Je marchais sur une flaque de boue que je sentit a peine , dont j’entendis a peine le murmure sous mes pas . Les pavés étaient sale , couvert d’une couche de poussière qui étouffais le bruit de mes bottes mouillé …
Modernis n’avais pas changé , les relent de la civilisation humaine me chatouillais les narines , aiguisant quelques peu mes canines … Mais non, je devais me concentrer sur l’épreuve qui allais suivre, la faim étais une bien futile préoccupation en comparaison.
Le bout de parchemin froissé , que je tenais encore dans la paume de ma main contenais une adresse rédigée d’une maniére calligraphié et penché : Rue de la madeleine , 24 F .
Rien que cette indication , c’est tout ce qu’on m’avais donné .
Cependant, pour avoir tant lue par le passé cet écriture qui d’habitude transcrivais des mots d’amours, je compris que ce message m’étais destiné de sa part.

Les ruelles sombres par lesquels je passaient me rappelaient tellement de souvenirs , des choses que je croyais enfuie dans ma mémoire , qu’il m’arrivais de revoir pendant des moments de faiblesses mais que j’arrivais a ignorer assez pour être le cynique que j’aimais a paraitre … Arriverais je a me contenir ? c’était la question que je me posais a chaque fois, juste avant de le rencontrer … et la réponse incertaine.
Bien entendus , j’avais une apparence détendus et détaché , isolante juste ce qu’il faillais. Toutefois j’évitais de le regarder dans les yeux , car je savais que les miennes me trahirais .

Je sautai sur un muret puis un autre , mon long manteau provoquant un claquement brisant le silence des alentours ,jusqu’à arriver sur le toit d’une maison , voilà qui me permettra de me déplacer plus vite , fondant l’air aussi silencieusement que je le pouvais .

[ haaaaaaaaaaaaaa !!!! Enfin, je peux enfin répondre a ce rp...je l'ai lus ce matin avant de partir au boulot, mais impossible d'y répondre vu...bha vu que le temps pour se préparer et partir est un rien chronomètré, résulmtat j'y ai pensé toute la journée...rhhha trop bien...dis le que tu ne pouvais pas te passer de ton Mika...lol]


Je me promenais, du moins, c'est l'allure que je donnais, un aspect décontracté le regard lointain l'air aussi à l'aise et dénué d'interet que l'était la plus part des passant. passants qui se faisaient rare. L'heure avançait et bientot le couvre feu serait sonné. Alors plus une âmes ne parcourerait les rues, sauf évidemment si elle prenait le risque de se retrouver nez à nez avec cette chère milice de Modernis.

Quand à mon apparence, elle n'était évidemment qu'ilusoir. Je n'étais pas du tout décontracté. Pourtant, il y avait une amélioration, j'avais pus passé quelques heure a dormir. Sortant du sommeil je m'était quelques peux éffrayé, quatre heures, j'avais passé quatre heures à roupillé d'un sommeil profond. Mon inconscience et les dangers que je prenais m'étonnait moi même. D'un autre coté, je n'aurais pus faire autrement que de passé un peut de temps à me reposer.

Voilà deux jours que j'avais quité mon ancienne cache, on m'y avait quelques peut déloger de force. Il faut dire que mon nouveau compagnon était un tantinet collant, voire...

Non, à vrai dire, je ne savais pas. Il était plus doué que ce à quoi je m'attendais. J'avouais que je le l'avais sous estimé. Ce gamin, car à cet âge là c'est tout ce qu'il pouvait être a mes yeux, faisiat preuve d'une certaine détermination. Et mes menaces n'avait apparement qu'envenimer les choses. Il faut dire que j'avais assassiné son frère, mais qui pouvais je apres tout si ce dernier avait tenter de faire de même. J'avais bien proposer au dernier fils du défun ex-présiendent de Modernis de le faire rejoindre le pays des morts. Mais ça ne l'avais pas vraiment fait rire. Quel dommage !

Soudain, je fronçais les sourcils, quelques choses m'échappait, mais je ne savais aps quoi, je regardais de coté et d'autre, tout les sens au aguets avant de reprendre ma marche d'un pas plus lent. Il y avait quelques chose dans l'air, une impression de déja vus, mais je ne parvenais à l'identifier. Cela me paraissait presque familier. J'essaya encore de déterminer ce sentiments, mais rien n'y faisait. Je savais juste que j'vais un léger sourire un peut nostalgique sur les levres que je balaya rapidement.

L'héritier de l'ex-président de la milice s'était donc fait un plaisir de me dégager de mon repère. Il ne me manqauit aps plus que ça, mais je m'était habitué à mon six metre sur cinq. J'avais juste l'impression d'être dans une cellule. Mais, étrangement ça ne m'avais aps trop déranger, ça changeait suffisement de Gothik pour ne pas m'y faire penser. Puis à quoi bon...Je préferais m'éviter cette torture qui revenait toujours au même reproche. pourquoi avais je dus en arriver la avec Vaen.

Cette fois si je m'arrêta net au point qu'un passant me bouscula tout en me reprochant d'être dans le chemin. Je n'y accorda pas la moindre attention. Mon coeur venait de cesser de battre pour reprendre sur un rythme nettement plus hâtif. C'était-lui ! J'en était persuadé. Je le savais jusque dans la moindre goute de mon sang. J'avais l'impression que j'allais hurler, que j'allais me mettre a courir, à faire n'importe quoi...Heureusement mon cerveau se réanclancha apres quelques segonde et je déglutis avec difficulté. J'exultais, mais me cramponna à l'once de calme qui devait bien existaer quelques pars dans mon corps.

Du sang froid, voila ce qu'il me falait.

Puis...puis je me calma, beaucoups trop vite...Et à la place de cette joie, de cette exitation...de ce bonheur parfait qui m'vais envahis quelques instant. Le vide se fit a nouveau, un vide encore plus profond que ce que j'vais vécu ces dernier mois.

Que faisait-il ici ?

Je n'en avais pas la moindre idée, mais il était clair que d'une façon ou d'une autre, si il était venu ici, il devait s'attendre a me voire et si ce n'était aps le cas. Si il avait préferé m'éviter, je ne lui laisserait certainement pas cette "chance".

Je le pista aussi bien que je le pus. Le vent venait face à moi et devait masquer les quelques bribes de parfum hybride que je portais. Mais a vrai dire, pour etre franc, je le perdis plus d'une fois, ce fut une étrange intuition qui me guida. une intuition qui commençait doucement à m'éffrayer.

Je ne parvenais pas à penser de manière ordonnée, à chaque pensée formulée venait se greffer l'image de son visage, le son de ses dernière parolles, si terrible. Oh mon dieu, comment pouvait il à la fois être mon ange et mon diable. Comment pouvait il être tant de choses...Une fois de plus je m'obligea a ne pas penser à lui, mais plutot à la raison de sa présence.

Avant même de m'arrêter rue de la Madelaine, je sus que c'était là qu'il se rendait, comment savait il que je m'était trouvé la quelques jours plus tot. C'était donc bien moi qu'il venait voire. Tout cela tournoyait dans mon cerveau, je ne pensais qu'a lui. Et pourtant, tout cela ne me paraissait pas bon du tout. J'avais intentionnelement renoncé à lui faire parvenir le moindre message, je ne me sentais pas près, c'était sure. Mais de toute façon la milice était bien trop apres moi pour que je puisse risquer quoi que ce soit.

Comme à son habitude il avait préfèrer les toits au pavés des rue, habitude que j'avais pris moi aussi. Et comme à son habitude il paraissait distant, inaxeccessible, son expression même donnait envie de détourné le regard, d'abandonner tout envie de discuter. Imbus peut etre, sure de lui, autoritaire...en un mot...supérieur. Pourtant, rien n'aurait pus me faire détourner les yeux de son visage.

Pour ma part, je m'étais dissimulé derriere l'une de ces grandes cheminées qui ornait de manière si peut harmonieuse les quelques batiments de ce quartier. Ce n'était pas le plus beau quartier, loin de là, plus d'un batiment était désafecté et la moitié d'entre eux regorgeaient de locataire ilégaux. Quoi qu'il en soit. je n'eu pas vraiment le temps de me demander comment j'allais l'aborder. J'étais à peine grimper sur ce toit, je m'était a peine dissimuler et j'vais juste eu le temps de l'admirer quelques instant. Quelques instant avant que je ne remarque que quelques chose de rouge, dans un style qui m'était beaucoups trop familier, se baladait sur le devant de son manteau, juste ou aurait du se trouver son coeur. Ce genre de petit point rouge, dans le style d'un viseur, qui apres une breve détonation ne laisse qu'un trou.

Certe, j'aurais pus me faire la remarque que c'était un vampire, j'aurais pus aussi me dire que crier aurait suffit a le prévenir, j'aurait pus faire beaucoups de chose....ou pas. Mais j'avais comme l'idée que mon nouvel ami, un rien collant, de la milice devait etre deriere tout ça. Et...j'vais pus apercevoir ses méthode un rien radicale. Un sniper ne lui aurait pas suffit...Il faut dire que le gosse avait fait un tour à Cyber et ça lui avait donné quelques idée en ce qui concernait ses armes. Le genre, petit trou discret ne semblait pas etre son truc...

Mika ne pris donc pas le temps de penser, ce qui lui arrivait encore assez souvent. Losqu'il arriva sur Vaen ce ne fut pas d'une manière tres étudié, ni ou la douceur était prédominant, ce ne fut pas avec tacte et pas non plus avec cérémonie. Il lui sauta dessus, l'entrainant deux metres plus loint, dans une espece de glissade ou...comme par hasard il avaitla palce du dessu, ce qui en d'autre occasion aurait pus lui plaire.

Au même instant il y eu un bruit assourdissant au point que les oreille de l'hybride bourdonnerent quelques instant. Il ne regardait que le regard de Vaen et pourtant, son esprit lui disait vaguement que le coup de feu n'était pas passé loin.
D'ailleur, même si il avait une place confortable, grace a son matelas hyper design, une pluie de grava venait de lui tomber dessus. Une vive douleur l'atteignis à l'épaule et même si il n'entendis pas son cris il sus qu'il avait du crier, andomageant encore un peut plus les tympant de son amant, si du moins celui si entendait encore quelques chose.
peut etre un morceau de métal ou un autre truc du genre.

Pour tout dire, le tireur, qui se trouvait suffisement éloigné d'eux que pour avoir recout a du matériel sophistiqué et munis de jumelle, était en train de s'aracher les cheveux tout en rechargeant ce qui resemblait presque à un lance missile miniature. Et ce qui avait atteint l'hybride n'était qu'un éclat de métal alors qu'il aurait dus plus ou moins mettre l'autre vampire KO, du moins, suffisement longtemps pour avoir une chance de les capturers tout les deux et au moins de tuer la batard qui avait osé tuer son frere bien aimé.

Le vent bourdonnais a mes oreilles , mes yeux braqué dans les siennes.

Je sentais le papier entre mes doigts tandis que sautais d'un bord a l'autre , contre le vent , ce dernier m'assourdissant, alors que mon esprit s'évadait: je ne remarquais plus rien de ce qui m'entourais , Les humains sous moi se faisaient rare mais cela devais être a cause de l'heur avancé de la nuit . Ou peut être pas , car la chaleur de la fin d'après midi étais encore perceptible... Ce message m'a tellement bouleversé que je ne savais même plus si une heure ou plusieurs se sont passé depuis que je l'ai lu .
dés lors , je ne pensais plus qu'a une seul personne.
Et ce n'étais franchement pas a mon avantage .
Voila une années que je me reconstruisait une vie, l'épreuve que j'avais passé m'avais ébranlé plus que je ne me l'avouais . Je n'avais plus confiance ... Cela n'avais pas trop changé . Sauf que maintenant j'avais une certaine méfiance envers mes propres sentiments , je ne devais plus m'attacher a personne ...
Tout comme je me l'étais promis il y a longtemps .
Avant de LE rencontrer .... Ici même a modernis ... Ou le simple fait de me promenais me rappelais son odeur a LUI. Doux parfum aux fragrances viriles.
Je ralentis le pas, imperceptiblement, quand le souvenir de cette nuit a Gothika refit surface...
Argh !
Une grimace m'échappa , alors que j'enjambais le vide séparant deux immeubles a l'architecture semblable. Je n'étais pas encore guéri ... Je ne pouvais pas le rencontrer... Je sens son odeur rien qu'en pensant a lui, Une désagréable sensation de suffoquement me tiens a la gorge quand je revit ces immenses yeux bleuté .
Stop .
Pour une fois mon corps m'obéis . Dommage que mon esprit ne fasse pas de même. je me retrouvais sur un toit de maisonnette, en tuile, immobile , regardant en bas ... Pensant si oui ou non , j'allais "Sauter le pas" pour q'une rue plus loins je trouve la destination que je voulais atteindre ... Mais est ce que je le voulais réellement?

