction. Cela lui allait tellement mieux. Bon, certes, il avait aussi perdu pour le coup son pouvoir sur son armée. Et ne pouvait plus investir la ville de Loki pour le tuer. En clair, sa mission sacrée de la famille était compromise. Afin de retrouver l'inspiration, Ulrick s'était décidé à retourner au lieu de tous les commencements. Au moins le sien. Gothik City.


La vieille ville était tellement différente du moment où il l'avait quittée qu'Ulrick prit une seconde de réflexion, nécessaire pour vérifier qu'il était au bon endroit. Pourtant, il reconnaissait bien la topographie des lieux, les noms des rues, l'aspect des maisons. Alors pourquoi tout était si lugubre ? Où était la vie. Pourquoi y avait il si peu d'humains dans les rues, malgré qu'il fasse nuit ?
Ulrick s'avança sur les pavées, son épée résonnant étrangement dans son fourreau. Jusqu'ici, il n'avait pas remarqué que la lame était un peu mince par rapport à son contenant. Il croisa bien des gens, des vampires. Gothik City n'était pas devenue une ville fantôme. Mais tout semblait beaucoup moins vivable.
Le prince s'aventura vers les bas fonds, craignant d'y découvrir quelque chose de pire encore. Et à vrai dire, il ne savait pas si cette crainte s'était concrétisée. Parce qu'il trouva Faust, son hybride de demi-frère.

"Faust..." souffla-t-il, sans déception mais sans joie non plus.

Ulrick contempla l'hybride un instant, s'attardant sur sa mise pour le moins négligée. Il était nu pour moitié et son seul vêtement était presque trop abimé pour les clochards. Le prince prit une inspiration inutile et fit un pas en avant. Il devait profiter de cette présence pour le moins inattendue.

"Mon frère, je vous salues. Dites moi, savez vous pourquoi la ville parait si triste... Si morte ? Est ce la faute de Loki ?"

Ulrick avait entre temps dégagé son visage de son éternelle écharpe, à présent bien en lambeaux. A dire vrai, il ne valait pas beaucoup mieux que Faust en matière d'habillage, même si son corps était recouvert d'une combinaison en cuir. Dans cette petite rue était visible la déchéance de la noble famille Von Dast.

"Faust..."

L'intéresse, cessa de gesticuler en pleine élan de pirouette, ce qui donna un arret sur image des plus parfait une main en l'air, un sourcils froncé, une jambe a demi fléchie, les doigts gesticulant sur un air de musique qu'il devait etre le seul a entendre.

Il lança à l'interlocuteur un regard désapprobateur. Oui, c'était lui Faust..;Et qui donc l'importunait dans un moment d'une tel importance, en pleine chorégraphie. Les douce lèvre purpurine exprimèrent une mine qui pouvait faire pensée a du dégout à moins que ce ne soit une mine gourmande, le genre d'expression qu'on pourrait apercevoir sur le visage angélique de l'hybride lorsqu'il lorgne avec intérêt son future repas...D'ailleurs, n'étais ce pas l'heure du souper..;Et qui se présentait à lui...? Son apéricube, a croire que son pouvoir était si immense qu'il faisait venir a lui le plus délicieux breuvage que son gosier aie pus connaitre...

L'appéricube repris la parole, emplissant la ruelle déserte du trémolo de sa douce voix.

"Mon frère, je vous salues. Dites moi, savez vous pourquoi la ville parait si triste... Si morte ? Est ce la faute de Loki ?"

Faust haussa un sourcil fin et noir au dessus de son regard tout aussi sombre. De un, ce vampire lui disait qu'il le saluait et ne faisait même pas mine de s'agenouiller pour baiser ses royales pieds - pieds nus évidemment qui avait entre autre écraser un chat puis avait quelques peut trainer dans les rues, si propre de gothik-

- Triste mon Prince ? Mais Mirlipili, seul le cœur de l'aveugle est triste lorsque la nuit chante de votre parfum enivrant !

Faust fit une pirouette digne d'un Azrael et se planta devant son demi frère, approchant son joli minois du nez du von dast jusqu'à se que les mèches de ses cheveux d'ébène vienne chatouiller le visage de l'appéricube.
Les mots furent soufflé avec une douce tendresse au nez du vampire, tel une confidence intime.

- La mort n'est elle pas une douce poésie ? Ne désirez vous pas en écrire un vers - Un doigt effleura le tendre coup du petit prince - Je pourrais m'y employer avec votre sang

Cela sonnait comme une proposition.

- L'archange a quitter la place emportant avec lui les âmes pensant que peut etre le rêve est une chose apporter de leurs âmes. Stupide humains, stupide être que ceux qui pense que le bonheur est accessible autre parts. Il ne le cherche pas dans leurs âmes, non mais a porter de leurs jambes, loin des terres de leurs cœurs. Stupide etre...

Faust semblait perdu dans ses pensées, du moins jusqu'à se que ça mains ne vienne durement gifler la joue du dit prince.

- Vous m'avez l'air pâlo, voila pour votre circulation sanguine !

Comme quoi il s'intéressait a la bonne santé de son repas.

Le princounet ne sembla apprécier les soin cutané et sanguin que lui prodiguait son demi frère d'hybride. Ce dernier haussa un sourcil quelques peut interrogateur et perplexe, ainsi, Ulrick faisait preuve d'une certaine prudence, c'est du moins se que déduis Faust en le voyant reculer. Une mains pâle vains même se poser non loin de la lame qu'il gardait a ses cotés. Peut être le vampire désirait il faire un BBQ parti et rôtir Satan sais quoi sur cette pique.

L'hybride sembla trouver le moment opportun pour bailler a s'en décrocher la mâchoire, puis par s'étendre comme si il sortait de son petit lit.
Non, en fait il ne sortait aps de son lit, mais il avait les muscles quelques peut tendu a force de rester trop tranquille et l'envie d'agitation commençait a envahir ses petits doigts qui se mirent a s'agiter dangereusement, il enfila d'ailleurs d'un air distrait ses gants garnis de griffes avec un petit sourire sur le visage.

Puis...un sourire amusé vins éclairer son visage alors qu'un parfum de sang se mis a flotter généreusement dans l'air, même malheureusement a une odeur moins agréable, celle de la violette, Faust préférait assaisonner ses plat au cumin ou encore à la salive de Buerenos de trois ans d'age veilli en fut de cyprès de Cyber.

Il suivis les mouvement de son frere avec un petit rire.

- Mirlipili, notre Apéricube tranche l'air plutôt que la chair....hihih, il tente d'aéré la nuit en la coupant en petite pièces.

Il fit un petit saut de coté tout en examinant la brique et une langue rose passa sur ses lèvres, comme si il s'apretait une fois de plus a déjeuner.

- Hihihi, il pleut des brique sur la tête du Prince, quel douloureux poids que celui du souvenir, souvenir de pierre et de demeure. Hihihi, Mirlipili !

Non, il ne riait pourtant pas vraiment et son expression demeurait étrangement sérieuse alors que son regard avait perçus, comme celui de son frère semblait il, un mouvement furtif dans les ombre de la rue. Ce n'était aps vraiment un mouvement en soit que les deux chasseur avait capté, mais plutôt un déplacement de l'air accompagné de parfum divers.

Il y eu soudainement un bruit déchirant alors que des éclairs de lumière surgissait du néant pour atterrir autour d'eux, a croire qu'un orage très local avait décidé de se déclarer les entourant de lumière aveuglante.
Plusieurs pavé de la ruelle se virent éclaté sous la foudre, l'air semblait, a juste titre, etre saturé d'électricité au point qu'un chat qui jusque la avait eu la bétise de rester a observer la scene du haut de son muret vis bientot ses moustache frisé puis roussir alors qu'il prenait la fuite avec un bruit de miaulement offensé.