J'aurais du faire plus attention.
Cela se passa vite, Pourtant j'arrivais a tout percevoir . Un Bruit derrière moi que j'aurais du entendre plutôt me fit me retourner, la je perçus parfaitement cet arôme que je croyais imaginer...
J'eu un réflexe , celui de le respirer pleinement avant d'être étouffée par le choc d'un hybride se jetant sur moi. Assourdis successivement par le vent de la chute un coup de feu et le cri de ... Mon Mikaël , Ce que je fis fut instinctif et involontaire , je le serrai dans mes bras , me préparant a encaisser le choc de mon contact avec le sol. je ne voulais surtout pas qu'il se fasse mal , surtout après que quelques uns de ces gravas que je voyais voleter vinrent le heurter ... était il blessé?
Les pavés poussiéreuses sur lesquels j'avais marché me parurent plus aiguisé qu'il ne l'auraient dus , pourtant ni le coup, ni le poids de mon "fardeau" ne me fit mal... alors tout en m'assurant de ne pas brusquer Mikaël je me relevais souplement prêt a parer n'importe quel coup de mon corps s'il le fallait .
Or les alentours étaient vide.
L'odeur de Mika masquait les autres .
Je n'arrivais pas a situer mon ennemis .
Quand un autre coup de feu déchira le silence.

[j'en pleur ... je n'arrive plus a bien écrire... mille excuse cher mikaël . Cela dis c'est aussi une promesse de plus de RP , puisqu'il faut que je m'entraine]

Il y eu un de ces rares moment, un de ceux ou tout semble s'arrêter autour de vous, ou plutôt, non, c'était autre chose, tout semblait continuer, mais plus rien n'avait d'importance. Je pouvait bien ressentir la poussière des grava qui s'était déposé sur ma peau, je pouvait ressentir aussi la morsure du métal dans mon épaule et ce jusqu'à la sensation du sang épais et chaud qui s'était immédiatement mis à couler de la plaie. Pourtant, je n'en ressentait pas vraiment la douleur, elle était devenue secondaire, pas absente, mais juste mise en suspens.

Je ne pensais à rien et pourtant tout semblait me paraître simple et facile, mon audition n'étaient aps encore revenue à la normale - était ce la raison pour laquel il me semblait flotter dans un lit d'ouate - Mon odorat quand à lui me semblait parfait, je captais l'odeur de mon propre sang, mêlé à l'odeur musquée de ma transpiration, mais il y avait plus agréable... Il y avait Vaen.

Durant ces quelques instant ou le temps sembla se suspendre, je pus le regarder, je pus le voir et je pus sentir ses bras qui s'était refermé sur moi. Oh, non, je n'en pleura pas, ni de bonheur, ni de soulagement quand a cette réaction qu'il avait eu. Non, j'étais juste heureux et infiniment bien de le sentir contre moi, de sentir...qu'il me protégeait, qu'il était là.

Peut etre aurais je eu le temps de penser qu'il avait toujours été là, qu'il m'avais déjà pris plus d'une fois dans ces bras de la sorte. Qu'il m'avais autant sauvé de moi même que des autres. Mon esprit aurait pus m'égare dans les souvenir de ce jour ou dans la demeure de Modernis il avait décidé de prendre soin de moi. Mais, je n'eus aps le temps de penser a tout cela, car le temps repris son droit.

Je ne compris pas tout de suite ou nous nous trouvions, de la chute du toit jusque sur les pavés de la rue, j'avais du fixer Vaen du regard. Et lorsqu'il se redressa avec souplesse, il me fallut quelques instant de plus pour être sure d'avoir retrouver parfaitement mon équilibre. La tête ne me tournait aps vraiment, mais j'étais quelques peut désorienté et ce ne fut qu'après un coup d'oeil de chaque coté que je parvins à mettre mes idées dans l'ordre. Du moins, suffisamment pour comprendre que nous formions de magnifiques cibles et que Vaen semblait bien décidé à me protéger. Chose que je n'acceptait que modérément, mais surtout...Je n'avais aucune envie de nous voire transformer en passoire.

Mon ami de la milice, car je n'avais aucun doute sur l'identité du tireur, semblait d'un tout autre avis et à peine m'étais je remis debout, un nouveau coup de feu déchira l'air. Je me surpris à sursauter quelques peut et avant de comprendre vraiment ce que je faisais, j'avais attraper la main de Vaen.

Oui, un bâtard de Von dast aussi cinglé était-il et aussi intrépide et peux soucieus de sa survie était-il pouvait très bien fuire de temps à autre. Et c'est ce que je faisait, entraînant Thanatos à ma suite. A vrai dire mon cerveau ne fonctionnait qu'à l'instinct pour l'instant et j'avais l'affreuse certitude que si je me retrouvait face à ce Milicien je risquait étrangement de ne pas vraiment y survivre. Évidemment Vaen était là, mais au delà du fait que je ne voulais le voir gravement blessé, je n'avais aucune idée de l'endroit précis ou se trouvait Eels et qu'il pourrait donc continuer a nous tirer dessus...

Soit, ça n'avait pas grande importance. J'avais lâché la main du vampire depuis un bout de temps, à vrai dire dés que j'eus donné le mouvement de départ.

Ces dernier temps j'avais pris l'habitude de courir, sans trop me demander ou j'allais, ce n'était pas toujours une réussite...Cette fois si ne fut pas mieux que les fois précédente. L'arrêt fut quelques peut brusque vus que je me retrouva face à un mur. Certes, j'aurais pus l'escalader, mais pourquoi se fatiguer plus. Nous étions dans un quartier mal famé, qui puait les poubelles et ou les bar et les bordels devait etre encore plus nombreux que le nombres d'habitants. J'eus une grimace de dégoût avant de me retourner, je n'avais même aps regarder si Vaen était à mes coté ou non.

J'eus une vague vision de moi même alors que mon reflet m'apparaissait dans une flaque d'une couleur douteuse. Cheveux sombre dont les mèches s'échappait en tout sens -car oui, je les avait attachés- le visage recouvert d'une pellicule de poussière avec quelques estafilade peut profonde ici et là qui me donnait un air encore un peut moins fréquentable. Quand a mes habits, si le pantalon avait un jour ressembler à un vêtement de cuir, cela avait du lui passer, quand à la chemise, je ne préférais aps m'en justifier, elle avait connu des jours meilleurs et même avec le dernier traitement de choc qu'elle avait connu ces dernière minutes, on devait deviné qu'elle n'était pas sortie ce matin même du magasin.

Non, en fait, je n'étais pas sur mon meilleurs jours pour revoir Vaen. Je commençais même a me dire que les dernier évènement avait un plus...J'avais uen bonne raison de ne aps avoir l'air fringuant. Puis, cette idée me mis de mauvais humeur, de très mauvaise humeur, pourquoi aurais je dus avoir l'air fringuant. Voilà une éternité que je pataugeais dans cette ville qui m'était détestable. Il le savait pourtant, il savait combien je détestait Modernis, combien je ne supportais pas les humains.
Combien tout cela m'étais pénible.

Je savait également que ma colère était tournée vers moi même, mais il m'étais plus simple de la lui faire partager.

- Je peux savoir ce que tu fais ici !? A quoi tu joues ! Tu pense vraiment que c'est une idée intelligente de venir te montrer à Modernis, toi le Comte de Gothik, un vampire ! Tu n'as pas lus les journaux !

J'aurais presque eu envie de le secouer pour la peine, de le sentir sous mes paume, de le tenir dans mes bras, de lui dire combien il m'avait manqué, de lui dire combien je l'aimais, combien j'étais heureux qu'il soit là et combien j'avais eu peur pour sa vie car je l'aimais plus que tout. Que je l'avais toujours aimer et que pas un instant il ne quittait réellement mes pensées. Que je vivais pour lui, que je ne vivais qu'avec lui.

[ A savoir que Mika n'a pas encore regarder Vaen dans les yeux, il évite encore de le regarder et fixe le vide (dans le cas ou il n'a pas suivi le mouvement de fuite ou si il est touché ) L'hybride est un peut dans les vapes également => blessé )]

[Merde !!!! j'ai trop été affecté !! j'ai faillit pleurer en pensant a ce que vaën aurais pu penser en entendant la réplique de mika ]
Je me relevais souplement , essayant de bouger mon Mikaël le moins possible , m'assurant de sa blessure d'un coups d'oeil... c'étai sans gravité , quelques égratignure, et le flux du sang n'étais pas aussi important que bien d'autres plaie qu'il a eu par le passé ... je vais juste m'occuper de cet énergumène responsable de ma rencontre des plus raté avec mon Hybride .
Un nouveau coup retentis , Cela me surpris moins que ça ne l'avais fait un instant plus tôt, et je reussis assez vite a localiser sa provenance . En haut, a droite derriére une nef en pierre , a moitié en ruine ... L'éclat de metal ne trompais pas et l'absence d'une odeur de poudre prouvais que cet arme étais purement hybride ... Et qui dis arme hybride , dis danger pour le vampires. Cela dis je ne bougeais pas , j'allais relever la mains affin de bouger par la pensé celui qui se cachais , quand celle si fut saisie par une autre ... une mains qui me parut d'une douceur étonnante .
Pendant un instant je restais immobile, a regarder cette peau contre la mienne , ou du moins contre ce qui n'étais pas caché par la mitaine noir que je portais .
Pourquoi j'ai pris cet habitude de toujours en porter !!
La microseconde d'après, ses doigts glissèrent sur ma paume pour la quitter ... a l'instant ou il se mit a courir ..
A courir?
Le dos de sa chemise déchiré révélais des petites griffures surement dues aux gravas qu'il reçus au moment de la chute , la grande plaie qui quand a elle suintais d'un liquide visqueux et rougeâtre attira mon regard, j'y vit une lueur brillante grise ... j'identifiais cela comme étant un bout de métal.
Bang !
Un autre coup de feu , on ne me visais plus , le mur derrière Mon Mika vola en éclat , et je dus courir pour le rattraper , sans penser une seconde a utiliser mon pouvoir... mais pensant a le protéger hypnotisé par son rythme effréné que j'arrivais a copier , et je devais l'avouer , son odeur me fascinais .

La course s'arrêta enfin, quand mon précédant rencontra une barrière, mais ne se retourna pas ... ni ne sauta ... qu'est ce qu'il avais ?
je n'osais rien non plus , regardant son corps musclé. Qu'il m'avais manqué !! mes yeux se faisaient doux , et je sentit que j'allais sourire m'approcher de lui et l'enlacer ... quand...
-Je peux savoir ce que tu fais ici !? A quoi tu joues ! Tu pense vraiment que c'est une idée intelligente de venir te montrer à Modernis, toi le Comte de Gothik, un vampire ! Tu n'as pas lus les journaux !
Quel idiot j'étais : que me suis je imaginé ? j'avais un instant flanché ... ne comprendrais je jamais rien de mes erreurs ? le sourir qui se dessina sur mes lèvre fut ironique. Mon visage se referma ...
JE devins froid et distant , et je forçais ma voix a ne pas trembler quand je répliquais
-Je suis ici pour voir ou en sont les choses ... je n'attend pas tes remarques pour me questionner sur mon intelligence je le suis assez pour pouvoir me défendre ...
Parfait, il y avais juste ce qu'il fallais de colère , un rien de sadisme et une pointe d'autorité :
-Ton message m'est bien arrivé
ajoutais je en lui lançant le bout de feuille que je gardais si précieusement jusque la ... Il atterrit a ses pieds se noyant dans une flaque d'eau sur laquelle se reflétais son image .
je devais me faire une raison il n'étais plus mien .
-Et voila qu'un cinglé essaie de m'atteindre ...
Soudain une pensé que j'aurais préféré ne jamais avoir me fit suffoquer silencieusement, j'arrêtais même de parler
Serais ce un piège?
Non , je devais arrêter de penser cela... Il ne m'aurais pas trahis tant que ça après avoir volé mon coeur , il n'aurais comme même pas essayé de me voler la vie... Me faisant parvenir une adresse ou il aurais eu l'avantage ....