Ce ne fut pas le seul à réagir avec un rien de mauvaise humeur, car un éclair déchira l'air juste a coté de la tête Faustienne qui fut fugitivement éclairer d'une lueur meurtrière avant de passer a quelques chose de pire. Pour cause un grelot Faustien venait d'être touché et le cris de l'orage ne fut rien par rapport au cris de Faust qui devins d'une pâleur proche de celle d'un fantômes de trois génération. Le regard brillât d'un reflet rouge qui ne présageait rien de bon.

- CRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!

Azrael Pendragon pris le temps de retirer son couvre chef avec une douceur qui n'avait rien a voire avec son expression, il s'attarda un court instant sur la contemplation du grelot grillé qui semblait chauffer au rouge mais miraculeusement indemne, a croire que le couvre chef avait des propriété isolante, voire, para tonnerre.

Quoi qu'il en fut, le chapeau retrouva sa place première, mais il ne fut pas de même pour l'hybride qui semblait pris d'une rage incontrôlable et s'élança dans la ruelle, apparemment décidé a mettre toute chose sur son chemin en pièce. D'ailleurs un malheureux individu se vis déchiqueter et avant même qu'il ne comprenne ses tripes se répandirent sur le sol alors qu'il terminait à peine de dire bonsoir a l'individu qui était passé devant lui comme une flèche et qui continuait sa course, direction, la violette ambulante et le faiseur d'éclair, car apparemment ce micro-climat n'était pas des plus naturel.

Ulrick avait le dos tourné lorsque Faust se mit à bailler. Heureusement, sinon il s'en serait trouvé fort contrit. Il fit volte face en entendant des cliquetis et des frottements de métal dans l'air. Faust avait revêtu ses terribles gants. Ainsi donc, il tenait à ne pas laisser cette attaque envers un Von Dast et un frère impunie. Fort bien. Sauf qu'il se permit tout de même d'émettre quelques moqueries à l'égard du prince. Que ce dernier n'apprécia que moyennement, fronçant méchamment les sourcils au dessus de ses yeux aux iris particuliers.

"Je ne te permets pas de proférer de telles..."

Il stoppa sa phrase, alors que Faust poursuivait sur la météo, très curieuse. Oui, car il pleuvait des briques. Ulrick s'était donc lui même interrompu à cause de l'odeur qui régnait. Il raffermit sa prise sous la garde de son arme et fouilla l'obscurité des yeux. Mais la vampire au parfum de violette était bien cachée. Cependant, il n'y avait pas que cela. L'atmosphère s'était soudain faite plus lourde. Orageuse.

- CRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!

Et la foudre avait éclaté. Cependant, Ulrick avait remarqué que tout cela n'était pas naturel. Comment cela aurait il pût l'être ? Lui avait été épargné, sauvé par les grelots de son hybride de demi frère, qui avaient attiré la foudre bien mieux que son épée. Le prince observa le changement chez Faust, brutal. Finies les petites plaisanteries énigmatiques et les sourires malsains pleins de joie infâme. L'hybride bondit en avant, à la poursuite de la violette en fuite. Le parfum s'était considérablement estompé après l'attaque.

Ulrick, l'épée au poing, cria en levant les bras :

"SUS A L'ENNEMI !"

Il allait courir en avant à la suite de Faust lorsque sa lame le tira en arrière, alors qu'il avait toujours le bras en l'air. Le prince glissa et se rattrapa juste à temps pour ne pas atterrir sur le cul. Il leva la tête. La lame s'était empêtrée dans un fanion de boutique, une chose immonde avec un gros cochon en armure. Ulrick tira un coup sec, tranchant la publicité absolument abominable de la charcuterie, et s'en fut.


Ulrick retrouva Faust sur une petite place, mais il n'était pas tout seul. De l'autre côté de la statue de son défunt grand père Friedrich von Dast, cinquième du nom, il y avait deux autres vampires. Une dame, ainsi qu'il l'avait deviné, et un homme.