-Il nous a suivis
dis je humant l'air
-Il n'est as trop loin ...
Je me retournais , mais cette fois je ne tentais pas le risque d'être de dos a L'hybride, plutôt dos au mur regardant mes 'assaillant ' des deux coté .

Lorsque je leva les yeux vers lui...lorsque je croisa son regard avec l'appréhension de ce que j'allais y lire, j'avais encore en moi un peut de ces mots dures que je venais de lui balancer au visage sans grande douceur. Et ils me furent bien nécessaire, tout autant que la solitude que j'avais ressenti ces mois durant. Solitude qui ne m'avais pas vraiment pesée. Je n'avais eu le loisir de me sentir seul ou de m'ennuyer. La solitude n'était rien, seul son absence était mortel.

Ce fut son regard froid, son air distant et aussi cette légère colère qu'il me semblait déceler dans son regard, se furent elles qui me permirent de rester maître de moi alors que je sentais tel une déferlante parcourant mes veines et balayant tout sur leur passage, cette sorte de transe qui ressemblait bien trop a de l'amour pour être quoi que ce soit d'autre. Je me savais bien incapable de lui dire mes pensées. Mais pourquoi avait je dus lui faire savoir ma peine avec de tels mots....Ne savais je lui dire combien je l'aimais. Si bien sure, mais j'avais tellement peur, tellement peur qu'il n'en soit pas de même. Pourtant, je savait qu'il m'aimait, j'en était intimement convaincu, je le savait aussi bien que je savais que je l'aimais également, du même amour. Mais je ne pouvais pas, je ne pouvais tout simplement pas le lui dire avec tant de facilité.

-Je suis ici pour voir ou en sont les choses ... je n'attend pas tes remarques pour me questionner sur mon intelligence je le suis assez pour pouvoir me défendre ...

Le sac d'eau glacé qui se déversa sur mon être alors que les premières paroles qu'il m'octroyait était tout aussi charmantes que les miennes, n'eus pas l'effet auquel je m'attendais. Car oui, je souriais, je souriais avec bonheur alors qu'il s'exprimait avec colère et autorité. Ho que je connaissait le ton de cette voix et comme il m'avait manqué. J'aurais pus me mettre a mon tour en colère, ne l'avais je pas été d'ailleurs quelques instant plus tot. Mais à quoi bon !

Je m'exprima donc rapidement, comme de crainte de perdre le self contrôle qu'il me semblait maîtrisé sur ma propre personne.

- Je n'en doute pas. ( sous entendu, que son vampire d'amour puisse tout aussi bien réfléchir que se défendre ) Et les "choses"...

J'eus un geste lasse, qui ne voulais pas dire grand chose, mais...Le poids qu'il me semblait porter sur les épaule se refis sentir a nouveau et j'abandonnai les explication avant d'ne fournir la plus petite bribes, ce n'était pas le moment ni l'endroit et je n'avais aucune envie d'aborder le sujet de toute manière. J'avais bien l'impression d'être un demi déchet, chose à laquel j'avais finalement dus me retrancher vu le peux de loisir que la milice me laissait. Apparemment Vaen n'était pas au courant de mes dernière prouesse, dans le cas contraire, il ne serait de toute façon pas venu, comme il me le faisait remarquer, il était suffise ment intelligent et j'espérais qu'il me faisait suffisamment confiance pour me tirer d'affaire tout seul. Sans quoi, je n'aurait pas du tout apprécier sa présence, enfin, dans le cas ou il venait pour me "sauver"chose que j'aurais mal pris.


Mes pensée revenait donc sur la raison de sa présence ici.

-Ton message m'est bien arrivé

Je fronça légèrement les sourcils scrutant son regard, en y cherchant une once de compréhension pour moi même. Je ne lui avait jamais envoyé de message. Après l'interrogation muette et le doute, je regarda le petit bout de parchemin tombé à mes pieds. Et avant qu'il ne disparaisse dans la flaque d'eau noirâtre, mon visage avait changer d'expression pour pâlir quelques peut. Mon coeur semblait s'être arrêté alors que je ne quittait du regard l'endroit même ou mon ancienne adresse, rédiger de ma propre écriture avait disparut. Une douleur, qui avait tout avoir avec l'angoisse et le remord me tordit le ventre alors que je fermait les poings. Oui, c'était bien moi qui avait écris cette adresse sur ce morceau de papier. Mais comment aurais je pus savoir qu'elle se retrouverait entre les doigts de mon amant. il n'y avait aps d eréponse à ça. La seul réponse qui me vint, fut que j'aurais du le savoir, que j'aurais du faire plus attention. Que je m'était fais avoir...

-Et voila qu'un cinglé essaie de m'atteindre ...

Ces paroles m'atteignirent à peine, mais eurent l'effet bénéfique de me sortir de mon mutisme alors que j'apercevais clairement l'étendue des possibilité de ce sale gosse de Milicien. Je frissonna de nervosité alors que j'avais juste envie de passé mes nerfs sur le premier venu. J'avais l'impression d'avoir été trahis, mais cette trahison ne venait que de moi et d'un manque de précaution. Un bout de papier jeté de ma main dans une poubelles, je savait que j'aurais du la brûler. Et...j'avais entraîner Vaen avec moi, l'avais je trahis pour autant ? Je n'eus aps le temps de chercher la réponse dans son regard.

-Il nous a suivis

Je ne regarda pas Vaen pour finir, mais fit comme lui, j'essayai de capter l'odeur de ce Cyber-Modernien de Eels, seulement je ne parvenais à capter son odeur, j'avais déjà remarqué que cet imbécile se parfumait, était ce fait exprès ou non, je n'en savait rien, mais cela masquait avantageusement son odeur naturel. Et comme il changeait de parfum...Soit, au moins on avait de la compagnies.

A voire le regard de l'hybride il était tout juste prêt a faire un massacre. Mais au regard de nombre de personne il aurait juste été bon à mettre au lit, voire à l'hôpital, les cernes qui lui soulignait les yeux faisiat presque croire à un toxicoman un rien en manque, et ses mains tremblait, même si pour le coup, c'était peut etre juste a cause du sang qui s'écoulait de sa plaie et qui devait le faire souffrir.

Quoi qu'il en soit, ce n'était pas là les pensées de Mikael. Tout se passa à un bon rythme, les deux adversaires qui venait de débouché dans la rue ne semblait aps vraiment sympathique. Il y avait de quoi, ils avaient en face d'eux un vampire, un de ces parasites qui ruinaient leurs société et qui semaient l'insécurité dans leurs rues. Et à coté de ce vampire se trouvait l'hybride qui était activement recherché pour meurtre d'une bonne trentaine de leurs collègue, sans parler des détériorations qui concernait les bâtiments de la milice, des quelques civile et même d'un d'un groupe d'enfant des plus innocent. Non, la colère qui brillait dans le regard de ces deux là était des plus normal en considération de leurs vis à vis.

Une fois de plus il y eu une détonation et presque au même moment un cris de douleur, qui devait être le dernier son qui devait sortir de la gorge d'un des deux milicien, celui là même qui avait tiré. Une hache était plongée dans son front, en plein milieu de ses deux yeux. Quand à la balle, ou aux balles qui avaient du sortir de l'arme de l'individu. L'hybride n'en eu aucune conscience, soit, il avait été blessé, mais ne ressentait pas encore la douleur, ou l'autre avait raté son coup. Mais il n'eut pas le temps de se poser d'autre question, ni de jeter un coup d'oeil à Vaen. Sa deuxième hache lancée en même temps que la première n'avait aps atteint sa cible.

Un voile de douleur me traversa alors que je tendais le bras, tentant de projeter mon armes, mais a peine avait elle quitté ma main, que je sus très bien que le lancer ne serait aps assez puissant. Le morceaux de métal que j'avais dans l'épaule devait toucher un muscle et tout mouvement m'était impossible sans risquer de m'évanouir de douleur.
La tête me tournait, mais je n'y prenait pas vraiment attention, seul handicape, je réagissait un peut à la traîne. J'en eu clairement conscience quand un voile de flamme s'approcha dangereusement de moi. Je sentis un sourire me barrer les lèvres alors que je pensait que ce milicien là avait bien mal choisi son arme.

La langue de flamme qui aurait dus nous calciner s'arrêta à un mètre de moi, formant un bouclier avant de se condenser en une boule. Je sentait les gouttes de sueur perler le long de mon échine, mais ce ne fut rien par rapport à la douleur que dus ressentir l'homme lorsque son armes se retourna contre lui.

Ce fut a travers un brouillard opaque que j'aperçus son corps se tordre encore quelques instant avant de s'immobiliser dans un bain de flammes.

Ce ne fut qu'a ce moment que je m'aperçus que j'avais du prendre appuis sur le mur pour ne pas m'écrouler sur le sol boueux. La tête me tournait et mon champ de vision était obscur, du sang dégoulinant de mes narines. Mais ce n'était rien, juste un peut de fatigue, peut etre faisais je trop usage de mon don ces derniers temps.

Je chercha Vaen du regard, sans pour autant etre certains de l'avoir en face de moi, j'aurais voulu avoir l'air un peut plus fringuant, mais je devais, semble t'il me faire une raison.

- Il en reste un...

Un qui restait bien hors de portée aussi bien de vue que de flair et d'ouïe, du moins pour l'hybride, mais vu son état...

- Et...je suis navré, c'est bien moi qui ai écris cette adresse, mais...je ne désirais pas te la faire parvenir...pas comme ça...

Je détournais le visage alors que ma gorge se nouait. Puis, les larmes se mirent a couler sur mes joues, des larmes chaudes qui me donnait l'impression de revivre malgré tout. Je ferma les yeux et me laissa tomber a ses genoux, me fichant bien de tout ce qu'il pouvait arrivé ou non. Rien n'avait vraiment d'importance.

- Je...

Je n'eu pas le temps de continuer ou plutot de commencer, de lui dire combien il avait d'importance à mes yeux. Quelqu'un avait décidément décidé de nous pourir nos retrouvailles.

Je n'entendis que le sifflement du projectil. Je sus aussi qu'il m'avait atteint, ce fils de Milicien avait éffectivment promis de me faire la peau, seulement il aurait d'abord dus apprendre à viser le coeur et pas dix centimetres en dessous.

Pourquoi tant d'acharnement ? Je devais avouer que ces derniers temps je n'avais pas fait attention a ce qui se passais hors de la HOP ou de Gothika .. Je savais Mikaël ici , j'avais confiance en lui alors je ne cherchais pas encore a épier les actes des humains , tant que ces derniers n'attaquaient pas Gothika .
Maintenant je me rendais compte que les vampire étaient toujours autant persécuté, si ce n'est plus
-Qui sont ils?
demandais je alors que deux d'entre eux se rapprochaient d'une manière suffisante ... arrogante. Ce n'étais pas leurs odeur que j'avais sentit plus tôt. cette dernière étais plus entêtante, et quand ils se rapprochaient assez et relevèrent leurs capuches je compris pourquoi je n'avais distingué qu'une seule odeur a leurs approche ... c'étaient des jumeau.
Le premier a ma droite visa Mika, le second avec une arme moins imposante mais loin d'être moins dangereuse me visa moi , tira , et se retrouva une hache entre les deux yeux instantanément... son cris déchira le silence suivant le coup de feu puis s'éteint tout aussi vite qu'il n'avais retentis ...
Des gravas et de la poussière continuais a me pleuvoir dessus , tandis que le frère encore debout se mit a hurler a la mort en utilisant une sorte de torche lance flamme ...
Autant les balles j'ai pu les disperser , autant les flammes je n'arrive pas trop a les maitriser , et surtout elle m'étaient mortelle... Qu'allais je faire ?

En un instant , je crus que j'avais réussi... réussis a gérer les molécules de feu qui se tenais devant moi immobiles comme si une parroie transparentes les empêchaient de venir me lécher le corps... Mais non .
Quand ce mur de flamme commença a bouger , je crus qu'il avançais, et regardais affolé Mikaël , me demandant si j'aurais le temps de le porter pour sauter sur un toit , ou alors si je devais seulement le bouger avec la télékinésie et essayer peut être de fuir , chose un peu compliqué dans ces conditions la. je vis a cet instant son visage concentré , se tenant une épaule ensanglanté , en sueur et fixant avec ses yeux cerné et rougeâtre un point dans cette masse brillante ... Il maitrisais le feu lui ...
Je suivis son regard , effrayé a l'idée de ce que je pourrai voir . Pour la seconde fois de la soirée j'eu peur que ce soit lui qui essaye de me tuer, car un instant plus tôt le mur de flemme s'avançais vers moi . Cependant , je fus soulagé de constater que c'étais l'inverse ... L'ennemi reçu sa propre attaque de front et brula , dans d'étrange sons de gargouillement , friture et cri ... Cuit a point, il étais grillé .

-Il y'en a un autre
-Je sais .
répondis je avec douceur a son murmure essoufflé
-Tu es blessé...
Mon coeur bondis de ma poitrine quand je vis sa plaie béante, ces armes Hybrides sont les pires , voila qu'elles ont troué l'épaule de Mon ... de Mikaël.
- Et...je suis navré, c'est bien moi qui ai écris cette adresse, mais...je ne désirais pas te la faire parvenir...pas comme ça...
-chut !!! On s'occuperas de ça après avoir trouvé un abris
Et bandé ses blessures . Pourquoi est ce que nos rencontres tournent toujours au bain de sang? Bon a question stupide réponse stupide , je suis un vampire . et son sang a plutôt bon gout.
Cherchant un endroit familier des yeux , ou alors un lieu ou je pourrai m'occuper de lui tout en tendant l'oreille , attendant d'entendre des pas qui ne vinrent pas , je me dirigeais vers le frére le moins endommagé , l'autre se tortillais gémissant quelque peu , encore allumé comme une torche humaine. Je me penchais sur lui , cherchant des clé pour quelque place que ce soit... Ce que j'y découvrit furent des clé que j'identifiais non pas comme celles d'une maison mais , d'un engin que les humains utilisaient pour se déplacer , des voiture a ce que je savais ... cette technologie ne m'avais jamais intéresse jusqu'à dernièrement.

le froissement d'un vêtement , un choc sourd et le son d'éclaboussures d'eau , me firent tourner la tète brusquement
- Je...
Mikaël !!!
Il s'effondra sans plus rien ajouter ... Je couru vers lui , le portant dans mes bras ... Il étais très léger , trop léger ! L'idiot ne mangeait il rien ? !
Encore plus effrayé par la chaleur qui commençais a le quitter, par l'intermédiaire du liquide carmin que je sentais dégouliner sur mes mains, je le rapprochais plus de moi descendant le cul de sac ou je laissais un brulé vif et un décapité (j'avais sauté sur ce dernier pour passer) . Tout en bas quand je m'arrêta me demandant quel chemin j'allais prendre et ou j'allais pouvoir m'occuper de mon précieux fardeau, ce dernier se mis a bouger faiblement, me faisant resserrer mon étreinte.
Bip !
Qu'est ce ?
Une lumière aveuglante et un bruit que j'identifiais comme étant électronique, me parvinrent de coté... c'étais l'un des engins qu'on utilisais pour le transport ... Grand et noir aux allures menaçantes , je crins le pire : je n'avais pas de temps a perdre bon sang !!! Et comment n'avais je pas perçus l'odeur de ceux qui étaient derrière ces fenêtre noirs ? !!
comme sentant le danger , Mikaël bougea de nouveau !
Bip !
Voulaient ils me désarçonner en me flashant a plusieurs reprises avec ces ridicules ampoules jaune et rouge ?
plissant les yeux j'essayais de voir le visage de ceux que je devrais encore tuer ... Mais rien !! Il n'y avais rien ... a moins que ces vitres noirs n'empêchent même les vampires de regarder . Pour en être sure, je fit voler une poignée de gravier , a un metre du sol puis les lançais avec force contre ces carreau ... voila qui tueras ceux qui sont a l'intérieur plus surement qu'une balle .

Le bruit du verra cassé , fit sursauter mon.. L'hybride , qui marmonna quelques paroles incompréhensibles.
Bip !
Finalement il n'y avais personne ... Mais cet engin continuais a cliqueter a s'allumer .
Pas le temps de tergiverser , je m'avançais vers la voiture, changeait la façon de porter Mikaël pour libérer une main avec laquelle je tirais de toute mes forces sur la porte... celle ci alla se ficher dans le ciment du mur derrière moi .
Au moins les siège étaient confortables et l'habitacle assez spacieux pour me permettre de monter soigner mon protégé . Ce que je fis avec rapidité et précisions après m'être débarrassé de la clé que je tenais en main et la jeter plus loin
Bip !
-Non mais tu va te la fermer oui !!!!
Les voitures n'avais pas d'âme , a ce que j'ai cru comprendre , cependant celle si m'obéis , pendant tout le temps que j'ai passé a penser la plaie de Mika , et le moment ou je lui avais versé mon propres sang dans la bouche , lui inclinant la tète pour qu'il l'avale ... puis la lui maintenant ainsi, le regardant dormir , son visage plein de sueur et de poussière captiva mon regard... jusqu'à ce qu'il darda le siens sur moi .

[pour info la voiture est un truc d'espionnage , donc super spacieuse , genre partner , et les BIPS c'est la clé éléctrique que vaën avais gardé en main , a chaque mouvement de la part de mika il cliquais sur le bouton d'ouverture , ou de fermeture... JE M'AMUUUUUUUSE]

[ lol...l'expression purement automobile (et tout a fait inconnue à un certain vampire...) BIP...mdr]

Je dus perdre connaissance ou m'endormir au choix. Il faut dire que les ombres dans lesquels je m'abandonna n'avaient rien de terrifiant. Et je trouva bien mieux que les bras de Morphée pour prendre soin de moi. J'avais vaguement conscience de la proximité de mon amant et elle m'était rassurante, bénéfique et apaisante. Pourquoi aurais je ouvert les yeux, c'était peut etre un rêve et si ça en était un je ne voulais prendre le risque de m'éveiller pour me rendre compte que ce n'était là que chimère. Combien de fois avais je rêver de lui ? Peut être aps assez souvent, il faut dire que le sommeil ne m'apportait pas souvent le moindre rêve. Sommeil léger qui ne me reposait que rarement...

A l'orée de ma conscience je sentais ses mains sur mon corps, mais une fois encore je n'avais ni la force, ni l'envie de m'éveiller. Les ombres qui m'environnaient semblaient épaisses et cotonneuses, me retenant dans leur royaume obscur.

Je rêvais de lui, de son parfum qui m'environnait tel la plus douce des confidences et...du goût de son sang sur ma langue. J'en frissonna intérieurement. La substance épaisse au nectar incomparable ne pouvait que réveiller en moi des souvenir de nuit ou nous n'avions pas fermer l'oeil.

La température de mon corps se réchauffa doucement alors que le sang vampirique faisait son office, me guérissant plus vite que ne l'aurais fait quelques corps que ce soit.
Un léger picotement se fit bientôt ressentir dans mon épaule, à l'endroit même ou s'était trouvé un morceau de métal. La plaie cicatrisait doucement m'élançant quelques peut et me réveillant par la même occasion.

J'ouvris les paupières pour me perdre dans son regard, ce n'était pas un rêve et pourtant cela y ressemblait, je m'égara un instant dans la contemplation de ses iris, beau à en perdre pied. Mes doigts se posèrent sur son visage, sur sa joue, comme pour me persuader qu'il était bien là. Et il était là...Mes lèvres goûtent aux siennes avec une douceur à laquel je n'étais plus habitué depuis longtemps.
Pour une fois, je m'abstins de réfléchir et l'enlaças avec douceur, désireux, uniquement, de le sentir prêt de moi, de respirer son parfum et de retrouver le contacte de ses lèvres sur les miennes. Mes paupières s'étaient un instant refermées sur mon regard océan. Juste un moment, car son image m'étais bien plus agréable que le néant obscur.

- Je t'aime...

Je le lui murmura à l'oreille avant que les craintes et le monde ne me rattrape. Puis dardant mon regard dans le sien, je le lui demanda, question muette ou les mots vinrent bientôt s'ajouter.

- Dis le moi....

J'avais besoin de l'entendre de ses lèvres. Et quelques secondes je n'en sus la réponse, mais je sus par contre, que quelques soit cette réponse, je l'accepterais.

Je t'aime ... Dis le moi .
Ces paroles se répétaient sans cesse dans ma tète, tandis que distraitement je lui caressais les cheveux , déplaçant les quelques mèches qui s'étaient collé sur son front , et révélant ses yeux bleuté qui me scrutaient apeuré .
Je t'aime ... Dis le moi .
je sentis le coin de mes lèvres se tordre, se retrousser ... un sourire?
Il semble bien oui ... un sourire absent... Ni heureux , ni compatissant ... le genre de sourire apaisant qu'une mère offre a ses enfant quand elle sais qu'elle ne pourra pas leurs offrir ce qu'il rêvent d'avoir, mais qu'elle essayeras comme même.
Je t'aime ... Dis le moi .
Je ne dis cependant rien . je continuais a le regarder. espérant que le néant qui suivit cette révélation laisse place a la parole ... Qu'allais je dire
Dis le que tu m'aime .
Je ne peu pas . Je me suis promis de ne jamais prononcer ces mots ... De ne jamais les ressentir .
Cependant ... Je les ressentais déjà.
Dis le


Je pris une profonde inspiration, humant le parfum salé de sueur , celui virile de sang , et celui acre de poussière ...
Quel lâche je faisais , fuyant des émotions de peur de les sentir . Craignant de simple mots , plus que des soldat armé.
-en as tu jamais douté ?
Crus je bon de dire ... Ce n'étais point ce qu'il espérais je le savais
-Dois je vraiment te proclamer mon amour pour que tu le ressente ...
JE fuyais encore .
Lache !
Pourtant , c'étais compréhensible , prononcer ces quelques lettres , rendraient les choses tellement ... Officielles . Palpables. Vraie. Et cela me rendrais tellement faible ... désarmé ... sans défonce ..
Lache ... Dis le ... je t'aime

-Oui je t'aime .
...
-Je t'ai toujours aimé , La peine que tu m'a causé me montre a quel point j'étais stupide en refusant de te le dire ...
Sage est celui qui affirme : c'est en affrontant ses peur qu'on deviens plus fort ...

Je ne quittait son regard, ne cherchant à y lire la moindre réponse. Je savais ma question égoïste, je n'en désirait uen réponse que pour ma propre personne. Mais je la désirait tant. Je voulais qu'il me le dise et sans cesse ma propre vois sonnait à mes oreilles tel une impérative.

Dis le moi...

Hoo, oui, dis le moi. Je voulais entendre sa vois à mon oreille, je voulais encore humer son parfum, me perdre dans son regard et je me serais damné une fois de plus pour sentir ses lèvres se poser sur les miennes et ses mains se perdre sur mon corps....Me ressaisir...? Pour quoi faire ?

Je patienta, m'interdisant de penser à tout autre chose qu'a la douceur incomparable de ses lèvres. A son regard énigmatique et pourtant que je semblait connaître tout autant que mon âme, je la lui aurait offerte...Que dis je, comment pouvais je encore la lui offrir, elle lui appartenait. Le savait il, je n'en savait plus rien. Penser, réfléchir, encore, toujours...Pour quel raison...