La dame était vêtue d'une robe blanche aux imprimés en forme de violettes. Le tissu était léger mais les jupons assez nombreux pour rendre d'impression sa taille encore plus fine qu'elle ne devait l'être avec son corset. Ses épaules étaient nues, mais ses coudes retenaient un voile mauve contre son dos. A la main, elle tenait une petite bourse blanc nacré, certainement en soie.
Sa peau était pâle, son visage rond aux traits extrêmement fins. Sa bouche était peinte d'un rouge vermeille luisant. Ses yeux soulignés de noir. Ses paupières rehaussées de mauve.
Ses cheveux étaient d'un blond cendré lumineux, les boucles loin d'être naturelles relevées sur sa tête. Une anglaise laissée libre caressait sa clavicule.
Elle ne semblait pas particulièrement agressive, avec son air tranquille et amicale.

L'homme était plus difficile à décrire. Mis à part son visage, son corps était recouvert d'une cape sombre en laine. Il se tenait si droit et le vêtement était taillé tellement à l'exactitude qu'on ne décelait aucun membre. Son visage était anguleux mais pas grossier. Il était lui aussi maquillé, légèrement, lui donnant des couleurs presque humaines, bien qu'exagérées pour un mortel. Ses cheveux châtains clairs, mi longs, étaient lisses et noués sur sa nuque. Et il dégageait une forte odeur de métal. Son déguisement ne prenait pas. Un Cyber.

Ulrick se rapprocha doucement de Faust, comme s'il craignait de se prendre un coup de griffe s'il venait à lui faire peur ou le brusquer.

"Prenons garde. Ces gens ne semblent pas être des trouble faits ordinaires."

C'était un fait.

[ rhhhaaa regardez moi cet ava et que dire de cette signature, avouez donc que seul ce regard vous est nécessaire pour savoir ou est votre place....]

Le début de course à pied mode rally et embrochement venait de commencer. Les score était de un partout. Le suspens demeurait entier. Dans la catégorie C.H.M.B (Comte Hybride Mode Berzek ) on notais déjà un embrochasse de passant; injustifié mais coloré. Et dans la catégorie P.E.C.D.M.T.E.V ( Princounet Ex-Comte Décédé Mais Toujours En Vie ) On notais un embrochement de cochon en armure et en bois, fait rare, le cochon était suspendu au dessus du sol et ne hurla même pas lorsqu'il fut transpercé d'un coup d'épée des plus artistique et sauvage.

"SUS A L'ENNEMI !"

Faust manqua de se trébucher, sa frénésie colérique manqua elle aussi de disparaître dans un excès de confusion. Un sourcil sombre se leva alors que les connections semblaient se faire tout en explosant au passage des neurones cyber perfectionnés qui filaient tel des météore créant par la même occasion un champ magnétique intemporel qui serait sûrement à l'origine de la fin de monde et du début d'une nouvel air ou les alligators ressemblerait a des puces et ou les papillons serait les prédateurs les plus monstrueux qu'on puisse trouver. Seul chose qui ne changerait pas...Les lapins seraient toujours au pouvoir et d'une dangerosité inconcevable...

Ainsi le Prince...Suçait ses ennemis...certes, ce devait etre une méthode...radical...Faust ne faisait-il de même d'ailleurs...

Il repris donc en coeur, uen fois d'accord avec ce principe qui consistait évidemment à...

- SUçons l'Ennemiiiiii ..iiiii !

Le "i" c'était quelques peut enrayer sur la fin, mais rien de grave...certainement dus à un excès de motivation. C'est qu'en matière de vidange sanguine le Fou s'y connaissait !


Le von Dast et demi finirent par s'arrêter face à la victuailles. Faust avait un sourire qui aurait fait fuir n'importe quel moustique et même les lapin devait trembler quand à l'ancêtre auquel il jeta un coup d'oeil calculateur, il n'osa plus bouger d'un demi centimètre et se fit sagement passé pour uen statue. c'est qu'il y en avait qui était moins con que d'autre dans l'assemblée.

Il y avait évidemment le responsable du déluge grelotique. D'ailleurs Faust agita ses griffes à l'idée de les resserrer lentement autour de ses intestin et de doucement tirer. Il espérait qu'il vivrait longtemps....Puis...il y avait l'autre chose, celle qui sentait la plante.