Dis le moi...

ou...ou ne me le dis pas...garde le pour toi si tu ne peux me le dire...Oh, non...j'avais tant besoin qu'il me le dise. Je m'en rendais compte maintenant, mais je l'aurais supplier si il le fallait. Je savais que je me sentirais affreusement malheureux si il ne me le disait pas. Qu'il me dise ce qu'il voulait. Mais qu'il me le dise...

Laisse moi entendre ta voix mon amour...

-en as tu jamais douté ?

Je lui souris instantanément, un sourire doux. Non, je ne lui en voulais pas de cette question. En avais je douté ? Je ne savais pas. Pourtant la réponse me venais instinctivement. Non, je n'en avais aps douté, si j'avais douter de l'un de nous, c'était bien sure de moi. Jamais de lui, non jamais. Mais...j'avais besoin de l'entendre de ses lèvres, j'avais besoin qu'il selle par ces mots le pacte d'amour que je lui offrais, je lui avait toujours offert.

Dis le moi, mon amour...

-Dois je vraiment te proclamer mon amour pour que tu le ressente ...

Mon sourire se fit moins présent cette fois, même si mon regard devais toujours avoir cette couleur océan, je sentit au fond de moi un petit pincement. Je restais silencieux uen fois de plus. Il savait très bien que je n'avais besoin de ses paroles pour l'aimer et pour ressentir ses sentiments. Du moins, je l'espérai. Mais ne pouvait il comprendre...

Je t'aime Vaen, tu sais bien combien je t'aime, ne te l'es je déjà dis ? Ne t'es je jamais dis que je t'offrirais mon âme tout autant que ma vie. Ne t'es je jamais dis que le monde me semblait plus beau en ta présence, que l'air semblait plus agreable a respirer. Que mon regard ne pouvait s'éclairer qu'en ta présence. Ne t'es je dis que tu donnais un sens a ma vie ? Que seul le frôlement de ta paume dans la mienne me donnait envie d'ouvrir les yeux et de sourire ? Ne t'es je dis que l'espoir de voire les étoiles briller n'était rien par rapport au reflet de ton regard.
Ne t'es je dis que seul monde ou je désirais exister était celui de ton coeur...

-Oui je t'aime .

...

-Je t'ai toujours aimé , La peine que tu m'a causé me montre a quel point j'étais stupide en refusant de te le dire ...

Je le regardais...Et je pouvais le voire...Je savais qui il était. Et cet être me semblait d'une beauté incomparable car il m'aimait tout autant que je pouvais l'aimer.
Je souriait certainement d'une manière un peut stupide, car j'étais heureux. Il m'aimait, mais...il me l'avais surtout dis et je savais que ce n'était chose facile. Je savait aussi que je l'avais fait souffrir, j'avais eu assez de temps pour m'en vouloir. Mais ce n'étais le moment de me le reprocher d'avantage...

- Merci mon amour...Merci de me l'avoir dis...Merci d'être là..

Mes lèvres n'attendirent d'avantage que pour se joindre aux siennes et si le baiser fut doux pour commencer, ce ne fut que pour se faire plus passionné par la suite. Il m'avait manqué.

Il est plus aisé de s'abstenir de quelques chose tant qu'on n'y est pas tenter....

La camionnette était assez confortable a vrai dire, c'est du moins l'impression quel me donna une fois que je me fut étendu sur la place arrière qui avait été aménager appartement pour y passer la nuit. Un matelas de fortune, des couvertures (propre) et un tas d'oreillers à ne plus quoi savoir en faire.
Je ne demanda pas a mon amant son avis sur la question. Mes mains s'était glissé sous son manteau pour bientôt remonter sous sa chemise. Je manqua de m'évanouir de bonheur rien qu'en retrouvant la douceur de cette peau sous le contacte de mes doigts. Je laissa mes lèvres se perdre dans son cou, respirant son parfum tel un nageur reprenant son souffle apres un apnée qui avait duré bien trop longtemps. ce parfum merveilleux qui était le sien, lourd et à la fois prenant, sauvage et entêtant et pourtant discret, comme si il jouait a vous échapper. Je lécha cette peau, musquée et douce, elle me parut presque chaude, même si elle était aussi froide que la pierre.

- Mon amour...

- Merci mon amour...Merci de me l'avoir dis...Merci d'être là..

Cela devenais beaucoup trop . J'avais prononcé des mots bannie , je ne le regrettais en rien ... Cependant , je n'arrivais plus a rester devant ses yeux reconnaissant , lui que j'ai essayé de haïr plus que tout pendant une année , d'oublier , de détester , d'ignorer ... il étais étendus sur moi , ses mains se baladaient contre mon torse , sa bouche venais effleurer la mienne .
Je me sentais ... Faible .
S'attacher a quelqu'un est une erreur ... et affronter ses craintes pouvais rendre plus fort, mais ça peut achever aussi .
-Mon amour .
Comment pouvait on aimer quelqu'un et etre degouté en sa presence , je devais vraiment étre des plus detraqué pour ressentir quelque chose du genre .

Je me degageais quelque peu de lui essayant de me relever sans trop le bouger de peur que ses plaie internes ne soient pas totalement guéries
-Aurais tu un endroit ou on pourrais nous cacher ? quelques aliés peut étre . Des vampires infiltré?
je regardais de tout les coté en humant l'air ... Rien .
-Il ne doit pas étre loins...
dis pour moi même
-Il a peut etre abondonné.... Ces humains sont d'une lâcheté ...
Je le regardais encore dans la voiture ... attendant sa repense , et un endroit plus sure pour continuer notre discussion .

Il se dégagea de mon emprise, me repoussant avec douceur, mais me repoussant tout de même. Je repris instantanément contenance tout autant que mes esprits. Fermant mes sens à son parfum et à mes désirs. M'interdisant de le voire autrement qu'avec une certaine froideur, bien indispensable si je ne voulais pas perdre la tête.

Je ne pus tout de même m'empecher de laisser entendre un léger soupir. Il m'avais affreusement manqué et ce n'était qu'a présent, maintenant qu'il était à ma portée, que je ressentait le plus violement ce manque immense qu'il avait laisser dans mon existance. Pourtant, je savais que d'un autre coté, j'avais forgé par cette absence ma propre personnalité et je craignais quelques peux, qu'elle se révèle a ses yeux comme un refus. Pourtant, il n'en était rien, je l'aimais de tout mon être, mais je me refusait a ramper a ses pieds comme je l'aurais fait par le passé.

Si il trouvait que le moment n'étais aps approprié pour que je lui saute dessus, parce que...soyons franc, c'était éffectivement l'envie qui me parcourait l'esprit, me fichant franchement des risques encourus comptenu de l'endroit et du moment.

J'étais quelqu'un de parfois inconscient, je le savait éperdument et m'en fichait tout autant.

-Aurais tu un endroit ou on pourrais nous cacher ? quelques aliés peut étre . Des vampires infiltré?

Vaen semblait s'inquieter de la présence de mon inséparable humain, chef de la milice, il y avait de quoi, je le savait, mais ne pouvait me résoudre a m'en inquièter. J'étais un rien vexcé, je sentait mes blessures se refermer grace au sang qu'il m'vait donné. Je lui en était reconnaissant, mais ne lui en toucha pas le moindre mot, il n'aurait pas eu à m'en donné si j'vais fait preuve d'un peut plus d'intéligence. Je m'en voulais encore d'être tombé dans ce piège et de l'y avoir entrainer, bien malgré moi.
Je vérifia le chargement de mes armes a feu et vérifia la présence de mes haches avant de sortir de la camionette sans un regard en arriere.

- Je n'ai pas d'alliés et n'ai confiance en personne ici. Mais j'ai un endroit sûre, du moins, pour quelques moments.

Je lui jeta un coup d'oeil évaluateur, l'invitant à me suivre avec un petit sourire au levres, enfin, un sourire qui pouvait etre deviné, mais seulement deviné, car non, je ne souriais plus.

Commença donc une course a travers la vile, pas qu'on nous poursuivait d'une quelconque manière, mais mon tempéremment actuel demandait une dépense d'énergie concidérable afin que je ne pète pas un cable a tout moment.
Les toits de modernis n'vait plus de secret pour moi et je n'hésitait plsu a faire appel a mes compétences hybride en ce qui concernait la vitesse de déplacement ou le saut entre deux toiture séparée par une rue.

Pas une fois je ne me retourna pour voire si il me suivait ou non, de un, ça aurait été une insulte pour ça personne et d edeux, je voulais au moins me donner l'impression que je m'en fichait pas mal.
Nous arrivions dans le quartier mafieux de Modernis et je me fis plus discret, préférant regagner l'ombre des rues. Il y avait des sentinel dans tout les jardin et derriere chaque grilles dissimulant une propriété.

Je sauta bientot au dessus d'une grille avant de me glisser le long du mur d'une villa, ce fut par le soupiraille de la cave que je m'infiltra dans la demeure que j'occupais depuis deux jours. Je resta quelques instant l'oreille tendue, mais j'étais déja certains qu'il n'y avait personne, et que pas une âme n'était venu ici depuis mon départ quelques heures plus tôt.

Je gagna donc l'étage. Un salon assez luxueux, une cuisine dernier cris et à l'étage deux chambre, une sale de bain hyper équipée, sans oublier le jacuzi.

- Je vais prendre une douche

Cette fois si non plus je ne lui accorda pas le moindre regard et ce ne fut que lorsque l'eau glacée se mis a ruisseler sur mon corps que je déssera les poings. J'vais envie de hurler, mais ça n'aurait pas été des plus discrets.
La maison était vide depuis que les propriétaires étaient malencontrueusement décédés. Par chance, ils ne connaissaient aps grand monde et avaient toujours eu des meours assez discret, pour cause, ils étaient de la mafia comme la plus part de leurs chères voisins. Pour tout dire, je ne savais même plus si j'avais bien fais de les tuer ou non. Et affreusement, cela commencait à m'importer peux. Je ne pouvais pas dire que je m'en fichais, mais c'était presque ça.

Une douleur fulgurante remonta le long de mon bras jusque dans mon épaule. Je r'ouvris les yeux pour voire que du sang coulais le long de mes phalanges et que j'vais occasionné quelques dégat aux murs de la sale de bain. Si je ne me rendais plus compte que je passait mes nerfs sur le mobilier ça devenais grave.

Je termina de me laver les cheveux. Je ne supportais plus cet aspect dépravé, c'était afligeant.

Quelques segondes plus tard j'étais vetu de frais à me regarder dans le miroir de la sale de bain. Je reconnaissait à peine ce visage qui était le mien. Pourtant, je n'aurais aps su dire ce qui me dérangeais dans le reflet de ce regard. Il avait cette nuance de vert et de bleu sombre que je lui connaissiat et pourtant...Je le brisa d'un coup de poing supplémentaire qui m'occasiona une ou deux plaies de plus. Mais au moins je n'vait plus a me poser de question. Je ne comprenait aps qui je devenait, insensible ou non....

Ma sensibilité m'vais bien trop souvent fait soufrir, mais me fermer aux émotions d'autrui semblait me transphormer en monstre. Quand a Vaen, le mieux était encore de ne pas y penser si je ne désirais pas souffrir d'avantage.

Ce que je faisais de mieux dans ces périodes d’incertitude ou mes sentiments prenaient le dessus sur ma raison, c'étais les ignorer . J'avais développé une sorte d'interrupteur a pensé , que j'utilise dés que je sens que mon esprit divague dans les moment comme celui que je vis maintenant .
Click
Voila je pouvais finalement me reconcentrer . je sentais les odeurs environnante avec plus d'acuité qu'auparavant ...Celle entêtante de notre poursuiveur étais définitivement absente, dans un rayon de 300 mètre au moins .
- Je n'ai pas d'alliés et n'ai confiance en personne ici. Mais j'ai un endroit sûre, du moins, pour quelques moments.
Un vague sourie carnassier flottais sur mes lèvres, tandis que je pensais que moi aussi je ne faisais confiance a personne, Bien vite évanouis quand haletant je suivis l'allure d'un Mika plus rapide que jamais .
Il me fuyais en m'invitant a le suivre ...
Un peu comme il le faisais toujours .

les rues étaient résolument vide sous nos pieds, pendant qu'on parcourais ses quelques rues par les toits. Ombre noir voletant dans le silence de la nuit . Jusqu’à ce qu'on ralentisse la cadence , choisissant la méfiance a la vitesse, dans un cartier sensiblement plus huppé que les cartiers mal famé que nous avions passé . Quelques fragrances me chatouillèrent les narines, me prévenant de la présence d'humains dans chaque maison devant laquelle on passais , a part la dernière ou on entrais. Grande demeure de style moderne , beaucoup trop carré a mon gout .

Pénétrant dans cette maison , je fus enveloppé par l'odeur de mon aimé ... il a dus passer plus d'une journée sous ce toit.
- Je vais prendre une douche
Une douche...
Ce mot me renvoya quelque flash que j'essayais d'ignorer ... Des flash de ma vie passé , de nous deux sous un jet d'eau chaude , nos corps ...
je regardais le décors qui m'entourais essayant de comparer avec les meubles de Gothika et ceux de la HOP , dans le simple but de me divertir de mes visions pour le moins ... osé .
Je ne lui rependis que par un hochement de tête vague , avant de m’approcher de la fenêtre me tenant immobile a regarder la lune , sans rien faire d'autre que contempler cet astre en essayant de figer mon esprit, tout autant que mon corps .

Un choc retentis de l’étage supérieure... l'eau coulais toujours , et des effluves de sang me vinrent d'en haut ... pas trop persistante , cependant je voulais m'en assurer ... en un battement de cil je fus derrière la porte de ce que je devinais être une salle de bain, guettant le moindre son ...
Il étais encore sous l'eau .
La main sur le poignet je me demandais encore si j'allais entrer ou pas , jusqu'a ce que j'entende un autre son ... celui d'un bris de verre .
-On s'en prend aux objet inanimé maintenant ?
demandais je en m'adossant au mur .

Je le retrouva devant la fenêtre. M'avait il entendu approché et ignorait-il superbement ma présence ou se donnait il en spectacle. Autant de question qui parcourait mon esprit pour ne laisser que des points de suspens derriere elles. Ou m'étais je fais plus discret a force de craindre de me faire remarquer. Je n'en savait rien.
Mais je resta quelques instant ainsi en silence à l'admirer.

J'avais l'impression que ce serait ce genre de moment la qu'il me resterait. Ce genre d'instant volé. A volé son image...Pourais-je encore le regarder en étant certains que nos sentiments étaient partagé et réelle. En étant certains qu'aucun de nous deux jouait un jeux, un rôle, qui n'était pas tout a fait lui même.

Je me déplaça légerment, sortant de l'ombre et lui faisant savoir ma présence par un léger soupire. J'avais revêtu un pentalon d'un noir d'encre et une chemise blanche, j'avais bander ma main proprement, les coupures auraient disparut, mais aps assez vite a mon gout, autant les cacher a mes yeux et aux siens.

Je me faufila aussi silencieux qu'un chat jusque dans le salon qui baignait dans l'obscurité. Seul la lueur de la lune filtrant a travers les rideaux illuminait le lieu, le baignant plus dans les ombres des recoins que le révélant. Je me servis un verre et laissa la bouteille de cognac a disposition d'autrui si il le désirait. Puis je pris place dans un fauteuil, l'air décontracté et prenant garde de dissimuler mon visage dans les ombres.

Certe, il le verrait clairement, mais je comptais peut etre ainsi en dissimuler les sentiments. Traitre de sentiments qui ne semblaient que me tarauder dans le but de m'affaiblir plutot que de me révéler des vérités.

- Cette adresse a dus tomber entre les mains de la milice. Celui qui à pris soin de te la faire parvenir est un certain Eels von del Adalian, le fils cadet de l'ancien gouverneur de Modernis. J'ai tuer son frère.

J'eu un petit sourire.

- Il n'a pas l'air de l'avoir digèrer et m'a aimablement promis de mettre fin à mes jours. Je dois dire qu'il s'y applique avec une certaine détermination.

Je bus uen petite gorgée, laissant le liquide impregné mes sens. Puis jetant un coup d'oeil à Vaen, je continua, je n'vais pas grand chose à lui dire en fait et pourtant. Pourtant j'aurais aimer que cet discution ne prenne jamais fin. Car elle signifierait imenquablement son dépare....

- La milice n'a pas perdu de temps pour me mettre plusieurs meurtre sur le dos. Certe je ne suis aps étranger à la mort d'un bon paquet de milicien, mais il en est autrement pour les meurtres de plusieurs jeunes personnes appartenant à des gangs ou à la mafia.

Je pensa un moment à ce Alic au moeurs quelques peut étrange.

- Tout cela pour te dire que nous n'avons pas beaucoups d'alier. Certe j'ai fais connaissance avec quelques vampires, mais la plus part préfère sauver leurs peau que de la risquer pour quelques causes que ce soit. Je pourai peut être obtenir de l'aide de la part de la mafia, mais je n'aime nis leurs procéder, ni leurs visions des choses et cela ne durera qu'un temps.

J'attenidis un moment, croisant son regard.

Je le regarfais boir , ecoutant patiement ses paroles , me tenant toujours adossé au mur .
Quand enfin le silence s’installa , je me dirigeai vers l’un des fauteuil de la salle ou on etais. N’ayant pas besoin de repos, on pouvais voir en se geste une tentative de mettre de la distance entre nous …
Il était certain que mon esprit n’étais pas encombré par cette obsession qui l’entravais , celle ou deux voix se disputais sur mes sentiments , amour et méfiance … Cependant le désir faisait partie de mes plus bas instinct, il n’avait aucun rapport avec ces fioriture qu’on appelais émotions et qui ne servais a rien d’autre qu’a nous sortir d’un ennuie avéré , pour peu qu’on ait rien d’autre a faire que les écouter .
Je me rendais compte que le simple fait de regarder par la fenêtre , mon échappatoire préféré , aurais pu effacé cette vision du beau mâle, dans toute sa splendeur , dégoulinant d’une eau fraiche lui coulant sur la nuque , de ses cheveux encore quelque peu humides … l’ascension d’une goutte d’eau qu’éclairais un pseudo clair de lune … et que mes yeux refusaient de lâcher .Même pour mon propre bien .

-J’ai entendus parler de tes prouesses. A la HOP , les quelques prisonnier des rebelles que Modernis envoie , parlent d’un Hybride agissant seul , cherchant la bagarre , Fragilisant ce qui devais être une armé d’humain rebelles … La milice .
Je prononçais ce dernier mot comme une interrogation … Je ne savais pas encore ce qu’étais vraiment cette organisation. Mais je continuais tout de même .
-Si je t’ai envoyé c’est pour que tu trouves des allié. Hors je comprends de tes paroles que ces dernier sont soit apeuré soit tué. Et ceux que tu juge capable de nous aider font partie de … La mafia dis-tu ?
Voila un terme que je connaissais par contre . Mikaël faisaient partie de cette organisation qui vendaient une poudre hallucinogène quelque peu anesthésiques, mais nocif pour les humains , raison de son illégalité a Modernis . En plus de quelques actes frauduleux … cette organisation est connue pour son intouchabilité, sa puissance et son sens … de la famille.
-leurs méthodes ne te plaisent pas ?
Se servir d’eux… hum , demander leurs aide plutôt , serais intéressant .

Croiser son regard ne m'appris rien, rien de plus que ce que je ne savais déja, sa beauté ténébreuse à laquel je ne pouvais résisiter et ce dés le premier regard que j'vais eu pour lui, tout autant que se que sa simple présence dans une piece quelconque pouvait dégager, cette grandeur que jamais je n'atteindrais. Mais soit, j'ai déja tant fait étalage de ce qu'il représentait a mon regard...

Je tenta plutot de me concentré sur tout autre chose que ce qu'il était à mes yeux. Par exemple, mes quelques prouesses, que je trouvais pitoyable en ce qui concernais ma présence ici.

-J’ai entendus parler de tes prouesses. A la HOP , les quelques prisonnier des rebelles que Modernis envoie , parlent d’un Hybride agissant seul , cherchant la bagarre , Fragilisant ce qui devais être une armé d’humain rebelles … La milice .

HOP...je retins un soupir mêlé d'amertume, il me l'vait pourtant bien dis, mais peut etre avais je tenté d'y penser le moins possible. Je détestait ce lieu, mais par rapport a celui qui le régissait l'endroit me semblait presque paradisiaque. C'était dire combien j'appréciais déja cet Asmodée.

-Si je t’ai envoyé c’est pour que tu trouves des allié. Hors je comprends de tes paroles que ces dernier sont soit apeuré soit tué. Et ceux que tu juge capable de nous aider font partie de … La mafia dis-tu ?

J'aquiescai légerment le laissant continuer en silence.

-leurs méthodes ne te plaisent pas ?

Je fis non de la tête avant de prendre la parole, j'vais le gout amer de l'échec entravé dans la gorge, mais je ne voulais pas le voire ainsi. Qu'avais je imaginé, que ce serait simple ? Non, a vrai dire je n'avais rien imaginé du tout. Quand vaen m'avais envoyé dans cet enfer, je ne pensais qu'a lui, a notre dispute et à notre éloignement que je ne savait pas vraiment qualifié...une bonne chose, une mauvaise chose, le doute persistait.

Et maintenant, que je lui tenait contrendu, j'vais bien l'impression que mes avancée sur le terrain houleux de Modernis n'avait pas apporter grand chose au chance de Gothik. N'avais je pas une fois de plus agit de manière égoiste. En solo, comme même les prisonnier de HOP le disait. Pour quel raison...? Pour me distraire ? Parce que c'était ce que j'aimais, semer le trouble chez mes ennemis et m'occtroyer leurs foudres. Oui, je devais l'admettre, j'aimais se danger de tout les instants et...J'aimais également tuer, c'était une chose que je n'avais jamais vraiment admis, mais que je savait tout autant que j'aimais ce vampire qui se tenais non loin de moi.

- Non, elles ne me plaisent, ils ne me plaisent pas non plus. Peut etre avons nous trop de point commun pour que ça puisse me plaire. Mais ce sont surtout les différence de méthode qui me dérange. Même si je suppose qu'il faudrat bien s'y accomoder.

Je pris une courte pose réfléchissant a ce que j'vais appris sur tout ce beau monde.

- Ils ont un certain sens des affaires, entre autre le jeune Allic Beackerman, chef de la mafia, ils sont froids, ce qui n'est pas un point négatif. Mais ne semble avoir de respect que pour eux même et pour ceux qui affiche naturelement le respect.

Il est sure que Thanatos n'aurait certainement aucun problêmes de ce coté là. Mais mon coté hybride et ma moral n'aimait pas trop ce genre de principes.

- Ils n'ont pas vraiment le sens du sacrifice et malgré que certain, comme ce Mr Beackerman, cotoie des vampires, je pense qu'ils ne se ralieront a notre cause que si ils ont a y gagner..Sachant que ce que nous voyont comme un avantage ou une cause interessante n'est certainement pas la même vision que la leurs.

Que dire de plus...je ne savais pas. Je soupira donc, me passant une main devant les yeux avant de la retirer tout aussi rapidement, ayant une certaine idée, qui ne me plaisait pas vraiment mais bon...

- Certain d'entre eux font le trafic de drogue...Et la milice - l'armée de Modernis - possede une cache ou elle entrepose cette drogue apres l'avoir reprise aux traficant.

J'eu un petit sourire.

- Et je sais ou elle se trouve et comment pénétrer dans le batiment. Reste à savoir si cela peut nous servir...

Je brulais de lui demander ce qu'il avait fait de ses journée mais, je n'en fit rien...

Je brulais de lui demander ce qu'il avait fait de ses journée mais, je n'en fit rien...
Je l’écoutais parler , une partie du cerveau complètement absorbé par ses paroles , mais l'autre obsédé par sa contemplation .
As t il trouvé un amant? quelqu'un pour me remplacer ? un autre vampire qui planterai ses crocs dans la chaire tendre de son cou?
Un sursaut que je réprimais mal me secouais alors que je pensais a cette éventualité ... c'étais tellement furtif qu'il ne remarqua rien , du moins je le pensais , et il continua sa tirade .