"Prenons garde. Ces gens ne semblent pas être des trouble faits ordinaires."

Faust jeta un rapide coup d'oeil au trépassé, enfin, celui qui était a ses coté, l'air de douter de sa raison mental.

- Il n'y aucun garde à déguster ici...- non, vraiment, Ulrick devait avoir des soucis de vision, c'était fâcheux, à son âge - je les ai déjà tous sucé

Faust semblait tenter d'être compréhensible pour son "cadet", réutilisant ses mots afin de se mettre à son niveau de compréhension. Mais quand au reste de ces dires, il avait tout même du mal a comprendre.

Un nouveau coup de tonnerre se fit entendre mais avant qu'il ne tombe sur le royal, comtal, couvre chef, du chef non démocratique de cette belle cité courant à la destruction, le Fou fit une cabriole et apres quelques autre petits saut agile se retrouva...on ne sais trop comment dans les bras de la statue.

- Ne fait pas semblant de ne pas me voire toi, c'est très ma éduqué..;tu sais ça ! Et tu as une tache sur ta joue...

Apres cette information fournie à l'ancêtre il sauta au bas de son pied d'estale pour se retrouvé face a Mr l'éclair, grinçant des dents de manière menaçante avant de lui attraper la main avant que le pauvre cyber ne puisse faire le moindre mouvement. Une microseconde plus tard Faust tenait entre ses mâchoire un doigts dont la chair avait préalablement était arrachée. On pouvait donc distinguer une ossature métallique qui crissait de manière bien désagréable à l'oreille alors que le Fou ne lâchait pas prise.

Mr éclair sembla d'abord amusé. Car si Faust pensait lui faire mal ce n'était aps le cas. Mais voyant que l'individu au Chapeau ne semblait pas le moins du monde désappointer par le morceau de métal qu'il tenait entre ses mains il perdit un peut de son sourire jusqu'à apercevoir celui du New Comte qui mâchonnait de manière carnassière.

Il y eu un crissement des plus étrange alors que les dents de l'hybride ripaient quelques peut sur le métal de la main cyber de Mr l'éclair, le dit Monsieur sembla quelques peut désorienter par les goût gustatif de Faust. Mais son expression ne fit que s'accentuer, variant de l'étonnement à l'angoisse que suscitait invariablement le regard assassin et a la fois quelques peut déranger du demi von dast avant qu'il n'exécute une de ses consommation abusive de bipède ou tout autre chose qui pouvait d'ailleurs être consommée.

Faust semblait lui aussi fort mécontent, premièrement on essayait de le griller, lui et son couvre chef adoré, puis, on le trompait fort impoliment sur la marchandise. Il y avait des choses, comme ça, qui avait tendance a fâcher et à mettre de fort mauvaise humeur un hybride, qui avait, dit on, tendance a être d'humeur instable. Ou du moins d'une stabilité qui déconcertait.

- Tu vas mourir espe...graggnneulrgg

Non, le "graggneulrg"n'était pas une espèce de Faust, c'était plutôt le cris étrangler d'un individu qui viens de se rendre compte que ses menaces ne servent plus a grand chose alors qu'on a les dents de son ennemis enfoncés dans sa jugulaire. Pourtant, l'heure du thé, chaud et visqueux, ne dura que quelques secondes, même pas de quoi se faire un jugement objectif sur la qualité du breuvage qui avait de toute façon un arrière goût de souffre et d'huile a moteur, c'est dire la qualité.

Car, oui, l'abreuve ment fut interrompu et de manière...Abrupte, voire...electrocutante !

La petite place fut subrepticement éclairé, prenant des allure de discotheque, quand à la musique, elle ne serait certainement pas au goût de tous. Pour cause, elle se limitait a des "arggh" (on aime bcp les "argh") a des choc en tout genre et a des cliquetis étranges...