- Et je sais ou elle se trouve et comment pénétrer dans le batiment. Reste à savoir si cela peut nous servir...
Répondre ... desserrer les dents ... et répondre...
-Oui.. Hum ...
Se reprendre ... et répondre
-Cela va nous servir . Très même . Mais ce seras notre dernier recours.
Voila. c'étais mieux , une fois que je détournais les yeux...
-Tu n'aime pas ces gens ... et j'ai foie en ton jugement .
C'étais un compliment.
-On trouveras un autre moyen d'arriver a nos fin.

je marquais une pause , m’approchant de lui prenant son verre pour le finir . Je n'était point féru de ce genre de breuvage mais je voulais sa proximité .
-Ne t'es tu jamais demandé ce que je faisais a la HOP ?

Mes paroles prirent fin, trop tot peut etre, trop tôt que pour ne pas croiser une fois de plus son regard, àa la dérobée, car je craignais de m'y brûler, de m'y perdre ou du moins d'y perdre l'esprit. Rester sobre, rester lointain, rester distant...Pourquoi me torturais je de la sorte ? ...Je ne désirais répondre à la question, elle m'était trop évidente.

Sa réaction tarda, peut être une seconde à peine, mais elle tarda...J'évitais son regard à nouveau, ne le fuyant nullement, faignant une indifférence que l'un comme l'autre nous savions éperdument que je ne possédait pas. Mais j'avais pris une certaine habitude à être moi même, à adopter cette confiance que j'apprivoisai pour ma propre personne.

-Oui.. Hum ...

Hésitait-il ? Je souris légèrement, profitant de l'ombre qui devait légèrement masqué mon visage. Oh non, ce n'était rien de moqueur, jamais un tel sentiments n'aurais pus naître a son égare, sauf, peut etre et l'idée me fit légèrement frissonné, lors de certains de nos "jeux" et ces moquerie là, avait tout de l'encouragement...

-Cela va nous servir . Très même . Mais ce seras notre dernier recours.

Voilà qui me ramena les deux pieds sur terre. Je bus une petite gorgée avant dépose mon verre sur la table.

-Tu n'aime pas ces gens ... et j'ai foie en ton jugement .

Je l'espérais bien, même si je ne partageais pas toujours cette même foie envers moi même. Néanmoins le simple fait de me rappeler que ce Monsieur Beackerman avait tiré avec sang froid sur un vampire de sa propre famille apr alliance, ne me donnais nul envie de revoir ce jugement. Puis...Avoir l'air désabusé, même si je ne l'atais nullement. Savoir qu'il avait foie en moi me faisait un bien fou. Mais je n'en fis pas étalage, même si Vaen était plutot vampire à être avare de compliment.

-On trouveras un autre moyen d'arriver a nos fin.

Mon esprit attiser écoutais ces paroles presque comme si il s'agissait de déclaration. Comme j'aimais ces trame et ses risque, presque autant que nos jeux trépidant ou douleur et passion se mêlait pour mon plus grand plaisir. Je lui jeta un coup d'oeil que je savait a présent embraser de turquoise, mais, l'ombre peut etre lui ferait croire à autre chose. Je restait indifférent, presque concentré sur cette discussion qui doucement s'éloignait de mes préoccupation, même si...je restait ce guerrier qui ne désirait que action et trahison...

Il s'approcha de moi, goûtant au nectar dont j'avais déjà bus la moitié. Je ne fis le moindre geste, me bornant juste à me délecter du spectacle de ses lèvres sur le verre de cristal. Puis ma main se posa sur l'accoudoir du fauteuil. J'attendais dans l'ombre.

-Ne t'es tu jamais demandé ce que je faisais a la HOP ?

Ce simple mot me sortit de mes songe pour que mes doigts se crispent un instant sur le velours de l'accoudoir.

- Peut-on s'abstenir de penser à ce que fait la personne qui anime notre existence ?

Je me leva plus rapidement que je l'aurais voulu, gagnant la fenêtre pour m'échapper de son emprise et de sa présence, perdant mon regard un instant dans l'obscurité pour y calmer mes pensées. Mon imagination, mes craintes, mon égoïste jalousie. Il faut dire, qu'un seul de ses regard pour autrui me mettait déjà le feu au sang.

Malgré tout je n'avais nullement répondu a sa question. La réponse était évidemment "oui", mais je doutais qu'il me l'aie posée pour que je me borne a cette réponse.

- Et qui faisiez-vous Maître Von Nyx ?

Je me tourna vers lui avec un petit sourie alors que le ton de ma voix m'vais parut plus froid que ce que j'aurais désiré.

il se cachais dans l'ombre , alors que je le voyais plus clairement dans l’obscurité qu'en plein lumière.

S’approcher de lui me fit oublier toutes mes rétissance , méfiances , j'oubliais même jusqu’à l’existence de notre "séparation" . Son odeur enivrante et viril m’enveloppa tandis que du coins de l'oeil je suivais la crispation de ses doigts sur l'acoudoire du fauteuil, ses phalanges blanchirent a mesure qu'il exerçais cette pression... étais ce ma proximité ?
je me plaisais a me rapprocher imperceptiblement tandis que mes lèvre quittèrent son verre .

- Peut-on s'abstenir de penser à ce que fait la personne qui anime notre existence ?
Voila une réponse qui me correspondais , évasive , froide et impersonnels , mais qui disais bien plus de chose qu'elle ne laissais entendre .
Il se faufila dans la courte distance qui nous séparais , faisant attention a ce que nos corps ne se touchent pas , du moins je le percevais ainsi . Cependant le simple fait qu'il bouge m'envoya des vaguelettes de chaleur ... chose que me mis a cran quand s'ajouta a cela son parfum ...
A moitié conscient de mes actes je le suivis , silencieusement , même lui ne devais pas sentir mes mouvement ... jusqu'a ce qu'il atteigne la fenêtre , moi dans son dos .... les yeux fermé me permettant ,un instant de vulnérabilité , qui me torturerai pendant des heures quand je me retrouverai seul mais dont personne ne serai témoin, j'humais l'air.
- Et qui faisiez-vous Maître Von Nyx ?
Maitre Von Nyx .
Bien que la froideur de sa question me doucha , cela me permis aussi de redevenir un peu moi même ..
Maitre Von Nyx?
il allais être servis
-Je suis allé rendre visite a Asmodée ... Il s’avère être un très bon hôte.
Quand il se retourna il ne vit point dans mes yeux le désir que j'avais un instant exprimé par un regard tendre . ce qu'il y vit par contre c'étais de la provocation , et un sourire carnassier ... cela laissais entendre , sans grande finesse , que j'avais partagé avec lui plus que son toit .
-Il m'a aussi beaucoup aidé a trouver quelques rares objets pour ma collection .... ainsi que quelques pions qui serviront de pâture pour la grande bataille.

Mon sourire ne resta suspendu a mes lèvres qu'un court instant, j'avais penser être provoquant en le nommant par le nom que je lui réservais du temps ou il me considérait comme son esclave. Mais, je ne m'étais pas attendu a le trouver si pret de moi. Et je remercia mon insouciance et sa discrétion. Aurais je pus résister à son corps presque frôlant le mien.?...

- Je suis allé rendre visite a Asmodée ... Il s’avère être un très bon hôte.

La provocation brillait tel une froide lame dans son regard, une lame que j'avais bien du mal a éviter quand il y ajoutais un tel sourire. Je le fixait cette fois avec un regard qui virait au bleu nuit alors qu'un désagréable frisson me parcourait l'échine. Je ne cillais aps cette fois lorsque je croisa ses iris. Il savait combien je n'aimait pas ce vampire. ET que voulait il dire par "un très bon hôte ". Je ne voulais y penser, mais maintenant qu'il en parlais, le sujet était bien dure à ignorer.

-Il m'a aussi beaucoup aidé a trouver quelques rares objets pour ma collection .... ainsi que quelques pions qui serviront de pâture pour la grande bataille.

Je détournais le regard, me faufilant une fois de plus sans le frôler, pour terminer le verre sur lesquels il avait posé ses lèvres. J'étais persuadé d'encore pouvoir encore percevoir le nectar de ses lèvres. Et un court instant, je ne pensa plus qu'au goût subtil de sa bouche et au frôlement de nos corps. Il me fallut me mordre les lèvres pour reprendre mes esprit. Évidemment, je lui tournait une fois de plus le dos et la seul chose qu'il eu pus percevoir fut le temps de réaction que je mis à lui répondre.

- Je ne vous connaissait pas colectionneur....

Je laissa ma voix se perdre avant d'ajouter d'un ton aussi distant qu'il m'en était possible.

- Et vous me voyez ravi qu'un être tel que cet Asmodé puisse se révélé...d'une certaine... utilité...

J'avais bien l'impression de m'écorcher la gorge a chaqu'un de ces mot et ce fut sur le dernier que je le retourna une fois de plus vers sa personne. Le foudroyant du regard autant que j'en était capable. A savoir qu'il ne m'était pas dure de le regarder avec une certaine animosité alors qu'il me parlais de cet etre qui avait eu sa compagnies durant plus d'un an alors que j'en était privé.

- Me torturez vous volontairement ou est si naturel que vous ne vous en rendez pas compte ?

Pourtant, sur ces dernier mots se fut plutôt avec douceur et passion que je le dévisagea, peut etre parce que c'était ainsi que je l'aimais et que je ne l'aurais désiré différent.

-Je le fais volontairement . Te voir souffrir de mes piques me procure un plaisir délectable
Cette fois il ne m'echaperas pas avec un tour de passe passe . je me dirigeai vers lui , le bloquant cette fois entre moi et la table aux breuvages qui se trouvais derrière lui. Je ne l'effleurais pas , gardant une distance ou seul la chaleur qu'il dégageais m'atteignais , une douce torture que je me faisais subir .
- est ce si nouveau pour toi ? Ou tes autres amant t'ont ils habitué a un autre traitement que le mien ?
Je haïssais a l'avouer mais le simple fait de parler d'autres amant avec lui me faisais du mal . Pourtant je réussis a me contenir , et ma voix resta égale , peut être mes yeux s'étaient ils voilé un instant ou la jalousie m'avais serré le coeur .

Feignant ignorer une si courte proximité , je restais ainsi a le regardais dans les yeux , sentant son souffle sur mon visage, et sachant que ma présence aussi prés lui faisais le même effet . Du moins je le souhaitais ... un an d’absence pour un être aussi jeune , c'était long .. Non?
ce jeu commença a me plaire , bientôt j'oublierai tout de ma rancune, jusqu'a ce que la réalité me revienne en pleine face , mais c'étais un risque minime en vue des bons moments en perspectives .
Calme toi. n’espère pas grand chose pour ne pas etre déçus .
j'aurais ce que je voudrais , de grès ou de force .
Bien que délicieuse , cette promiscuité fut rompue par mes soins , m’éloignant de ma proie. c'est elle qui viendra a moi .

Voila ou j'en étais arrivé : J'avais commencé la soiré apeuré a l'idée de revoir mon Mikaël. Un Humain osa nous attaqué , deux autres furent tué , mon Mikaël a faillit subir le même sort, je lui avouais mes sentiments par les paroles dans un élan de courage ,me rétractant juste après par les actes quand la réalité me ramena a elle. Nous voila enfin dans une maison dont les propriétaire avaient été abattu par ses soins... Notre relation revenue a ce qu'elle avait été a notre première rencontre a Modernis . Ce jeu me plaisais .

- Je le fais volontairement . Te voir souffrir de mes piques me procure un plaisir délectable

A vrai dire je m'en doutais et j'en était ravi, même si il était certain que certaine de ses insinuations ou le simple fait de l'imaginer avoir passé plus d'un an à HOP me rendait à demi malade.

Il s'approcha à nouveau de moi et un instant je crus qu'il allait me toucher de ses mains. Mais c'était un espoir qui fut rapidement balayer. Non, mon vampire préférait appartement m'emprisonner, s'assurer que je ne lui échappe pas, mais me faire languir de ses caresse. Il fallait l'avouer, Vaen avait toujours montrer un certain talent pour la torture et ce sous bien des formes.

- est ce si nouveau pour toi ? Ou tes autres amant t'ont ils habitué a un autre traitement que le mien ?

Je le dévisagea cette fois ouvertement, cherchant dans son regard une étincelle de moquerie. Cherchait-il a se moquer ou était-il sérieux et testait il effectivement ma réaction. Me pensait il capable d'aimer quelqu'un d'autre.

J'eus un demi sourire, qui n'avait pourtant rien d'heureux ou de chaleureux. Si j'avais pus aimer quelqu'un d'autre, peut etre notre séparation me serait-elle parut moi douloureuse. Mais il n'en était rien. Seul ses lèvres m'autorisaient à exister et nul autre frôlement que celui de sa peau me permettait de concrétiser mes rêves.

J'approchais doucement mes doigts de son visage et ne fit qu'effleurer la courbe parfaite que dessinait son cou avant de briser le contact comme si je m'étais brûler. Il était effectivement dure de ne pas se brûler devant un être aussi chéri et ainsi succombé a son attrait.

Il m'était pénible de rester ainsi si prêt de lui sans pour autant pouvoir le toucher et ce fut avec un étrange soulagement qu'il me quitta une fois de plus. Me rendant ma liberté ainsi que mes sens désorienter par son être. Une fois de plus, je le sentais presque, ce petit jeux qui sens cesse nous reliait. Partir plus vite, plus loin, pour mieux que l'autre nous rejoigne. Insinuation et torture jusqu'à ce que l'un de nous deux ne puisse plus supporter cette absence qui sans cesse reprenait le dessus.

Le regardant, je me rappelais à l'ordre, je lui devait une réponse.

- Si traitement il y a eu de leurs part, je ne dois m'en souvenir...Le seul amant dont je me souvienne est celui qui chaque nuit m'a rendu visite dans mon sommeil et qui au première lueur de l'aube m'a quitté alors que je tendais les doigts pour le retenir désespérément.

Ma voix s'éteignit une fois de plus et il me fallut tout mon courage pour rester à distance de sa personne, pour ne pas me laisser gagner par la mélancolie et pour ne pas penser à ses rêves que j'avais fais. Il ne m'avais jamais vraiment quitter, puisqu'il habitait mes pensées. Mais son absence n'en avait été que plus dure. M'en rappeler, me rappeler cette blessure qui ne se refermait pas encore tout à fait. Cela revenait à rendre sa présence encore plus palpable. A le rendre encore plus attirant. Et a me rendre encore plus impatient de pouvoir parcourir son corps du bout de mes doigts brûlant.

Je ferma les yeux un court instant et implacablement le souvenir du fait qu'il m'avait doucement, mais immanquablement repousser, a peine quelques heures plus tot, dans cette camionnette, me revins en tête avec dureté.
Rien de tel pour que je reprenne mes distance et que je cesse de rêvasser à mes désirs...futils...mais bien présents.

Pourtant, je ne pouvais le laisser là, sa silhouette se découpant sur la faible clarté du salon, je ne pouvais dire ce qui était le plus éblouissant des ombres ou de la lumière qui semblait émaner de sa personne. Même de dos il était attirant...

Je resta pourtant là, en silence, quelques instant, pour le simple plaisir de le regarder tranquillement et..oui...il est vrai, pour contenir le désir que j'avais de l'approcher et de l'embrasser sans plus de cérémonie.
D'un pas feutré je le rejoignis, le frôlant, sois disant involontairement, profitant du parfum qui émanait de sa personne et qui me tournait la tête. Ce fut dos à la fenêtre cette fois si que je le regarda avec douceur sans pourtant trouver mots a dire.

Je lui tournais le dos , souriant pleinement cette fois . Il m'avais été fidèle , qu'aurai je pu désirer de plus... qu'il ait été avec moi peut être ... Mieux que j'aie fait de même ...
- Si traitement il y a eu de leurs part, je ne dois m'en souvenir...Le seul amant dont je me souvienne est celui qui chaque nuit m'a rendu visite dans mon sommeil et qui au première lueur de l'aube m'a quitté alors que je tendais les doigts pour le retenir désespérément.
Je repris encore de ce liquide insipide , imaginant que dans ma bouche couler quelques gouttes de son sang ...
-Pourquoi aurais tu voulu le retenir ... Il n'en valais certainement pas la peine
Oh non je n'en valais pas la peine.

tout en parlant je me rassit dans le fauteuil , d'un coup d’oeil je lui ordonnais de s'approcher , et d'un geste de la main je l'obligeai a s’asseoir sur mes genoux. Ai je utilisé mes pouvoirs ou l'as t il fait "volontairement" ? je n'en savais rien , mais le fait ai qu'il étais sur mes genoux le visage tout proche , sa chaleur enivrante, son odeur délicieuse ..
-Embrasse moi .
Un ordre libérateur... Pour moi du moins. Je rêvais de sentir ses lèvre sur les miennes ...

Fermant les yeux , le souffle saccadé , j'étais a peine conscient de la réalité quand un bris de glace me fit me reveiller ... je me relevais, tournant vers la fenêtre et inconsciemment me mettant devant Mikaël , dans une position défensive. Je fus surpris de voir de la fumé , alors que mes sens encore désoriente n'ont sentit que trop tard l'odeur acre et chimique de sulfate ... Particulièrement suffocante ... tres suff.. o... ccante ...
...
[suffoque]

...

-Pourquoi aurais tu voulu le retenir ... Il n'en valais certainement pas la peine

Je fronçais légerment les sourcils, mon expression devais mieux exprimer que mes paroles l'opposition que je ressentais face a ses paroles. Elles m'avaient choquées, même si il s'agissait là d'une façon de parler de la part de Vaen, je n'était aps accoutumé à ce qu'il se compare à un ête "qui ne valais pas la peine", pour reprendre son expression.

Je continuais à le fixer avec un mélange d'envie et de retenue, tout en gardant ce regard de défis, dûs a ses dernière parole. Comme si j'avais voulu l'interdire de dire des choses pareils...Le préserver de son propre jugement était certainement un peut vaniteux de ma part, mais je ne pouvais m'en empecher.

Il avait pris place dans le fauteuil que j'vais occupé quelques minutes plus tôt et d'un simple regard m'invita à le rejoindre. J'aurais peut etre dus résister, mais je n'en fit rien, après tout, ça aurait été cruel envers moi même de ne pas me laisser entrainer par son appel muet. Je ne pouvait quité du regard ses levres purpurines....J'en oublia toute retenue au point que je me retrouva assis sur ses genoux. Tel n'avais pourtant pas été mon intention et un court instant je me demanda si il n'avais pas fait usage de son pouvoir. Se ne fut pourtant de la colère qu'il pus voire dans mes yeux d'un bleu nocturne, mais un certaine amusement alors que je le dévorait litéralement du regard.

-Embrasse moi .

Mon sourire se fit plus doux. Sa voix se voulait autoritaire, mais elle me paraissait si douce. Jamais je n'aurais pus résister à une tel voix, surtout quand l'ordre en était si délicieux. J'aurais voulu le regarder, les paupière a demi close, dans l'attente de recevoir son dus. Mais il est des chose qui ne peuvent attendre, des choses auquel je ne pouvais résister et ses levres à la douceur de glace en étaient une.

Je l'embrassa donc, comme s'était son souhait tout autant que le mien, m'abîmant dans cette sensation qui semblait emplir tout mon être d'une chaleur ancestral, me brulmant de l'intérieur de la plus douloureuse et merveilleuse des façon. J'entoura son cou de mon bras, remontant ma mains le long de sa nuque jusqu'a la naissance de sa chevelure. Perdant tout contacte avec cette réalité qui nous entourait et me semblait si futile.

Mon rêve fut brutalement brisé et avant que je ne reprenne consciement mes esprits je me retrouvait debout derriere mon amant. Une fumée vaporeuse envahissait déja la piece alors que plus instinctivement que consciement je stoppait toute respiration.

Je déguaina mon arme avec un peut de retard, réfléchissant déja au moyen de fuir, une fois de plus, à croire que je en savait plus faire que cela.

Je sentait encore les levres de mon amant sur les mienne quand celui-ci se mis à tousser avant de vaciller dangereusement. Je l'attrapa par le bras avant de le soutenir, passant mon bras sous son épaule tout en reculant. La fumée commençait à envahir la piece. Le seul point positif était le fait qu'elle masquait quelques peut notre position, même si elle ne me permettait pas de voir ceux que j'entendais à présent.

Je tira une ou deux balles avant de prendre la fuite, ma poitrine me brulait et je n'allais pas tarder à devoir respirer. Quand à mon amant, il semblait avoir perdu connaissance, étant donné qu'il s'était mis devant moi, il m'avait épargner le même sors alors que je reprenais mes esprits. Une pensée "positive" m'étreignis alors que je me dirigeais vers la porte du font, Vaen à présent installé sur mon dos, j'vais une fois de plus, fait preuve d'un manque d'attention, car dans le cas contraire, je serait toujours installé sur les genoux de mon amour.

A peine avais je ouvert la porte qui donnait sur le jardin qu'une grenade lacrymogène tomba a mes pieds, malheureusement j'avais déja respirer, un mélange d'oxygène et de ses fumées, j'eu le réflexe de choter dans la grenade avant de me jeter par terre alors que les coup de feux fusait. Il faut dire j'avais du faire une magnifique cible durant quelques instant.

....

Je déposa Vaen, l'accoudant contre un mur avant de me laisser choire juste a coté de lui. Quelques minutes je ferma les yeux, tachant de reprendre mon souffle et de me calmer. J'avais mal à la poitrine d'avoir courut. Mais en fin de compte je m'estimais plutot chanceux, deux balles ce n'était pas si grave par rapport a ce que j'aurais pus subir si ils m'avaient attrapé.

Mais je verrais cela plus tard. Je me pencha sur Vaen, il n'avais malheureusement pas été épargné, malgré le fait qu'il était inconscient. Une balle lui avait transpercé le bras avant de finir sa route dans mon épaule et apparement sa blessure cicatrisait déja. Qaund à l'autre elle était plus genante, juste au niveau de la poitrine et la balle était toujours dans la plaie.

Je profita du fait qu'il était inconscient pour la lui enlever avec précaution.

- Et après tu oses remettre en doute le fait que tu en vale la peine...

Je l'embrassa avec douceur, profitant de la douceur de ses lèvres, j'aurais désirer m'étendre a ses coté et fermé les yeux. Mais, nous n'étions pas vraiment en sécuité, une idée révolutionnaire il faut dire de se diriger droit vers la maison du l'ancien gouverneur et ça jusqu'a passer au dessu des murs de l'anciennes propriétées, elle semblait désafectée au premier coup d'oeil.

Mon doigts caressa la ligne de sa nuque avant de s'arreter.

- Cesse de jouer Vaen ! Réveille toi s'il te plait...

Je sursauta et me remis sur mes pieds tout en grimaçant apres coup, il m'avait sembler entendre un bruit. Je m'éloigna donc de quelques pas de mon amant, une hache dans une main un révolver dans l'autre, et pour la segonde fois de la journée la chemise ansanglantée.
Quelques chose clochait, mais je ne parvins pas a savoir quoi avant de me rendre compte que le léger bruit que j'entendais n'était autre que celui du sifflement d'une balle.


Je regardais les étoiles, elles me semblaient bien plus grande que ce qu'elles auraient du etre et l'herbe étaient humide, je la sentais sous mes mains, légerment poisseuse, plus chaude que ce qu'elle aurait du etre. J'essaya de parler, mais seul un liquide rouge et épais s'écoula de mes lèvres.

Je tourna légerment la tête. Le seul éffort manqua de me faire perdre conscience.

- ..Vae..

Les étoiles semblaient se perdre, une larme coula sur ma joue, une larme chaude, je ne voulais le quiter, je ne le pouvait pas, mais le froid m'envahissait.


[ et non, je ne compte aps qu'il meurt ;-)]

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