Les déchargent furent donc de toute beauté et assez artistique étant donné que Faust ressemblait a un pantin et que cela lui allait plutôt bien. Il n'avait pas pris le temps de se lisser les cheveux durant trois quart d'heure se matin, c'était une chance, car a présent son brushing était remis a neuf avec une crête éparse et indomptable qui était encore parcourue de petite éclairs. C'est qu'avoir le corps parcouru de fil métallique (pouvoir de Faust) ça avait le point "positif" de laisser passer le courant. Comme quoi...avec Faust, le courant passait bien.

Enfin, la soirée disco pris fin abruptement, comme quoi, les choses ne se passait pas souvent en douceur dans ce genre de soirée. Après uen chute de corps en groupe, tel une chorégraphie pentatonique et un dernier soubresaut, Faust se releva seul, le couvre chef un peut désorienter et les griffes émettant de petit étincelle. L'autre...bha...il semblait en surchauffe...un cours circuit certainement.

Il y eu a ce moment...un son étrange, quelques chose du genre "salope". Faust tourna la tête vers un spectacle des plus...ignoble, navrant, déroutant, perturbant et affreusement, oui... affreusement imbécile et faisant preuve d'un grand gaspillage des ressources.

Bon, le mot d'oiseau "Salope", resta au second plan dans l'esprit Faustien. Mister Princounet invoquait peut etre par ce nom un dieux tout puissant ou quelques chose du genre, a moins que ce ne soit la déesse des rats...Soit...Il y avait dans ce spectacle quelques chose de franchement rébarbatif. Puis...bheuuuu, ça puait, oui, cette chose en dentelle puait franchement, Faust n'aimait aps du tout cela.

- On ne gaspille pas !

Faust avait trottiner jusqu'à la chose violette et puisque elle avait les main fort occuper il les lui trancha avant de l'attraper par la tête et de la secouer tel un prunier. Il faut rappeler que notre hybride était de mauvaise humeur.

- Mon souper, vous venez de gaspiller mon souper ! Vous y avez pensez à ça ! Qu'est ce que je vais boire maintenant espece de chose rosâtre et sans substance !

Il la secouait sans ménagement, si la demoiselle ne se fracassait aps la nuque c'était une chance.

Faust jeta un coup d'oeil à Frifri a ce moment là. Cet idiot faisiat toujours semblant de ne aps bouger comme si il était changer en statue et a voire sa tete, il avait bien besoin d'un rafraîchissement. Faust jeta donc la chos een dentelle au pied de la statue avant de se retourner vers Princounet avec une expression qui semblait franchement navré de e voire dans un tel état...;tout se bon sang perdu...quel honte !

L'hybride détourna le regard, peut etre ce spectacle lui était-il trop pénible. Ce sang d'un carmin rubis répandu sur le sol...Quel triste fin pour cette douce hémoglobine qui aurait pus, si le destin l'avait ainsi voulu, se répandre tel un voile voluptueux sur sa langue et envahir ses sens.

Diantre ( ...a force de fréquenter la noblesse...) comme c'était triste...

"Et bien. Quelle aventure. Mais au fait, que deviens-tu, mon frère ? Et que devient la ville ? Vaën mène t il bien son affaire ?"

Faust retira une de ses griffes d'entre ses lèvres, alors qu'il la suçotait avec application et une certaine résiliation il est vrai. Regarder toute ces perte gastronomique le mettait dans un tel état qu'il décida qu'une petite promenade loin de ces parfum voluptueux ne serait pas plus mal. Puis a voire le Prince, celui-ci paraissait en grande forme, une promenade au clair de lune ne serait donc pas plus mal, même si il faisiat nuit noire.

- Vane ? Son affaire ?

Il haussa un léger sourcil, semblant chercher de quel être il s'agissait là et de quel affaire...Cela lui revint, comme quoi...C'était l'ignoble cadavre a qui il avait emprunter un organe apres l'avoir empaler sur le sol de sa chambre, une agréable journée que celle là. C'était aussi le même individu qui possédait son grelot noir, un de ses petits chéri qu'il devrais récupérer dans quelques temps. Grelot....Que le prince lui avait donner, malencontreusement. Ce qui expliqua le regard noir qui s'en suivi et la langue qui passa avec lenteur sur la rangée de dents sans quitter le dit Prince du regard. A croire que l'apéritif allait enfin etre exécuter. Seul hic pour une tel chose...Et c'était vraiment navrant...L'apéricube venait de perdre de sa substance sous les cisaille de dame violette. Damnation que le monde est injuste un soir de pleine lune sans lune !

- Messsire le Comte...

Oui, voilà qu'il devait reprendre son frère sur son propre titre, c'était bien ainsi que l'un des dernier serviteur du château l'appelait a longueur de journée. peut etre essayait il de rappeler a l'énergumène d'hybride quel place il se devait d'occuper.

- Mirlipili trouve cela ridicule...La ville doit bien se porter et ses habitants retrouver une vie correcte. Mirlipili ne peut même pas confectionner des collier avec leurs tripes. Pourtant quand la mort viens rien ne peux l'empêcher. C'est bien ce que Mirlipili a répondu a ce demi-......."neveux"

Faust avait un peut de mal avec les lein de parenté, a quoi bon s'en rappeler ça ne servait de toute façon a rien..sauf point de vue gustatif.

- Nous avons donc fait comme il a dis, nous avons distribuer les dringuel qui subsistait dans les coffre de cette maison froide, grande, poussiéreuse, mais superbement décoré à présent.

Sur ce il esquissa de la main la représentation d'un lustre auquel pendait poumon et boyaux dans une décoration nouveau style avec un soupçon de modernisme qui ne pouvait rajouter qu'une légère note chaleureuse et fumante.

-

Faust haussa un sourcil en jetant un coup d'oeil au Prinçounet, cela ne semblait faire aucun doute, le vampire n'avait nullement pris en compte le fait que deux poumons de dindons, qui avait été nourit dans la foret voisine, et tuer une nuit de pleine lune, décorair à présent le lustre de la chambre Comtale. Ce manque d'attention de la part du Prinçounet sembla mettre Faust de mauvaise humeur, tant que faire ce peux, du moins, étant donné ses relative sautes d'humeur vis a vis de son demi-cadet.

"Mikaël hein ?"

Faust avait cessé de gesticulé en tout sens étant donné qu'on ne prenait aucunement compte de ses explication, pourtant clair.

Après avoir sembler se désintéressé des question du "Prince" il finis tout de même par prendre un air intrigué et interrogateur, peut être dus à l'identité de ce Mikael ou alors vis à vis de l'expression quelques peut coupable et malheureuse du vampirounet.

- Le demi...Mirlipili, le grelot en échange de ma présence sur le tône et ce jusqu'à ce que le demi en décide autrement. Mirlipili, on le lui prendra, car il nous l'a offert, oui, un beau grelot noir.

Faust semblait aux anges a présent et ne fit pas moins de deux pirouette et une révérence avant de lever les yeux.

Il posa un doigts sur ses lèvres et se le mordilla à la question qui suivi, les yeux gris mercure se firent plus perçant encore.

- Nico-Aïe...

Le couvre chef s'agita de coté et d'autre tintant de manière furieuse. Puis sans prévenir les griffes acérée se retrouvèrent au niveau de la gorge du vampire.

- Tant de questions, mais jamais de réponses. Qu'avons nous nous en échange ? Pas le moindre, pas de révérence mon ange, pas de sourire, pas d'histoire et pas de luciole. N'avons nous droit au regard ? Des vacances avons nous dis. Même pas de sang nous n'avons eu. Pas d'accueil et pas d'étoiles le soir. Non, nous somme sortit et Mirlipili à failli rejoindre les étoiles !

Faust s'arrêta là, ne prenant même pas soin d'égorgé a demi le Princounet avant de tourner les talons. Et d'ajouter entre ses lèvres comme pour lui même.

- Le petit Archange était heureusement là pour prendre soin d'Azrael.